Fils d’une femme de ménage et d’un peintre en bâtiment, le galeriste Kamel Mennour est l’une des personnalités influentes de l’art français. Il organise lundi avec douze grands marchands des enchères pour la recherche sur les maladies génétiques chez les enfants.
« Il faut jouer. » La vie, pour ce passionné de football, c’est lancer une balle ou bien savoir la rattraper afin qu’elle atteigne son but. Parfois, elle t’échappe ; parfois, à la faveur d’une passe, tu parviens à sublimer l’échange. Jouer, c’est pour gagner, mais toujours au risque de tout perdre. Son argent ou bien sa réputation, ce qui équivaut au même dans le milieu de l’art.
En 2013, une femme pousse la porte de la galerie Kamel Mennour, un hôtel particulier de 380 m2 situé en plein cœur du Quartier latin, rue Saint-André-des-Arts. Depuis dix ans, tous les grands acheteurs s’y pressent, de Londres à New York via Genève. Mais elle, ce n’est pas pour acheter un tableau. « Je travaille pour un institut de recherche sur les maladies génétiques chez les enfants à l’hôpital Necker. Pouvez-vous nous aider?

Le CD est arrivé en Martinique!
En adoptant en catimini le 5 octobre un amendement à la Loi Taubira, l’Assemblée nationale a créé une deuxième journée de commémoration autour de l’esclavage, consacrée aux « victimes de l’esclavage colonial » et entériné ainsi une vision racialiste de la nation française
Pour se défendre et se soigner Mumia Abu-Jamal a toujours besoin de votre soutien financier.
G. Büchner, m.e.s. François Orsoni
Il arrive un moment où il est nécessaire d’évacuer et d’affirmer ce qui se trouve au fond de nous… Avec ce spectacle au titre très évocateur, le chorégraphe-interprète Jean-Claude Bardu se lance le défi de dépeindre la société dans laquelle il vit. « Déporté disparu » est l’histoire d’un homme guadeloupéen, déporté, qui traverse le temps. Pour survivre, ce déporté doit s’adapter, s’assimiler…
Dans une campagne présidentielle aux relents sexistes, Donald Trump joue face à Hillary Clinton la carte du mâle blanc délaissé. Selon l’activiste américain, cette rhétorique du genre s’inscrit dans l’histoire américaine depuis toujours. Le pouvoir symbolique peut-il aujourd’hui changer de sexe ?
Présenté le 30 septembre en ouverture du Festival de New York, 13th est autant une arme de combat qu’un film. C’est sans doute pour que tous ceux et celles qui le souhaitent puissent en disposer dans leur arsenal que la réalisatrice Ava DuVernay a choisi Netflix. Le film est disponible sur la plateforme dans le monde entier, y compris en France, mais on ne le verra jamais en salles.
Tribune à l’occasion de la Journée européenne contre la traite des êtres humains ce 18 octobre 2016.
M.E.S. Claude Régy
La Société Martiniquaise d’Histoire de la Médecine organise une conférence à
Marie NDiaye, l’histoire d’une obsession
Oh, daigne, mon amour
Un millier de projets pour la » une » de » Charlie Hebdo » : c’est » Cabu s’est échappé ! « , un demi-siècle sous le trait féroce du dessinateur assassiné. Riss commente cinq croquis pour » Le Monde des livres «
Traduction : Traduit de l’italien par Chantal Moiroud.


La nomination d’une enseignante métropolitaine pour un cours sur l’histoire de l’esclavage suscite un tollé et vire à la querelle identitaire.
TRIBUNE – Les sociétés des journalistes de 26 médias et associations de journalistes appellent à se mobiliser contre un projet de loi liberticide, qui enterre la loi de 1881 sur la liberté de la presse.
Réduire la consommation d’énergie des logements est un enjeu majeur dans de nombreux pays et sous toutes les latitudes. En réduisant vos consommations d’énergie, vous diminuez les émissions de gaz à effet de serre et participez à la lutte contre le changement climatique.
Ils ont faim et leur estomac vide est le pire conseiller. A Glizan, un hameau situé à vingt minutes à peine à l’ouest de l’aéroport de Jérémie sur lequel sont stationnés les hélicoptères des Nations unies, ils sont une trentaine, massés au bord de la piste défoncée qui file en direction des petits bourgs de Bonbon et des Abricots. Fébrilement, ils guettent le passage de véhicules, convaincus que leurs chargements pourraient adoucir leur existence. Depuis le passage de l’ouragan Matthew et de ses rafales à 230 km/h qui ont causé au moins 546 morts, dans la nuit du 3 au 4 octobre, celle-ci ne tient plus qu’à un fil.