— Par Aurélien Soucheyre —
De tout temps, les femmes ont écrit. Formidablement. Les noms et les œuvres restent pourtant méconnus. Chercheurs et éditeurs tentent aujourd’hui d’y remédier.
Peut-on se contenter de l’histoire de la littérature telle que nous l’avons apprise ? Certainement pas, vu la très faible place attribuée aux femmes. Qui a pourtant écrit le premier texte littéraire connu ? Une femme : Enheduanna, princesse mésopotamienne, née il y a 4 300 ans ! Qui a signé le premier roman connu ? Une femme : Murasaki Shikibu, dignitaire à la cour impériale du Japon, avec le Dit du Genji vers l’an 1 000 ! Gageons que si ces pionnières étaient nées hommes, leurs noms seraient aujourd’hui bien plus connus du grand public. « Dans des sociétés patriarcales, où les hommes dominent les femmes et leur assignent une place définie, tout était organisé pour interdire, stigmatiser, discriminer, décourager, et au final se réserver l’exercice de la littérature. Les femmes ont malgré tout signé nombre de textes. Forcément, la qualité a été au rendez-vous. Les œuvres et les noms ne manquent pas.

Intervenants : Anne-Catherine Berry, Dominique Berthet, Martine Potoczny
Pendant que les responsables politiques amusent la galerie avec des histoires d’hymne et de drapeau, les travaux du nouveau laboratoire d’analyses ,outil majeur de la santé publique à la Martinique et seul laboratoire agréé par les ministères concernés pour les analyses d’eaux et d’environnement ,piétinent et s’éternisent.
— Par Daniel M. Berté —
Suite à une séparation ou à un divorce, vous bénéficiez peut-être d’une pension alimentaire mais vous rencontrez des difficultés pour qu’elle soit payée. Avez-vous pensé à l’Agence de recouvrement des impayés de pensions alimentaires (Aripa) pour vous aider à récupérer jusqu’à deux ans d’impayés ?

Le 8 mars a lieu la Journée Internationale de lutte pour les Droits des Femmes, c’est un moment fort de l’action militante et institutionnelle.
Aujourd’hui encore, même si des progrès ont été faits, le 8 mars est souvent réduit à une journée où les femmes sont mises « à l’honneur ».
Ainsi donc, après la simagrée institutionnelle, voilà donc venue l’heure du drapeau. Un drapeau national, en attendant la nation. Un drapeau national et l’idéologie dont il est le porteur. Pourtant, le temps n’est plus où une idée minoritaire pouvait s’imposer, même si une pratique appliquée pendant un certain temps peut finir nolens volens par se faire adopter.
Le phénomène semble s’étendre malgré l’interdiction en France des produits éclaircissants, nocifs, mais vendus dans les boutiques « afros » et sur Internet.
Le bateau venait de quitter le port de Catane. Sur le pont, j’admirais le large, le silence et cet horizon marin parfait, ce bouclier étincelant, impitoyable sous le soleil de midi. Superbe et implacable pour les hommes. Je me lavais à grand peine de la cérémonie du cimetière: dix-sept corps étaient inhumés là, et chaque tombe de migrant inconnu était pourvue d’une dalle de marbre blanc sur laquelle le maire avait fait graver un vers du poème de Wole Soyinka « Migrations » traduit en italien: dix-sept vers, un par tombe. Celui-ci tournait inlassablement dans mon esprit: Dove me vomiterà l’ultime tunnel anfibio? Obsédante question, curieusement plus faible quand elle est énoncée dans sa langue originelle: Where will the last tunnel spew me out amphibian? Mais qui retrouve toute sa force dans sa forme française que mon esprit avait spontanément établie: où me vomira le dernier tunnel amphibie? C’était ça le « tunel amphibie »? Le bateau où j’avais pris place? Quel corps allait-on sauver et quel corps allait-on vomir? Vomiterà ou vomira, je croyais que c’était une métaphore, mais pas du tout!
Le mot littérature, issu du latin litteratura dérivé de littera (la lettre), apparaît au début du xiie siècle avec un sens technique de « chose écrite » puis évolue à la fin du Moyen Âge vers le sens de « savoir tiré des livres », avant d’atteindre aux xviie – xviiie siècles son sens principal actuel : ensemble des œuvres écrites ou orales comportant une dimension esthétique (ex. : « C’est avec les beaux sentiments que l’on fait de la mauvaise littérature » André Gide) ou activité participant à leur élaboration (ex. : « Se consacrer à la littérature »).

L’Eau, ce ‘’don du ciel’’, est un élément indispensable à la vie
— Par Roland Sabra —
Chevalier d’hystérire
— Par Robert Berrouët-Oriol, linguiste-terminologue
«Qu’est-ce que cela peut être dur de voir un de ses petits quitter le nid, avec l’assurance qu’il ne reviendra pas ou pas de la même façon ! » C’est un départ, d’abord un départ, celui d’Anita, une des héroïnes du roman « D’autres vies sous la tienne », qui va nous conduire et nous mènera vers une recherche d’origine, une quête d’identité, qui va tomber sur les secrets de famille, les peurs à affronter, (toute l’histoire de vie se résume à un seul mot : la peur), les malédictions à transgresser, les croyances indélébiles en l’existence de dorlis, ces incubes et autres soucougnans, les traumatismes et avec eux les frustrations à surmonter.
Le mot littérature, issu du latin litteratura dérivé de littera (la lettre), apparaît au début du xiie siècle avec un sens technique de « chose écrite » puis évolue à la fin du Moyen Âge vers le sens de « savoir tiré des livres », avant d’atteindre aux xviie – xviiie siècles son sens principal actuel : ensemble des œuvres écrites ou orales comportant une dimension esthétique (ex. : « C’est avec les beaux sentiments que l’on fait de la mauvaise littérature » André Gide) ou activité participant à leur élaboration (ex. : « Se consacrer à la littérature »).
Le Carnaval approche ! Profitez des vacances pour réaliser vos masques lors des ateliers au Centre Paul Gauguin et repartez avec votre création
Le film de Xavier Legrand, qui traite des violences conjugales, et l’histoire d’amour à Marseille de Jean-Bernard Marlin sont au sommet du palmarès.
Pour pouvoir voter aux élections européennes du dimanche 26 mai 2019, il faut être inscrit sur les listes électorales. Si ce n’est pas le cas, n’oubliez pas d’effectuer votre inscription. 
Deux textes mis en ligne ces deux derniers jours sur Mediapart, et qui sont en train de provoquer le débat, en matière de mémoire de l’esclavage. Ils font suite à la mise en ligne sur le site du CNMHE, d’un t