— Par Sarha Fauré —
À l’approche de la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, l’Organisation mondiale de la santé publie un nouveau rapport au constat implacable : malgré deux décennies d’alertes, de campagnes de prévention et de déclarations politiques, la violence faite aux femmes reste une crise mondiale, systémique et massivement sous-estimée. Rien, ou presque, n’a reculé.
Une réalité mondiale : plus d’un tiers des femmes touchées
Selon l’OMS, près d’une femme sur trois dans le monde — environ 840 millions de personnes — a déjà subi des violences physiques ou sexuelles dans sa vie, que ce soit au sein du couple ou commises par un tiers. Sur la seule année écoulée, 316 millions de femmes ont été victimes de violences de la part d’un partenaire intime.
La prévalence globale reste structurellement élevée : 24,7 % des femmes de plus de 15 ans ont subi au moins une fois une violence physique ou sexuelle de la part d’un conjoint ou ex-conjoint, et 11,4 % durant les douze derniers mois .
Ces chiffres, déjà vertigineux, ne racontent pourtant qu’une partie de la réalité.

An ti Kozé : Vivre une sexulaité épanouie
L’Eko Festival Péyi pose pour la première fois ses stands sur la Savane de Fort-de-France !


— Par Jean Samblé —
— RS n° 421 lundi 17 novembre 2025 —
— Par Jean Samblé —
Quid de la crédibilité de l’indépendance de la Martinique et de la Guadeloupe en question vu la nouvelle donne géopolitique et économique mondiale ?
Avec sa voix de contre-ténor qui transperce l’air comme un cri de liberté, Jimmy Somerville a débarqué dans le paysage musical des années 1980 tel un ovni venu électriser les pistes de danse. Mais derrière l’énergie contagieuse de sa pop électronique se cache une trajectoire forgée dans la lutte. Enfant des quartiers ouvriers de Glasgow, Somerville comprend très tôt que son homosexualité n’a pas sa place dans l’ordre social brutal qui l’entoure. À 17 ans, il quitte sa ville natale avec pour seule arme son désir d’émancipation, direction Londres et ses possibles.

— Par Sarha Fauré —
Une affaire administrative vieille de plus de vingt ans revient aujourd’hui au premier plan de la scène judiciaire et politique. À partir du 17 novembre, quatre personnalités majeures de la vie publique martiniquaise – Serge Letchimy, président du Conseil exécutif de la Collectivité territoriale de Martinique (CTM), le maire de Fort-de-France Didier Laguerre, son premier adjoint Yvon Pacquit, ainsi que l’ancien directeur général des services municipaux Max Bunod – sont appelées à comparaître devant la 32ᵉ chambre correctionnelle du tribunal judiciaire de Paris. Ils sont poursuivis pour détournement de fonds publics, recel ou complicité, dans une affaire complexe mêlant règles statutaires, principes constitutionnels et décisions administratives contestées.
— Par Nicolas Da Silva —
Crise de trésorerie : gare à la reproduction des erreurs du passé ?
Par Hong Sang-Soo Avec Seong-guk Ha, Yoon So-yi, Hae-hyo Kwon
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— Par M’A —