— Par Daniel M. Berté —
Mété lanmen ba nou, Lavièj Mari souplé
Zanj ka pann toupatou, ou sé di sièl krévé
Pas i brè trop madou, mi Bondié ka pisé
Chwaaaaa…. Mi lapli mi !!!
Sé pa fifin-lapli, ni an ti-larouzé,
Ke moun filozofi, ek ki anmen bladjé
ka di : « Sa pa lapli, pou mwen pé sa mouyé »
Wo’y-wo’y-wo’y !!!… Mi lapli mi !!!
Kité loraj dèyè, pran lavalas mové
Ek an boul kout zéklè, fè kout tonè pété
Tousa nou té ni yè, la jounen san rété
Manman-manman-manman !!!… Mi lapli mi !!!
Kon kann ka’y bétjé-a, dlo désann, dlo tonbé
Kon sa ka ékri-ya, dlo koulé, dlo monté
Moun poko té wouè sa, yo tout kriyé anmwé
Mésié-mésié-mésié !!!… Mi lapli mi !!!
Vijilans jòn lansé, Sentmari réboulé
Lavièsalé néyé, sirkilasion blotjé
Lapli-ya tonbé dri ! Plis fòs lé sinistré !
Chwaaaaa…. Mi lapli mi !!!
Daniel M. Berté 71115

— Par Théophile Marcel Héraclide, Président de l’UTAC-M (Union Territoriale des Anciens Combattants de la Martinique) —
— Communiqué de presse —
Les élus du PALIMA à la CTM et ceux qui sont restés loyaux aux engagements de décembre 2015 de la majorité ont, très tôt, clairement dénoncé la décision d’une petite minorité de l’Assemblée (14 sur 51)-majoritaire par défection politique de certain.e.s-d’accorder 225 000€ à un propriétaire foncier pour autoriser la collectivité à réparer des canalisations d’eau destinées à la satisfaction des besoins de dizaines de milliers de Martiniquais.es.
—Par Fortenel THELUSMA, enseignant-chercheur, linguiste et didacticien du français langue étrangère (FLE) —
— Par Roger Maveau —
Ses pièces ont fait les riches heures des théâtres français. Israël Horovitz, dramaturge auteur de Très chère Mathilde et L’indien cherche le Bronx, vient de mourir à l’âge de 81 ans.
Pendant la Première Guerre mondiale, il était l’un des plus éminents chirurgiens au monde. Inventeur de gestes que l’on pratique encore en chirurgie plastique,
Les sociétés de journalistes de plusieurs médias, dont « Le Monde », déplorent un texte qui, en limitant la diffusion d’images des forces de l’ordre, « ne peut qu’attenter à la liberté d’informer »
Présentée dans la grande berne ouest du Centre de Rencontre d’Arc et Senans, l’exposition Le cirque Plume : l’éternité du saut périlleux, conçue par son directeur artistique Bernard Kudlak n’a rien d’un parcours didactique, chronologique ou nostalgique. Dans une joyeuse zizanie poétique, se mêlent photos (et quels photographes !), captations de spectacles, costumes, dessins et petites phrases.
Dans son dernier roman, «
Descriptif
La France est noyée sous une tempête diluvienne qui lui donne des airs, en ce dernier jour de 1999, de fin du monde. Alexandre, reclus dans sa ferme du Lot où il a grandi avec ses trois sœurs, semble redouter davantage l’arrivée des gendarmes. Seul dans la nuit noire, il va revivre la fin d’un autre monde, les derniers jours de cette vie paysanne et en retrait qui lui paraissait immuable enfant. Entre l’homme et la nature, la relation n’a cessé de se tendre. À qui la faute ?
Voilà maintenant plusieurs jours qu’une grève a débuté au Crédit agricole. la banque verte de la Guadeloupe est paralysée par un mouvement social. La quasi-totalité des agences sont depuis fermées et l’intersyndicale affiche un taux de grévistes de 70 %. L’intersyndicale avance un chiffre d’une quinzaine d’agences fermées sur les 19 du département, en raison de cette mobilisation pour exiger des garanties de maintien de l’emploi et d’acquis sociaux.
« Bal tragique à Colombey, 1 mort » : c’est ce qu’a titré l’hebdomadaire « Hara-Kiri » lorsque le général de Gaulle meurt. C’est à la suite de cette une que le journal sera interdit par Raymond Marcellin, ministre de l’Intérieur de l’époque. Motif ? C’est une publication « dangereuse pour la jeunesse ».
Ce document a été commandé par l’UNESCO comme information de contexte pour éclairer la rédaction du rapport de l’initiative Les futurs de l’éducation, qui sera publié en 2021. Il n’a pas été édité par l’UNESCO. Les perspectives et opinions exprimées dans ce document sont celles de l’auteur/les auteurs et ne devraient pas être attribuées à l’UNESCO. Ce document peut être cité avec la référence suivante : Damus, O. 2020. Les futurs de l’éducation au carrefour des épistémologies du Nord et du Sud. Document commandé pour le rapport de l’initiative Les futurs de l’éducation de l’UNESCO (à venir, 2021).
Face à la pandémie de coronavirus, les lieux publics « non indispensables à la vie du pays » comme les musées et salles de spectacles sont fermés. Voici donc une sélection d’autres activités à faire chez vous, pour se détendre et se cultiver en toute sécurité.
En 1977, à leur arrivée dans le village de Cacao, en Guyane française, il n’y avait rien. Ils ont tout construit : routes, écoles, habitations, cultures agricoles… Aujourd’hui, les Hmong, supplétifs de l’armée française lors de la guerre d’Indochine, semblent avoir réussi leur intégration au sein de la société guyanaise multi-ethnique. Mais 43 ans plus tard, qu’en est-il réellement ? Et quel avenir s’offre à leurs enfants ? Notre journaliste nous entraîne au cœur de la forêt amazonienne, à la rencontre de ce peuple singulier.
L’histoire des sciences sociales débute avec le siècle des Lumières, autours de 1650, lorsqu’une révolution au sein de la philosophie naturelle a changé le cadre de référence avec lequel les individus jaugeaient de la scientificité. Les sciences sociales sont issues de l’éthique de cette époque et ont été influencées par le long XIXe siècle ( la révolution industrielle et la révolution française, notamment). Les sciences sociales se sont développées à partir des sciences (expérimentales et appliquées), de savoirs existants, de pratiques normatives, et ce, dans un élan et une vision de progrès social lié à des groupes sociaux donnés.
Dans un lycée d’Île-de-France, un collectif de professeurs s’est réuni derrière une lettre lue aux élèves en hommage à Samuel Paty. Ils dénoncent les ravages de l’islamisme et réaffirment des principes républicains. Une lettre que Marianne publie.
La romancière est récompensée pour « le Cœur synthétique », un livre à la fois léger dans le ton et profond dans l’esprit, où l’on retrouve sa préoccupation essentielle : la cause des femmes.