Une étude publiée dans la revue Chemosphere le 11 octobre affirme que les masques chirurgicaux restent performants même si on « les lave jusqu’à dix fois en machine »
La conclusion est sans appel : un masque chirurgical lavé plusieurs fois reste plus performant qu’un masque en tissu. C’est ce que révèle une étude publiée le 11 octobre dans la revue Chemosphere. « Les masques médicaux chirurgicaux peuvent être lavés jusqu’à dix fois (…) sans aucune dégradation de leurs propriétés de filtration ou de respirabilité », souligne les auteurs de ces travaux. Autrement dit, le lavage de ces protections faciales n’altère pas leur compatibilité avec la norme – soit une filtration de 98% des particules comprises entre 650 nanomètres et 7 microns. A titre de comparaison, les masques en tissu n’atteignent que 90% de filtration pour un diamètre unique de 3 microns
L’étude est d’autant plus importante que le masque est devenu un outil indispensable dans notre quotidien. Et son usage devrait sans doute se prolonger dans les prochains mois. L’exécutif a toujours préconisé leur usage unique et la possibilité de réutiliser ces protections après plusieurs passages n’avait pas fait l’objet d’une évaluation systématique.

Nul ne peut se satisfaire de notre situation sanitaire calamiteuse, de la fracture sociale en cours et de la catastrophe annoncée d’une partie de notre économie. Ces éléments nous convoquent, non pas à la rhétorique, mais à nous doter d’une lucidité dans l’analyse de la situation, élément indispensable afin de nous orienter vers un accomplissement.
Un groupe de personnes qui célébraient le jour de l’indépendance du Mali a été brutalement attaqué le 28 septembre dans la région de Kayes, dans l’ouest du pays. Pieds et poings liés, des habitants considérés comme des « esclaves » ont été publiquement humiliés. Ces violences, qui ont fait un mort et plusieurs blessés, soulignent la persistance du système « d’esclavage par ascendance », malgré l’abolition du travail forcé et de la servitude dans le pays.
La mairie de New York a voté le retrait de la statue du père fondateur des Etats-Unis, propriétaire d’esclaves au XVIIIe siècle. De quoi relancer le débat sur la « cancel culture. »
Sao Paulo – Les cendres s’écoulent à travers un tamis, jusqu’au récipient plein de peinture. C’est avec des vestiges carbonisés de la végétation luxuriante d’Amazonie et d’autres régions du Brésil qu’a été créé une fresque géante sur la façade d’un immeuble de Sao Paulo.
Selon nos informations, le CHU de Martinique a décidé de ne plus exiger aux personnels hospitaliers le pass sanitaire pour entrer dans leur service. Le centre hospitalier était soumis à une vive contestation d’une partie des personnels sur les obligations sanitaires qui s’imposent pourtant partout en France.
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Étampes-sur-Marne (France) – De Sidney Bechet à la fanfare de la Garde républicaine, ses clarinettes ou tambours ont fait le tour du monde. Mais désormais réduit au silence par la crise sanitaire, le séculaire fabricant d’instruments PGM-Couesnon « se bat pour survivre ».
Au CCPYPM -Centre de culture populaire Ypiranga de Pastinha Martinique-, être Service civique c’est intégrer une équipe rayonnant sur la Martinique et être sur le terrain pour changer le paysage !
Au Fespaco, le Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou, les projections officielles ont débuté ce dimanche. Plusieurs catégories existent : longs métrages, mais aussi documentaires. En sélection, « En route pour le milliard » du Congolais Dieudo Hamadi revient sur la guerre des Six Jours dans la ville de Kisangani, guerre entre les armées rwandaises et congolaises.
Cette année, la nouvelle équipe de l’Ordre des Architectes de Martinique a décidé d’innover. Une construction éphémère, un jeu en plein air, des promenades. Non seulement le public a répondu présent mais il a déjà pris rendez-vous pour l’année prochaine !
Calais – La marionnette géante Amal, porte-voix des enfants en exil, a fait étape dimanche à Calais, haut-lieu de transit migratoire vers l’Angleterre, avant de traverser elle aussi la Manche pour conclure un périple de 8.000 km, a constaté un correspondant de l’AFP.
Au delà des questions sanitaires, l’épidémie de Covid-19 et le confinement ont provoqué un élan de remises en question du modèle économique qui régit nos sociétés. Mondialisation, sur-consommation, souveraineté sanitaire et alimentaire, révolution technologique, renouveau du thème de l’identité nationale, retour de l’autoritarisme … Autant de sujets que la crise a replacé sur le devant de la scène. L’année 2021 aura été marquée par un triple choc sanitaire, économique et financier pour les collectivités et entreprises (perte durable de recettes et de chiffre d’affaires). Le CEROM vient de publier une nouvelle étude sur les comptes économiques de la Guadeloupe et c’est un euphémisme de dire que la situation économique n’est pas réjouissante. La reprise d’activité de l’économie guadeloupéenne observée depuis 2014 suite à la chute brutale de la croissance en 2009 (– 4,8 %) a donc été stoppée. La croissance économique de la Guadeloupe recule ainsi à – 4,9 % en volume, après le ralentissement amorcé l’année précédente ( + 0,5 % en 2019 après + 1,3 %). Elle reste néanmoins supérieure à la dynamique nationale (– 7,9 %).
L’épidémie due au virus SARS-CoV-2 (covid19), devenue rapidement une pandémie, affectant la planète entière, s’est avérée constituer l’exemple parfait d’une syndémie (Merrill Singer, puis Richard Horton) en ce qu’elle a révélé, à travers des disparités d’un pays à l’autre, comment des causes multifactorielles (dont, la pauvreté, la malnutrition – ou la « malbouffe » – les conditions d’hygiène, l’état des services de santé publique, etc.) pouvaient aggraver, sur les populations, les effets directs de la propagation d’un agent pathogène ; en nombre d’hospitalisations critiques, dépassant les possibilités « normales » d’accueil des hôpitaux, et, hélas, en nombre de décès.
« Des tests uniquement faits pour aller au concert ou au restaurant, l’assurance maladie n’est pas faite pour ça », a déclaré ce vendredi 15 octobre sur franceinfo Thomas Fatome, directeur général de la Caisse nationale de l’assurance maladie. À partir de ce vendredi, les tests de Covid-19
Ces « démons » ,que l’on connaît le plus souvent sous le nom des possédés, « kaléidoscopés » par Guy Cassiers, directeur artistique de la Toneelhuis d’Anvers, ne manquent pas, dans la solennité de la salle Richelieu de la Comédie Française, de solliciter le spectateur.
Produite par la Fondation Clément en partenariat avec la DEAL et le PNRM dans le cadre de la candidature de la Martinique à l’inscription sur la liste patrimoine UNESCO.
Au Palais des sports de Ouagadougou, Serge Aimé Coulibaly fait les derniers réglages pour le spectacle d’ouverture du Fespaco qui aura lieu samedi 16 octobre. Pour cette 27e édition du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou, au Burkina Faso, le chorégraphe, ses 80 danseurs, acrobates et comédiens, ont décidé de rendre hommage à la femme, à travers le spectacle « Yennenga Leguessi » ou l’hymne à la résilience.
Paris – Le
La vaccination contre le Covid-19 réduirait de plus de 90% le risque d’hospitalisation et de décès chez les personnes de plus de 50 ans, jusqu’à au moins cinq mois après un schéma vaccinal complet. C’est ce que montrent les dernières études réalisées par l’Assurance maladie et l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM).
L’injection d’une dose de rappel pour les personnes les plus fragiles et les personnes âgées de 65 ans et plus est désormais possible. Depuis le 6 octobre 2021, les professionnels qui prennent en charge ou accompagnent ces personnes vulnérables peuvent également recevoir une 3
Le nombre croissant des sans-abris, des mendiant.es devant les supermarchés et les boulangeries, le nombre de sollicitations pour nos paniers solidaires nous a toutes et tous interpellé.es et touché.es.
Les 16 et 17 octobre 2021, l’Ordre des Architectes convie les Martiniquais aux Journées Nationales de l’Architecture (JNA). Les 2 jours seront ponctués de visites, de jeux et d’échanges autour de l’architecture. Cette année, une construction éphémère inédite sera exposée à Fort-de-France.
L’Union des Femmes de Martinique en association avec le mouvement Rasin kanpep la et les organisations féministes GADES (Groupe d’Appui au Développement du Sud d’Haïti), a lancé un appel aux dons numéraires pour financer l’achat de tissus servant à la confection de robes « habits-abris » qui seront fabriquées directement en Haïti. Ces « habits-abris » permettent de se