Du 3 au 14 mai à 20h 30 -Série- Podcasts-
Réalisée par Cédric Aussir, cette adaptation du chef-d’œuvre de Voltaire est un bijou radiophonique. Enlevée, drôle et servie par une distribution de rêve.
Joie, bonheur et bis repetita. Entendre, (ré)entendre Candide. Comme ça. C’est-à-dire à la fois à la lettre (irréprochable adaptation de Laure Egoroff) et de manière si enlevée que Bridgerton et sa chronique peuvent aller se rhabiller quand, dès le premier épisode, il suffit d’un mot (« parapet ») pour emballer nos imaginaires. Pour aussi, et comme à toute cause il faut bien un effet, que ledit jeune homme, trop épris de la belle Cunégonde, se fasse chasser du château. Le reste – le pire, en réalité – est bien connu des lycéens, qui devraient pouvoir ainsi joyeusement réviser… ( Le Monde)
Synopsis :
Candide est un jeune garçon vivant au château du baron de Thunder-ten-tronckh qui se trouve en Westphalien 6. Il a pour maître Pangloss, philosophe qui enseigne la « métaphysico-théologo-cosmolonigologie », et qui professait, à l’instar de Leibniz, que l’on vit dans le meilleur des mondes possibles — la philosophie leibnizienne est cependant déformée dans ce que professe Pangloss17.