Jeudi 9 mars 2023 à 20h au Majestic Bastille à Paris
Une série intime sur un sujet de société trop rare à la télévision, à travers le portrait touchant d’une mère et de son fils, tous deux atteints du syndrôme d’Asperger, « Aspergirl » est un appel à la bienveillance et à l’acceptation des différences. Dès le 6 avril 2023 sur OCS.
Louison, 38 ans, mère célibataire récemment séparée, découvre qu’elle présente un trouble du spectre de l’autisme lorsqu’on diagnostique son fils Guilhem, 11 ans, qui a blessé un camarade de classe le jour de la rentrée.
À peine se sent-elle libérée par cette révélation qu’une enquête sociale démarre pour savoir si elle doit conserver la garde de son enfant. Louison décide alors d’apparaître la plus “normale” possible aux yeux de l’enquêteur social.
Mais ni elle, ni sa famille ne sait vraiment ce qu’être normal signifie.
Avec humour, Aspergirl mélange les codes de la dramédie familiale et du coming of age (ici tardif) en suivant les tribulations d’une mère de famille pas tout à fait comme les autres, qui questionne notre rapport à la norme.

Il faut être aveuglé pour ne pas reconnaître que les luttes féministes n’ont pas totalement abouti et que l’égalité en dignité et en droits, depuis peu dans les textes, est encore peu respectée. La nécessité de poursuivre le travail pour plus de justice et moins de violence est d’ailleurs soutenue par une majorité de la population. Fort de ce soutien, des féministes, qui considèrent que seules les femmes peuvent être féministes et que l’on peut appeler néo-féministes, en profitent pour élargir leurs revendications, certaines de ne pouvoir défendre, dans tous les cas, que la démocratie. Celles-ci transforment le féminisme des années 1960 en une idéologie fortement inspirée des Etudes de genre et plus récemment du « wokisme ».
Le jazzman américain Wayne Shorter, saxophoniste considéré comme l’un des plus grands compositeurs de jazz des Etats-Unis et musicien touche-à-tout, est mort jeudi à Los Angeles à l’âge de 89 ans.
— Par Christian Antourel —
Traduit par Patrick FAUGERAS
Recherche // Appel à participation – Dans le cadre de son projet Glorié zansèt nou glorié nou, l’artiste Maroussia POURPOINT, recherche des jeunes intéressés par l’art et le spectacle vivant, âgés de 18 à 30 ans et résidants en Martinique.
Salle Case à Vents – CinéClub : Carlos Saura
De Hefang Wei
Tropiques Atrium – Salle Frantz Fanon
Salle Frantz Fanon
De : Jean-Albert Lièvre
Ou a bo vréyé vié pawol
— Par l’Union des Femmes de Martinique —
Dans « Une contre-histoire de la colonisation français » l’écrivain Driss Ghali bat en brèche les idées reçues sur la colonisation. L’historien et philosophe Marcel Gauchet estime qu’Emmanuel Macron devrait lire d’urgence ce livre.
Basé sur l’intelligence artificielle GPT-3.5, ChatGPT est un modèle d’intelligence artificielle qu’on appelle IA générative. Elle a été conçue pour générer du texte avec un rendu naturel, un peu à la façon dont une personne réelle pourrait rédiger une réponse. La génération automatique de texte se fait à la volée avec des réponses plus ou moins longues selon les demandes. En général, la longueur est d’un ou deux paragraphes.
Qui se souvient aujourd’hui de Sam Castendet, clarinettiste et chef d’orchestre, qui méritait d’accéder à la notoriété d’un Benny Goodman de la biguine ?
En grève à partir du 07 mars 2023
C’est une véritable plongée dans le parcours militant d’Angela Davis. Astrid Bayiha nous emmène dans une traversée politique, poétique et musicale de la vie de cette femme hors norme qui a dédié sa vie à la lutte pour tous les discriminés. Dans un univers sonore entre rap et jazz s’entrecroisent des extraits de discours, des archives vidéo et le texte de Faustine Noguès.
Imaginé et organisé par le chanteur lyrique Fabrice di Falco, président des Voix des Outre-mer, et Julien Leleu, président de l’association Les Contres Courants, le concours a pour but de rendre visible la richesse et la diversité des Outre-mer et de célébrer la musique sous toutes ses formes par la promotion du chant lyrique.
Danse
Le projet de la CTM pour « enrayer » le déclin démographique de la Martinique a, je l’accorde volontiers, le mérite d’exister. Et ce grâce, il faut le dire, aux subsides du gouvernement que quelques-uns accusent avec mauvaise foi de faire peu de cas du sujet. Paris gère et n’a jamais cessé de le faire; certes à bas bruit et selon ses intérêts et ses priorités. Depuis des décennies il mène une politique migratoire dont chaque Préfet a la charge dans le territoire qu’il administre. Ainsi 50 à 70 étrangers, en très grande majorité d’origine haïtienne, saint-lucienne et dominicaine, obtiennent chaque année en Martinique la nationalité française et bon nombre bénéficie d’une carte de séjour(1). Aucun politique local ne s’y est intéressé jusqu’ici : tous, tout parti confondu, ont laissé l’entière responsabilité de la politique migratoire dans notre île à ceux qui dit-on nous néo-colonisent. Soit-dit entre parenthèse, pour ceux qui sont hostiles aux étrangers, que la Martinique est la région française où le taux d’immigration est le plus faible, environ 2% contre 12,7% en France, 14,8% en Espagne et 18,1% en Allemagne (chiffres Insee 2020).
— Par Gérald Rossi —