Jeudi 7 août 2025, le Conseil constitutionnel a donné son feu vert à la loi de programmation pour la refondation de Mayotte, ainsi qu’à la loi organique relative à son organisation institutionnelle. Saisi mi-juillet par des parlementaires de gauche, opposés notamment à certaines dispositions du volet migratoire, le Conseil a jugé les textes globalement conformes à la Constitution, malgré quelques réserves d’interprétation.
Présentée par le gouvernement comme une réponse aux multiples crises que traverse Mayotte — aggravées par le passage du cyclone Chido en décembre 2024 — cette réforme vise à restructurer profondément le territoire, tant sur les plans juridique, social, institutionnel que sécuritaire.
Une loi justifiée par les « caractéristiques et contraintes particulières » de Mayotte
Au cœur des débats : les mesures de durcissement en matière d’immigration, contestées par des députés socialistes, insoumis et écologistes, qui les estimaient contraires aux principes d’égalité et de protection de l’enfance.
Le Conseil constitutionnel a cependant estimé que la situation migratoire de Mayotte — marquée par une forte proportion de résidents étrangers, dont beaucoup en situation irrégulière — constitue bien une « contrainte particulière » au sens de l’article 73 de la Constitution, qui permet des adaptations législatives spécifiques pour les territoires ultramarins.

La signature de l’accord de Bougival par le responsable de la délégation kanak, l’État français, les Caldoches auto-désigné·e·s
Chapitre XVII
La mutation sociétale de la Guadeloupe est en marche avec les enjeux économiques de l’intelligence artificielle et de la robotisation.
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Dans la nuit du 4 août 1789, un bouleversement sans précédent ébranle les fondements de la société française. En une séance mémorable de l’Assemblée nationale constituante, les députés proclament la fin des privilèges féodaux, mettant ainsi un terme à un ordre social millénaire fondé sur l’inégalité des droits. Ce moment historique, survenu dans une atmosphère de ferveur révolutionnaire et d’urgence nationale, s’impose comme l’un des actes fondateurs de la Révolution française.
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Voici la quatrième partie et fin d’un article en quatre parties. C’est une tentative de compréhension et un appel à faire évoluer le rapport de force actuel.
À l’heure où les outils numériques prennent une place croissante dans le quotidien des jeunes, l’école se doit d’accompagner ce mouvement avec discernement. Si le numérique peut représenter un levier efficace pour les apprentissages et le développement de compétences, il comporte également des risques réels en cas d’usage excessif ou inadapté. Santé mentale, concentration, relations sociales ou encore exposition à des contenus inappropriés : les dérives sont nombreuses, notamment chez les plus jeunes.
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D’ici 2030 , l’autonomie à l’épreuve du grand dessèchement monétaire et de la rigueur budgétaire.
L’État renouvelle son engagement en faveur de l’égalité des chances
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Textes en Paroles lance un nouvel appel à écritures théâtrales pour des textes spécifiquement destinés à la jeunesse
Au-delà du chlordécone, une culture ancrée de l’empoisonnement colonial.
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Le besoin de rivalité tient en général de la trivialité d’une sensibilité d’asthénie existentielle, de banalité de soi qui pousse aux conflits de personnalité comme pour se signifier à soi-même. La rivalité ne naît que lorsque deux individus mutuellement banals, réciproquement insignifiants se cherchent une différence non dans l’intrinsèque mais par la vanité de critères qualitatifs plats sans importance. Dans le cas contraire, il y aura agressivité, haine de la part du taré en mal de conflits mais pas de rivalité, même en cas d’agression infligée à celui qu’il prend pour cible, qui, néanmoins devra se défendre si nécessaire…
Le déni collectif de réalité économique et les non dits sur la question identitaire et raciale ne sont-ils pas les principaux freins au développement harmonieux de la Guadeloupe ?