— Par Hélène Lemoine —
La fête des morts est un rituel universel, célébré depuis des millénaires sous des formes variées à travers le monde. Elle exprime un lien profond entre les vivants et les défunts, une façon d’affirmer que la mort n’efface pas la mémoire ni l’amour. Dans de nombreuses cultures, ces célébrations sont à la fois religieuses, sociales et symboliques : elles rappellent la continuité de la vie au-delà du temps.
Des traditions multiples à travers le monde
En Asie, la fête des morts prend des visages très différents selon les pays.
En Chine, la fête de Qing Ming, au mois d’avril, est un moment de recueillement : les familles nettoient les tombes et apportent des offrandes à leurs ancêtres. Une autre célébration, la fête des fantômes (Zhongyuanjie), honore les esprits errants à qui l’on offre des repas pour apaiser leur solitude.
Au Népal, la fête de Gai Jatra, dite « fête des vaches », permet de rendre hommage aux défunts de l’année : les familles défilent dans les rues avec des représentations symboliques du défunt.

Texte de Madjanie Leprix
— Par Camille Loty Malebranche —
Le Modem Martinique, conscient des difficultés engendrées en Jamaïque, une de nos îles sœurs anglophones des Antilles, par le cyclone Melissa, témoigne de sa profonde sympathie à son gouvernement ainsi qu’à toute sa population.
— Par Robert Berrouët-Oriol (*) —
— Par Sabrina Solar —

L’énorme risque systémique du changement climatique pour la Guadeloupe et la Martinique.
— Par Sarha Fauré —
Par Maxime Jean-Baptiste, Audrey Jean-Baptiste | Avec Melrick Diomar, Yannick Cébret, Nicole Diomar | 16 juillet 2025 en salle | 1h 17min | Drame
A l’occasion de la présentation de l’ouvrage de traduction créole « L’Histoire du soldat/Listwa solda a« , de Charles Ferdinand RAMUZ et Rodolf ETIENNE, paru aux Editions L’Harmattan en février 2024, le vendredi 21 octobre 2025, à partir de 18h30, à la Bibliothèque Schoelcher, 1, rue de la liberté à Fort-de-France, voici une présentation par le traducteur de la fameuse pièce. Une présentation que vous redécouvrirez lors de cette rencontre.
L’unilatéralisme créole, promu par les Ayatollahs fondamentalistes
— Par Robert Saé (*) —
— Par Jean-Marie Nol —


— Par Hélène Lemoine —
Après “Ile aux esclaves”, “Ile empoisonnée”, devrait-on terminer la trilogie par le label “Ile du Shatta” ? Alors que la société martiniquaise se délite à vive allure, son élite politique ne se retrouvant que sur les lieux et durant les jours de barnums populistes, il me vient en mémoire cet article publié par votre serviteur le 10 mai 2005, repris dans son ouvrage En finir avec les blessures de la peau (2023) et reproduit ci-dessous : “A quand une autorité morale martiniquaise ?” La future autonomie pourra-t-elle se passer d’une telle autorité ?
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Sarha Fauré —
O énigme du mal