 — Par Sabrina Solar —
— Par Sabrina Solar —
Canicules à répétition, sécheresses prolongées, pollution de l’air, feux de forêts… Les conséquences du réchauffement climatique pèsent de plus en plus lourd sur la santé humaine, avertit le dernier rapport Lancet Countdown, publié ce mercredi par la revue médicale The Lancet. Ce document, élaboré par plus d’une centaine de chercheurs internationaux sous la coordination de l’University College London et en partenariat avec l’Organisation mondiale de la santé (OMS), dresse un constat alarmant : le changement climatique est devenu l’une des plus graves menaces sanitaires de notre époque.
« Le changement climatique menace la santé à un niveau sans précédent », résument les auteurs, soulignant que la hausse continue des températures mondiales, alimentée par la consommation record d’énergies fossiles en 2024, aggrave chaque année les risques pour des millions de personnes.
Des chiffres qui témoignent de l’urgence
Pour la première fois, le rapport fournit des estimations précises de la mortalité liée aux effets directs du réchauffement. Entre 2012 et 2021, la chaleur extrême aurait causé en moyenne 546 000 décès par an, soit une augmentation marquée par rapport aux années 1990.

 A l’occasion de la présentation de l’ouvrage de traduction créole « L’Histoire du soldat/Listwa solda a« , de Charles Ferdinand RAMUZ et Rodolf ETIENNE, paru aux Editions L’Harmattan en février 2024, le vendredi 21 octobre 2025, à partir de 18h30, à la Bibliothèque Schoelcher, 1, rue de la liberté à Fort-de-France, voici une présentation par le traducteur de la fameuse pièce. Une présentation que vous redécouvrirez lors de cette rencontre.
A l’occasion de la présentation de l’ouvrage de traduction créole « L’Histoire du soldat/Listwa solda a« , de Charles Ferdinand RAMUZ et Rodolf ETIENNE, paru aux Editions L’Harmattan en février 2024, le vendredi 21 octobre 2025, à partir de 18h30, à la Bibliothèque Schoelcher, 1, rue de la liberté à Fort-de-France, voici une présentation par le traducteur de la fameuse pièce. Une présentation que vous redécouvrirez lors de cette rencontre.

 Texte de Madjanie Leprix
Texte de Madjanie Leprix

 L’énorme risque systémique du changement climatique pour la Guadeloupe et la Martinique.
L’énorme risque systémique du changement climatique pour la Guadeloupe et la Martinique.
 — Par Sarha Fauré —
— Par Sarha Fauré — Par Maxime Jean-Baptiste, Audrey Jean-Baptiste | Avec Melrick Diomar, Yannick Cébret, Nicole Diomar | 16 juillet 2025 en salle | 1h 17min | Drame
Par Maxime Jean-Baptiste, Audrey Jean-Baptiste | Avec Melrick Diomar, Yannick Cébret, Nicole Diomar | 16 juillet 2025 en salle | 1h 17min | Drame L’unilatéralisme créole, promu par les Ayatollahs fondamentalistes
L’unilatéralisme créole, promu par les Ayatollahs fondamentalistes  — Par Robert Saé (*) —
— Par Robert Saé (*) — — Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —





 — Par Hélène Lemoine —
— Par Hélène Lemoine — Après “Ile aux esclaves”, “Ile empoisonnée”, devrait-on terminer la trilogie par le label “Ile du Shatta” ? Alors que la société martiniquaise se délite à vive allure, son élite politique ne se retrouvant que sur les lieux et durant les jours de barnums populistes, il me vient en mémoire cet article publié par votre serviteur le 10 mai 2005, repris dans son ouvrage En finir avec les blessures de la peau (2023) et reproduit ci-dessous : “A quand une autorité morale martiniquaise ?” La future autonomie pourra-t-elle se passer d’une telle autorité ?
Après “Ile aux esclaves”, “Ile empoisonnée”, devrait-on terminer la trilogie par le label “Ile du Shatta” ? Alors que la société martiniquaise se délite à vive allure, son élite politique ne se retrouvant que sur les lieux et durant les jours de barnums populistes, il me vient en mémoire cet article publié par votre serviteur le 10 mai 2005, repris dans son ouvrage En finir avec les blessures de la peau (2023) et reproduit ci-dessous : “A quand une autorité morale martiniquaise ?” La future autonomie pourra-t-elle se passer d’une telle autorité ? — Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
 — Par Sarha Fauré —
— Par Sarha Fauré —
 O énigme du mal
O énigme du mal — Par Gary Klang —
— Par Gary Klang —

 (Editions 2025 chez Matthes et Seitz (Berlin, Allemagne) Spécialistes de l’Afrique et des Caraïbes
(Editions 2025 chez Matthes et Seitz (Berlin, Allemagne) Spécialistes de l’Afrique et des Caraïbes — Par Jean Marie Nol —
— Par Jean Marie Nol — Pendant dix-sept ans, le réalisateur new-yorkais (USA) Rico Speight a sillonné le monde – de la Caroline du Nord à Fort-de-France, en passant par l’Algérie – pour réaliser Rediscovering Fanon, un documentaire profond, humaniste et exigeant, qui interroge la persistance du racisme, les fractures postcoloniales et l’actualité brûlante de la pensée fanonienne. Le film était présenté au François en Martinique en juillet 2025 dans le cadre du Centenaire de Frantz Fanon organisé par l’Association Caribéenne de Philosophie (ACP). Rencontre bilingue avec un cinéaste engagé, entre héritage, conscience et transmission.
Pendant dix-sept ans, le réalisateur new-yorkais (USA) Rico Speight a sillonné le monde – de la Caroline du Nord à Fort-de-France, en passant par l’Algérie – pour réaliser Rediscovering Fanon, un documentaire profond, humaniste et exigeant, qui interroge la persistance du racisme, les fractures postcoloniales et l’actualité brûlante de la pensée fanonienne. Le film était présenté au François en Martinique en juillet 2025 dans le cadre du Centenaire de Frantz Fanon organisé par l’Association Caribéenne de Philosophie (ACP). Rencontre bilingue avec un cinéaste engagé, entre héritage, conscience et transmission. L’ignorance est, on le sait, l’état naturel de l’homme. Ainsi, tout humain a pour mission dévolue ici-bas de faire reculer l’ignorance selon le petit empan d’apprentissage qu’il a à sa portée. Désapprendre préjugés et réflexes animaux pour transcender l’animal humain par la faculté d’intelligence de l’esprit, est la bonne foi naturelle de l’homme équilibré. Car si l’homme est « le seul animal qui sait qu’il sait » comme le dit Teilhard de Chardin, il est à fortiori, la seule conscience qui sait qu’elle ne sait pas, qui connaît son ignorance et qui, lorsqu’elle est normale assumée selon sa nature de non sachant, cherche à savoir tout en respectant les bonnes balises. La sottise, elle, est de l’insanité agressive et prétentieuse, qui, non seulement refuse d’apprendre, mais aussi brandit ses conneries immondes en les imposant avec autorité comme pour en faire un empire, un ordre, au nom de sceaux institutionnels et de parchemins scolaires ou de structures officielles qui cooptent ça et là des histrions pour jouer au nom du système établi, leur sinistre ouverture cosmopolitique, leur soi disant universalité.
L’ignorance est, on le sait, l’état naturel de l’homme. Ainsi, tout humain a pour mission dévolue ici-bas de faire reculer l’ignorance selon le petit empan d’apprentissage qu’il a à sa portée. Désapprendre préjugés et réflexes animaux pour transcender l’animal humain par la faculté d’intelligence de l’esprit, est la bonne foi naturelle de l’homme équilibré. Car si l’homme est « le seul animal qui sait qu’il sait » comme le dit Teilhard de Chardin, il est à fortiori, la seule conscience qui sait qu’elle ne sait pas, qui connaît son ignorance et qui, lorsqu’elle est normale assumée selon sa nature de non sachant, cherche à savoir tout en respectant les bonnes balises. La sottise, elle, est de l’insanité agressive et prétentieuse, qui, non seulement refuse d’apprendre, mais aussi brandit ses conneries immondes en les imposant avec autorité comme pour en faire un empire, un ordre, au nom de sceaux institutionnels et de parchemins scolaires ou de structures officielles qui cooptent ça et là des histrions pour jouer au nom du système établi, leur sinistre ouverture cosmopolitique, leur soi disant universalité.
 Dans les années 1960, Nicolás Guillén Landrián (1938-2003) devient le premier cinéaste noir de Cuba. Neveu du poète de la négritude Nicolás Guillén, il s’impose rapidement comme une figure singulière du jeune cinéma révolutionnaire. Peintre, poète du réel, documentariste audacieux, Landrián développe un langage cinématographique d’une grande modernité, marqué par la liberté formelle, la force visuelle et la sensibilité sociale.
Dans les années 1960, Nicolás Guillén Landrián (1938-2003) devient le premier cinéaste noir de Cuba. Neveu du poète de la négritude Nicolás Guillén, il s’impose rapidement comme une figure singulière du jeune cinéma révolutionnaire. Peintre, poète du réel, documentariste audacieux, Landrián développe un langage cinématographique d’une grande modernité, marqué par la liberté formelle, la force visuelle et la sensibilité sociale. Avec la chorale « Joie de Chanter » et l’autrice Léa Mormin-Chauvac
 Avec la chorale « Joie de Chanter » et l’autrice Léa Mormin-Chauvac — Par Karl Paolo —
— Par Karl Paolo — Après Haïti, mon pays, Jocelerme Privert publie :
Après Haïti, mon pays, Jocelerme Privert publie : Né parmi les rideaux de soie et les meubles lourds de Port-au-Prince, Jacques Roumain choisit la poussière, choisit le feu, choisit la lutte.
Né parmi les rideaux de soie et les meubles lourds de Port-au-Prince, Jacques Roumain choisit la poussière, choisit le feu, choisit la lutte. Aide au logement
Aide au logement PSYCHANALYSE
 PSYCHANALYSE — Par Robert Berrouët-Oriol (*) —
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 — Collectif —
— Collectif — — Par Robert Berrouët-Oriol(*) —
— Par Robert Berrouët-Oriol(*) — — Par Patrick Mathelié-Guinlet —
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— — Par Daniel M. Berté —
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Créé en 2013 par Véronique Thomassin, ancienne cheffe de chœur des Petits Chanteurs à la Croix de Bois, le chœur des Petits Chanteurs de France réunit des garçons âgés de 8 à 18 ans, passionnés de chant choral. La formation se distingue par son exigence artistique et sa vocation éducative, alliant musique, voyages et ouverture culturelle.


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