ZHOU SHICHAO
Claude DARRAS
Préface : Guy Toubon
Iconographie : Plus de 200 reproductions d’oeuvres
Zhou Shichao divise la matière, disloque la lumière du prisme et fait éclater les couleurs. Né en 1965 à Qingdao (Shandong), le peintre chinois est rebelle à toute tyrannie d’école. De Pékin à Florence, de la Côte d’Azur à la Californie, il restitue sur la toile de lin ou le vergé du papier les sensations subtiles de coups de foudre, les impressions fugitives de visions prophétiques, l’intensité d’une imagination souveraine. Dans ses gouaches comme dans ses huiles se mêlent la puissance d’un souffle ancestral issu des profondeurs de la civilisation millénaire de l’empire du Milieu et les influences des impressionnistes du XIXe siècle.
Devenu professeur à l’université de Jinan (Shandong), il expose à Pékin, Shanghai et Hong Kong entre 1998 et 2000, puis à Marseille en 2010 et en 2013, invité à l’occasion de Marseille Provence 2013 Capitale européenne de la culture. Après Monaco en novembre 2016, la prochaine exposition de ses oeuvres aura lieu en Californie en avril 2017.

Emé ! O Emé ! Anmwé ! Soukou ! Nou pri !
Synopsis
La lutte contre l’homophobie, la lesbophobie, la biphobie et la transphobie constituent une priorité. A l’instar d’autres formes de discrimination et d’intolérance telles que le racisme, le sexisme ou l’antisémitisme, l’homophobie engendre en effet des conséquences importantes, parfois dévastatrices, dans la vie des individus qui en sont victimes. L’homosexualité est encore punissable dans près de 80 pays dans le monde ; les droits des personnes LGBT (Lesbian, Gay,Bisexual, Transgender) sont bafoués dans davantage de pays encore.
SOS homophobie publie son 21ème rapport sur l’homophobie. Il constitue le seul état des lieux chiffré de la lesbophobie, la gayphobie, la biphobie et la transphobie en France aujourd’hui.
Cognitis enim pilatorum caesorumque funeribus nemo deinde ad has stationes appulit navem, sed ut Scironis praerupta letalia declinantes litoribus Cypriis contigui navigabant, quae Isauriae scopulis sunt controversa.
Avons-nous atteint notre but premier : « promouvoir les arts traditionnels de l’Afrique subsaharienne » ? Telle était la mission définie par Michel Leveau lorsqu’il créa la Fondation Dapper en 1983.
Jusqu’au 27
L’exposition Photographies habitées, qui se tient en ce moment à la Fondation Clément, n’a pour moi qu’un seul défaut, celui de nous laisser sur notre faim, puisqu’au sortir de ce superbe lieu qu’est le nouveau musée, nous voici hantés par certains des clichés de Jean-Luc de Laguarigue, et de ce fait désireux d’en pouvoir découvrir davantage. Certes, il existe en librairie de beaux ouvrages à consulter ou à se procurer, mais rien ne vaudra jamais la confrontation de son propre corps aux œuvres exposées, dans toute leur nudité, sur les murs des salles dédiées.
La remarquable et préoccupante absence des Partis Communistes Français et Martiniquais lors des débats présidentiels, où toutes les tendances se sont manifestées héroïquement, nous a quelque part interpellés. Est-ce dû à une carence idéologique de leur part ou simplement une déconcertante fidélité à un dogme, qui nous le pensons reste éminemment sociétal ? Pourtant, la présence de cette idéologie si généreuse dans toutes les luttes menées ici et ailleurs, contre le colonialisme et le capitalisme est remarquée, appréciée et respectueusement saluée. Aujourd’hui, les rapports de force ont changé. La réalité économique qui consolide le Capital, les échecs successifs des principes, la peur de rester en dehors des limites-frontières sociales, l’inculture distribuée abondamment, ce qui incite à supporter l’hypothèse de la tricherie, frisant le truandage, quant à la distribution inique des richesses obtenues par les travailleurs. Tout ceci amènerait à modifier les méthodes, mais pas les buts ? En multipliant les apports extérieurs, en y trouvant en particulier des apports progressistes donc historiques. Le Marxisme a souvent su exécuter toutes les danses, puisqu’il en a été un des meilleurs metteurs en musique !
Sur le Boulevard Général De Gaulle ( depuis la portion de la rue Lecornu jusqu’au porche de la mairie)
L’association Culture égalité propose au public une conférence théâtralisée « Marronnes et rebelles, elles ont fait notre Caraïbe et nos Amériques ». Le vendredi 19 mai à 19 heures dans la rue Garnier Pages.
E.sy Kennenga est né le 17 mars 1984 en Martinique d’une famille de musiciens. Dès l’âge de 5 ans, il étudie la guitare. A 14 ans, il écrit ses premières compositions. Avec le groupe « One Day », il fait ses premiers pas sur scène et deux albums sont édités « Un jour » en 2001, puis « Il Faut Le Dire » en 2003.
Les ateliers cinéma, c’est jouer et :
Plébiscité dans le monde entier, Joël Pommerat évoque son succès et sa méthode à l’occasion du retour sur scène de ses contes de fées.
Texte présenté par la troupe des Comédiens de Martinique.
Entourée de musiciens qu’elle pense encore pouvoir mener à la baguette, une diva de la danse nous ouvre les portes du club qu’elle dirige d’une main de maître.
— par Janine Bailly —
L’ancien ministre grec, qui avait appelé à voter Emmanuel Macron, estime qu’il va « se casser les dents » sur la politique d’austérité pronée par Angela Merkel.
Apiculteur dans la partie cévenole du département de la Lozère, secrétaire général et porte parole de l’Union nationale de l’apiculture française, Henri Clément se bat en France depuis des décennies pour sensibiliser les français sur le rôle irremplaçable des insectes pollinisateurs que sont les abeilles. Né en 1960 et titulaire d’une maîtrise d’histoire, il choisira d’être apiculteur avec 350 ruches installées sur des zones propices à la production de miel sur quatre départements: l’Aude, le Gard , l’Hérault ,la Lozère .
Jeudi 11 mai, à la salle Tarer de Pointe-à-Pitre, la Martinique était à l’honneur avec «