– Album illustré MOI AUSSI JE DANSE LE QUADRILLE de la journaliste et auteure Isabelle Calabre et de l’illustratrice Colombine Majou.
– Roman LE BAL DES CLOCHARDS CÉLESTES de l’écrivain Ernest Pépin.
– Recueil de peintures CASES CARAÏBES. CARIBBEAN CABINS du peintre Paul Elliott Thuleau (ouvrage en français et anglais).
Florent Charbonnier
Éditeur Guadeloupe – Martinique – Guyane – La Réunion
0690 12 12 12 / 07 60 24 48 96
Caraïbéditions Guadeloupe : BP 110 – 97112 Grand-Bourg – Guadeloupe
Caraïbéditions Martinique : MBE 212 – Mangot-Vulcin – 97288 Le Lamentin -Martinique
– Titre : Moi aussi je danse le quadrille
– Auteures : Isabelle Calabre et Colombine Majou
– Date de sortie en librairie : 1er février 2024
– Collection : Moi aussi je danse…
– ISBN : 9782373111767
– Prix TTC métropole : 14,70 €
– Public : Tout public
– Format : 200 X 200 mm
– Paginations : 32 pages
– Résumé : Un beau soir, Anita découvre les quadrilles créoles.
Et avec ces danses, tout un pan de l’histoire des Antilles et de la Guyane…
Une nouvelle collection d’albums jeunesse, qui raconte en images toutes les danses pour les enfants d’aujourd’hui.

Viktor Lazlo
Née à Paris d’une mère martiniquaise et d’un père lyonnais, Anne Terrier a toujours nourri le désir d’écrire, même si la littérature lui semblait initialement hors de portée. Son admiration pour les écrivains, qu’elle dévorait à travers leurs romans, ainsi que pour ceux de son entourage, tels que le poète et traducteur Roger Giroux (son père), l’écrivain et philosophe Edouard Glissant (son oncle), le compositeur et écrivain Maurice Roche (ami de la famille), a joué un rôle déterminant dans son parcours.
A travers deux livres « un Afghan à Paris » et « Chant de la mélancolie », Mahmud Nasimi évoque le long périple qu’il a accompli avant d’arriver à Paris : Iran, Turquie, Grèce, Serbie, Hongrie, Autriche, Allemagne, Belgique. Parti précipitamment de Kaboul en 2013 car menacé, il prend la route de l’exil et y connaît ces douleurs multiples qui blessent jusqu’à l’intime : peur, soif, faim, duplicité des passeurs, vols et trahisons, prison et chantages…
Ce roman débute par l’annonce de l’assassinat d’un propriétaire de terres, membre éminent du 

Le monde de la littérature française laisse éclater sa joie alors que le quatrième roman de Jean-Baptiste Andrea, intitulé « Veiller sur elle, » est couronné du prestigieux Prix Goncourt 2023 lors du 14e tour de scrutin. Ce roman publié par les éditions L’Iconoclaste nous emmène dans une épopée artistique et amicale à travers l’Italie de l’entre-deux-guerres aux côtés de Michelangelo Vitaliani, surnommé « Mimo, » un sculpteur de génie.
Le mardi 7 novembre, Ann Scott, la romancière de 58 ans, s’est vu décerner le prestigieux prix Renaudot 2023 pour son roman « Les Insolents ». Ce livre, publié par Calmann-Lévy, raconte l’histoire d’une quadragénaire nommée Alex qui décide de quitter Paris pour se réinventer. La protagoniste, compositrice de musique de films, aspire à vivre « ailleurs et seule », et son périple constitue le cœur de ce récit captivant. Ce roman, qui dépeint la beauté de la solitude choisie, a rencontré un franc succès depuis sa publication.
— Par M’A —
L’Académie française a décerné son prestigieux Grand Prix du roman à Dominique Barbéris pour son œuvre « Une façon d’aimer ». Ce roman, salué par la critique, a été choisi dès le premier tour de vote par 14 voix, mettant en lumière le talent exceptionnel de cette auteure dont la « reconnaissance officielle » était depuis longtemps attendue.
– Titre : A la rencontre de Mèt-Bwa

Louise Erdrich, lauréate du Prix Pulitzer en 2021 pour son roman « Celui qui veille », nous transporte dans un univers envoûtant avec son dernier ouvrage, « La Sentence ». Ce roman captivant se déroule à Minneapolis, dans le Minnesota, un État où la culture autochtone amérindienne est particulièrement présente. Au cœur de l’histoire se trouve Tookie, une femme d’origine amérindienne, dont la vie a été marquée par un crime lié au trafic de stupéfiants, l’envoyant derrière les barreaux pour soixante ans.
Les Cahiers d’histoire. Revue d’histoire critique sont une revue trimestrielle, organisée pour chaque numéro autour d’un dossier thématique qui donne son titre au volume. Cette revue généraliste se donne comme objectif, à travers une grande diversité de thématiques, de développer une histoire polarisée autour du fonctionnement des dominations sociales dans toutes leurs dimensions politiques, économiques et culturelles. Cette approche s’accompagne d’une démarche réflexive sur les formes de production et les usages du savoir historique dans ces processus de domination.
Que demande le peuple ?
S
Collection Continents Noirs, Gallimard
« – Ce que nos ancêtres n’ont pas su faire, faisons-le maintenant ! D’un geste rapide, Marijosé Alie écarte sa jolie mèche blanche et dévoile un regard d’exécution. Ses yeux sont deux balles de fusil pointées sur moi. Elle insiste.
« Opal & Nev » est un roman captivant qui nous plonge au cœur de l’industrie musicale de l’époque, mettant en lumière les défis auxquels étaient confrontés les artistes, en particulier ceux issus de milieux marginalisés. Le roman raconte l’histoire improbable d’un duo musical formé au début des années 70 : Opal, une chanteuse afro-américaine audacieuse, et Nev, un songwriter britannique ambitieux. Ensemble, ils forment le groupe explosif Opal & Nev.
Le tout dernier ouvrage de l’écrivain martiniquais Jean-François Liénafa se présente comme à la fois un recueil de poèmes en (excellent) créole, et un petit condensé de proverbes, mots et expressions qui eux-aussi disent « l’âme créole ». Il est à noter que les mots créoles que recueille Liénafa sont aussi des prénoms. L’auteur s’intéresse à leur charge poétique (Atansioniz, Nowéliz…) ; il relève aussi des surnoms, parfois explicites, souvent énigmatiques (Agodom-dachin, Blengendenng, Bofio, Granzonng, Lotomangous, Twakadjab…). Le ti-non créole à partir d’un prénom peut être création, comme dans les exemples suivants : Mano (de Emmanuel), Fayo ou encore Afarel (de Raphael), Milo (de Émile), Silot (de Cécile) etc.
Entre une rencontre qui ne s’est pas faite et qui aurait pu sauver d’une mort infâme un compositeur génial ; un patriarche pressé à l’approche de sa mort de laisser en héritage à son petit-fils le récit de sa vie ; et un voyage au Sénégal dont le déroulement est abandonné au soin de la providence, c’est le récit de rencontres inopinées, comme toutes celles qui le plus souvent enrichissent notre vie qui sont ébauchées ici.