— Par Patrick Mathelié-Guinlet —
Les tétons de Valentine
En ce beau et doux jour
de la Saint-Valentin
toujours voué à l’amour,
que n’ai-je le loisir
de vous dire mon désir ?
Car tel est mon dessein,
je voudrais vous avouer
que je ne sais plus bien
auquel de vos deux seins
je pourrais bien me vouer…
Cruauté du destin,
point n’est de médecin
qui sache me guérir
de cette maladie,
de ce défaut malsain
que j’ai du mal à dire
face à vous, ma lady :
je ne peux pas choisir,
il me faut tout ou rien !…
« Car les tétins de Valentine
sont les tétines de Valentin.»

Emplastik
Le temps du rêve
DOM-TOM !
UI MÉ TALA…
Parenthèse virale
“Poisson d’avril!”
Au clair de la lune,
Volens nolens… Qu’on le veuille ou non… Cette expression latine, composée des deux participes présents « volens » (voulant) et « nolens » (ne voulant pas), était employée dans la Rome antique pour qualifier la fatalité : quoi que l’on dise ou fasse, si une chose devait arriver, elle arrivait. Sa signification traverse les siècles, et notre temps veut que l’on utilise cette formule pour désigner les choses sur lesquelles on ne peut influer et celles que l’on doit subir.
Dapré “Le loup et le chien” de Jean de La Fontaine
Ta vie n’en fut pas un !
Après la pluie vient le beau temps
Tout à coup la montagne sort de sa torpeur.
Le père du nègre est mort !
Chevalier d’hystérire
Sur le plateau Chalvet
Pas…(Étit lespri févriyé dé-mil-nef ?)
C’est la fin de deux mille dix-huit !
J’ai la mémoire de l’escalier
J’ai traversé pour l’autre bord,
Tu ne pouvais pas marcher, pas même bouger dans ton fauteuil roulant
On fête au quatorze juillet
Pak nou