Chlordécone : Les ministres de l’agriculture et de l’environnement demandent aux préfets de Martinique et Guadeloupe d’élaborer des plans d’action le 30 novembre 1988!
Interdite de puis 1976 au Etats-Unis et seulement depuis 1990 en France, pour permettre l’écoulement des stocks
Chlordécone aux Antilles: «L’État est le premier responsable»
Chlordécone: enquête préliminaire en Guadeloupe sur de présumés stocks enfouis
Utilisation du Paraquat et du Chlordécone en Martinique
Commission d’enquête sur le chlordécone
Chlordécone : le gouvernement débloque une aide de 5,4 millions d’euros
La chlordécone et le cancer de la prostate : pour plus de transparence!!

Guerre civile du Suriname
Mike Birch est un navigateur canadien. Il est né le 1er novembre 1931 à Vancouver au Canada.
Charles Poncet de Brétigny est un explorateur français du xviie siècle. Il est le fondateur de la Compagnie de Rouen et de la colonie de Cayenne en Guyane.
Le gwoka (ou gwo ka) est un genre musical de la Guadeloupe. Il est principalement joué avec des tambours appelés « ka », famille d’instruments de percussion. Les autres instruments sont le chacha (une sorte de maraca) et le tibwa (instrument formé de deux baguettes de bois qu’on frappe sur l’arrière d’un tambour ou sur un morceau de bambou)1, qui lui, ne fait pas partie du gwoka guadeloupéen mais du bèlè martiniquais. Le gwoka authentique, pratiqué en Guadeloupe, est joué sans les baguettes de bois pour frapper à l’arrière du tambour ou du bambou .
Le 25 novembre 2019 [marque] le 56ème anniversaire du début du procès de l’OJAM, l’Organisation de la Jeunesse Anticolonialiste de la Martinique. Un demi-siècle plus tard que faut-il retenir de cet épisode de notre histoire qui reste méconnu ?
Le 24 novembre 2010 : Yves Tole est désigné Maître d’Art pour son savoir-faire en matière de Gwo-ka. Il est l’unique ultra-marin à recevoir ce titre.

– par le délégué général à l’Outre-Mer près madame le maire de Paris –
— Par Malika —
Je commence ma chronique culinaire par une découverte ; 


***** COMMUNIQUÉ *****
Yékri … Yékra ! Comme ce cri poussé par les conteurs au début des contes créoles d’antan lontan pour solliciter l’attention de leurs auditoires, la newsletter Yékri veut attirer l’attention sur la culture créole, sur les talents ultramarins au sens large. Elle reprend l’objectif de la newsletter Elokans dont elle se veut l’héritière : « représenter une effervescence kréyol en diffusant des informations socio-culturelles liées à l’Outre mer, particulièrement de la Caraïbe et de l’Océan indien. » (Véronique LAROSE, créatrice de la publication Elokans). Elle en reprend également les principes :
La dernière fois que j’ai échangé avec mon ami Roger de Jaham, c’était en février dernier, à La Réunion, où je suis retourné vivre en 2009, après 10 années passées en Martinique. Il n’était plus chef d’entreprises, je n’étais plus journaliste pour l’hebdomadaire Antilla. Il se rendait régulièrement dans l’Océan Indien, et nous trouvions toujours un moment pour savourer un repas au cours duquel nous confrontions nos points de vue et analyses, à travers différents sujets.
La soirée mécénat de l’association pour le soutien de la culture au Burundi (ASCUB) a eu lieu le 22 avril 2017 au restaurant les Voyelles. Cette association est animée par une présidente énergique, madame Georgette MINANI, et une équipe bénévole dynamique majoritairement féminine. L’ASCUB veut donner la parole à la femme burundaise et promouvoir la culture de ce pays d’Afrique de l’Est qu’est le Burundi. La soirée avait pour but de récolter des fonds pour construire une salle de théâtre à Giheta, une ville au centre du pays. Il s’agit également de soutenir la troupe de théâtre Ni Ndé en leur donnant davantage de moyens pour faire vivre leur art. La culture burundaise a été présentée à travers des danses et des chants traditionnels. Un repas typique a été servi aux convives. S’en est suivi une projection sur le projet de construction d’une salle de théâtre à Giheta. Enfin, la place à la fête dans le sous-sol vouté du restaurant les Voyelles.