États Généraux de l’Alimentation Les organisations de la « Plateforme citoyenne pour une transition agricole et alimentaire » rendent publiques leurs demandes
22 septembre 2017 – A l’occasion des Etats Généraux de l’Alimentation, 50 organisations de la société civile se sont rassemblées au sein d’une « Plateforme citoyenne pour une transition agricole et alimentaire » pour porter ensemble des propositions concrètes à la table des concertations.
Les Etats Généraux de l’Alimentation doivent être un processus de co-construction des solutions afin de bâtir des filières relocalisées et équitables et obtenir un juste revenu paysan -tout en préservant la santé des agriculteurs et des consommateurs. Ils doivent ainsi permettre la mise en place d’une véritable transition agroécologique et alimentaire, ainsi que l’adaptation de l’agriculture française au changement climatique. De plus, il est nécessaire de voir plus loin que nos propres frontières et d’appuyer cette transition dans les pays du Sud.
Pour cela, nous proposons 63 mesures concrètes autour de 7 thématiques. Ces propositions s’appuient sur des initiatives locales exemplaires et sur l’expertise croisée de nos réseaux d’acteurs. Elles s’adressent aux participants et présidents des ateliers, ainsi qu’au gouvernement qui organise les États Généraux et au Président Emmanuel Macron qui en a fait l’un de ses engagements de campagne.

Dans une tribune au « Monde », Aurélien Dupouey-Delezay, professeur d’histoire-géographie, estime que si le ministre de Louis XIV contribua à légaliser l’esclavage, vouloir retirer son nom des écoles témoigne d’une incapacité à assumer l’histoire.
An bonnè bonmaten
Quelle dépravation que le spectacle des querelles politiciennes, prenant le dessus à Paris, après les désastres provoqués par Irma l’ouragan à Saint-Martin et Saint-Barthélémy ! De mains qui se tendent, de soutiens tournés vers leurs lointains, ces deux îles avaient pourtant grand besoin, alors qu’à nouveau journalistes et politiciens, dans les médias français, de leur folie de critiques et de blâmes, s’ « éjouissaient » journellement ! Une fois encore, l’esprit d’union et de solidarité se trouvait infecté par les discordes et par les haines du monde politique. Tous les politiciens, recalés à la Présidentielle de Juin 2017, sont soudainement devenus des gueules de souteneurs, très loin du cliché, rendu pourtant fort célèbre par la comédie musicale d’Alexandre Breffort, intitulée « Irma La Douce ».
L’ouverture de la procréation médicalement assistée (PMA) à toutes les femmes est un engagement de campagne d’Emmanuel Macron. « Le fait que la PMA ne soit pas ouverte aux couples de femmes et aux femmes seules est une discrimination intolérable », affirmait-il en février. La secrétaire d’Etat chargée de l’égalité entre les femmes et les hommes, Marlène Schiappa, a déclaré mardi 12 septembre qu’« ouvrir la PMA à toutes les femmes est une question de justice sociale ».
Les professionnels du monde de la culture sous-estiment leur pouvoir, ils ont un rôle majeur à jouer dans l’accueil des personnes migrantes et l’intégration des réfugiés. Il ne s’agit pas là seulement d’un devoir humaniste mais d’un constat de l’immense force symbolique et médiatique de nos métiers.
La colère des Saint Martinois contre la lenteur des secours est compréhensible. Après Irma, ce monstre destructeur, ils sont en état de choc. Les Saint Martinois comme beaucoup de Saint Barth ont tout perdu. L’île est détruite à 95% Ils entendent parler d’aides de soutien d’envois d’eau, de nourriture, et d’autres produits de première nécessité mais après six jours, beaucoup de sinistrés n’avaient rien reçu ou très peu.
L’un des cyclones les plus puissants et terribles, Irma, vient de s’abattre sur la Caraïbe, et a écrabouillé notamment les populations de Barbuda, de Saint Barthélémy, de Saint-Martin et de Tortola, occasionnant victimes et dégâts matériels considérables. D’autres îles ont aussi beaucoup souffert
Les « Etatsuniens » USA ! noirs, blancs, latinos, asiatiques et amérindiens, une fois encore donnent au monde après l’élection d’Obama, un noir à la Présidence des USA ! l’Exemple! Cette nation mondialement connue comme fondamentalement Xénophobe, tare qu’elle a développée pendant des siècles, avec la bénédiction de la Démocratie Occidentale et des Eglises de toutes obédiences, dit Non ! à l’obscurantisme. Aujourd’hui, une part importante de la Conscience mondiale, dont les USA, a développé un renouveau radical, crachant avec fureur sur cette doctrine dégradante bardée de crimes et de violences : le Racisme. Plus de 1500 symboles de l’ancienne confédération esclavagiste américaine sacralisaient des faits d’armes criminels causés par les blancs ont été recensés aux USA. Ils subissent aujourd’hui les colères du peuple éclairé. Pour Trump, « il est triste de voir l’Histoire et la Culture de son pays être mises en pièces ! » sic ! Blessé au plus profond de son amour du Beau (sic !). Il prophétise « Rien de comparable ne pourra le remplacer ! Cela va nous manquer ».
Les dirigeants en place ne cessent de revendiquer davantage de compétences et de pouvoirs, ils ont même la prétention d’être les seuls maîtres de la Martinique mais ils s’avèrent incapables ,en deux ans de mandature, de régler les problèmes de fonctionnement d’un service de transport par bus articulés, qui a tout de même coûté au contribuable la bagatelle de 400 millions d’euros.
C’est sous ce même titre que nous publiions une tribune visant à dénoncer la campagne de désinformation massive lancée par les occidentaux contre Saddam HUSSEIN quand, au début des années 90, ils préparaient la guerre contre l’Irak. Nous interpellions, alors, l’opinion sur la nature fasciste de l’opération et quant aux objectifs impérialistes de l’entreprise.
Un récent rapport a découvert que sur les 124 morts liées aux manifestations des derniers mois, 46 étaient imputables aux forces de sécurité et 27 à des groupes armés progouvernementaux.
Depuis quelques jours, c’est l’émoi et le branle bas de combat chez les élus. Un vent de fronde souffle, principalement chez les maires à quelques jours de la rentrée. La cause ?
En Amérique comme en Europe, le début des années ’20 sont des années de crise et de luttes sociales. Les grèves tournent en affrontements violents dans plusieurs grandes villes des États-Unis, comme à Boston. En 1920, de nombreux attentats anarchistes frappent les responsables politiques. Les bureaux de la banque Morgan à Wall Street sont soufflés par un attentat à la charrette piégée qui fait 38 morts et 200 blessés. Une vague de répression s’abat sur les anarchistes mais aussi sur les communistes, les socialistes et les syndicalistes américains.
La Martinique entière, amis de Herve´ Pinto ou autres, se réjouissait de voir tourner la page d’une affaire où un homme, blessé dans sa dignité avait décidé de mettre sa santé et peut-être sa vie en jeu pour avoir le droit de reprendre dans des conditions normales son travail après une décision de justice favorable. Les conflits, dans lesquels on est trop souvent contraint d’utiliser des moyens disproportionnés pour obtenir la simple application de la loi, ne manquant pas, l’attention de l’opinion se portait désormais sur autre chose. Il restait juste l’espoir d’un retour à la normale dans les relations entre la direction de la poste et son agent. C’était faire trop confiance à cette grande entreprise née sur les ruines d’une administration plus que séculaire. Alors forcément on s’interroge : l’initiative scélérate de dénoncer l’accord ayant mis fin au conflit, est elle un génial fait d’armes d’un directeur à deux doigts de la retraite ou l’exécution d’un ordre venu d’une direction parisienne ombrageuse, ayant du » dialogue social » une conception assez proche de ce que nous avons connu dans les heures les plus sombres de notre histoire ?
Ainsi donc disparaît l’un des derniers militants ayant œuvré, à côté d’Aimé Césaire, à la création du Parti progressiste martiniquais, en 1958. Sa première mission avait été d’encadrer les jeunes du parti. Après son départ du PPM, en 1980, sa vie politique fut quelque peu chaotique. Il n’exerça plus aucun mandat. Il fit un bout de chemin avec Guy Lordinot au Renouveau de Ste Marie puis rejoignit le RDM de Claude Lise.
N’est-ce pas qu’à la bonne heure, il faut savoir mourir ? Selon Saint-Paul, c’est là un privilège, que Dieu a préparé pour ceux qui l’aiment, bien caché et enfoui dans les profondeurs de l’esprit humain. Mais qu’en est-il de l’esprit du monde, que l’homme n’a pas reçu ?
Plusieurs centaines de représentants des six nations amérindiennes de Guyane, rassemblés à Matoury dans le cadre de la Journée internationale des peuples autochtones, ont dénoncé ce mercredi leur « marginalisation », l’exploitation minière de l’or et réclamé leur « dû ».
Les peuples autochtones représentent environ 370 millions de personnes et vivent dans 90 pays. Bien qu’ils ne forment que 5 % de la population mondiale, ils constituent aujourd’hui 15 % des individus les plus marginalisés de la planète.
La gauche latino-américaine et européenne devrait préférer le débat sur le sens de la démocratie plutôt que de se barricader dans une défense aveugle du chavisme qui ouvre la porte à la droite. Une analyse de l’ancien directeur de l’édition bolivienne du Monde diplomatique.