Port-au-Prince, 9 octobre 2025 – L’UNICEF tire une nouvelle fois la sonnette d’alarme sur la situation dramatique des enfants en Haïti. Dans un rapport publié ce jour, intitulé SOS Enfants, l’organisation révèle que le nombre d’enfants déplacés par la violence a presque doublé en un an, atteignant désormais 680 000 enfants déracinés dans tout le pays.
La montée en flèche des violences armées, l’effondrement des services publics essentiels et la paralysie de l’accès humanitaire plongent Haïti dans une crise multidimensionnelle sans précédent, affectant plus d’1,3 million de personnes déplacées. Les enfants en sont les premières victimes.
« Les enfants en Haïti sont victimes de violences et forcés au déplacement à un niveau alarmant », alerte Catherine Russell, directrice générale de l’UNICEF.
« Chaque fois qu’ils sont contraints de fuir, ils perdent non seulement leur maison, mais aussi la possibilité d’aller à l’école et d’être simplement des enfants. »
Des conditions de vie alarmantes dans les camps
Le rapport souligne la précarité des conditions de vie dans les 246 sites d’accueil identifiés, où plus d’un tiers ne disposent d’aucune infrastructure de protection de base.

La peine de mort a été abolie en France en 1981, faisant ainsi de la France le seul pays à avoir procédé à des exécutions tout en étant membre de la Communauté économique européenne, ancêtre de l’Union européenne.

Elles étaient jeunes, elles étaient invisibles. Une trentaine de jeunes femmes, âgées de 18 à 20 ans, effectuaient leur service militaire obligatoire au camp de Nahal Oz, à quelques centaines de mètres à peine de la bande de Gaza. Leur rôle ? Observer. Alerter. Surveiller en continu une frontière toujours sous tension, depuis la salle de contrôle de l’unité 414, spécialisée dans la vidéo-surveillance. En Israël, on les appelle les tatzpitaniyot — les guetteuses. À travers leurs caméras, elles ont vu venir l’horreur. Mais personne n’a voulu les écouter.
Une grande initiative citoyenne pour retisser le lien social, du 1er octobre au 22 novembre 2025
— Par Gary Klang —

Un nouveau parti politique fait son entrée dans le paysage martiniquais. Baptisé Pour Le Peuple (PLP), il a été officiellement inscrit au Journal officiel le 23 septembre 2025. Cette formation est le prolongement du RPPRAC (Rassemblement pour la protection des peuples et des ressources afro-caribéens), un mouvement citoyen né en 2024 dans le sillage des mobilisations contre la vie chère.
Le massacre de Babi Yar est le plus grand massacre de la Shoah ukrainienne par balles mené par les Einsatzgruppen en URSS : 33 771 Juifs furent assassinés par les nazis et leurs collaborateurs locaux, principalement le 201e bataillon Schutzmannschaft, les 29 et 30 septembre 1941 aux abords du ravin de Babi Yar.
Les premières sources écrites concernant l’histoire de la Nouvelle-Calédonie remontent à son exploration en 1774 par James Cook, l’archipel était alors déjà habité par une population mélanésienne : les Kanak. La Nouvelle-Calédonie est une collectivité sui generis de la France.

Enfant de Gaza
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Une paix possible (1/2)
— Par Jean-Pierre Maurice —
Ignacio Ramonet, journaliste, essayiste et analyste international, a longtemps été rédacteur en chef du Monde diplomatique. Dans son livre, La era del conspiracionismo, il a analysé les mécanismes du « trumpisme », que l’on voit aujourd’hui se propager sous d’autres latitudes, de l’Amérique latine à l’Europe. Nous avons évoqué la crise politique de l’Union européenne et le regain de tensions entre les États-Unis et les pays socialistes d’Amérique latine.
L’Assemblée du peuple des Caraïbes :
Plusieurs centaines de professionnels des médias demandent à Emmanuel Macron la reprise de l’accueil des journalistes gazaouis souhaitant être évacués de l’enclave, et l’accès immédiat de la presse internationale sur le terrain.
—Par Robert Berrouët-Oriol (*) —
— Par Jean Samblé —