— Par Sabrina Solar —
À quelques jours de l’ouverture de la COP30 à Belém, au Brésil, l’ONU tire une nouvelle fois la sonnette d’alarme : le monde reste loin des objectifs fixés par l’accord de Paris. Selon le dernier rapport du Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE), la planète se dirige vers un réchauffement compris entre 2,3°C et 2,5°C d’ici la fin du siècle, même si les pays respectent intégralement leurs engagements actuels.
Une amélioration minime par rapport aux projections de l’an dernier (2,6°C à 2,8°C) qui s’explique surtout par des ajustements méthodologiques et de nouveaux engagements partiels, plutôt que par une réelle inflexion des politiques climatiques. Car, dans les faits, le monde continue à brûler toujours plus de pétrole, de gaz et de charbon : les émissions mondiales ont encore augmenté de 2,3 % en 2024.
Des engagements insuffisants et des retards préoccupants
Conformément à l’accord de Paris, les pays devaient soumettre cette année de nouvelles « contributions déterminées au niveau national » (CDN) pour 2035. Mais seulement un tiers des États signataires ont rendu leur copie à temps, représentant un tiers des émissions mondiales de gaz à effet de serre.


Exégèse d’un scénario inédit, déjà virtuellement écrit, d’un rattachement institutionnel de l’outre-mer à l’Union Européenne.
Un événement indésirable associé aux soins (EIAS) est défini, selon le décret n°2010-1408 du 12 novembre 2010, comme tout incident préjudiciable à un patient, survenu lors d’un acte de prévention, de diagnostic ou de traitement.
Le futur de la Guadeloupe et de la Martinique en question à travers cinq incontournables grands chantiers 

— Par Jean-Bernard Bayard —
— Par Hélène Lemoine —
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Le Modem Martinique, conscient des difficultés engendrées en Jamaïque, une de nos îles sœurs anglophones des Antilles, par le cyclone Melissa, témoigne de sa profonde sympathie à son gouvernement ainsi qu’à toute sa population. 
— Par Sabrina Solar —
L’énorme risque systémique du changement climatique pour la Guadeloupe et la Martinique.
A l’occasion de la présentation de l’ouvrage de traduction créole « L’Histoire du soldat/Listwa solda a« , de Charles Ferdinand RAMUZ et Rodolf ETIENNE, paru aux Editions L’Harmattan en février 2024, le vendredi 21 octobre 2025, à partir de 18h30, à la Bibliothèque Schoelcher, 1, rue de la liberté à Fort-de-France, voici une présentation par le traducteur de la fameuse pièce. Une présentation que vous redécouvrirez lors de cette rencontre.
— Par Robert Saé (*) —
— Par Jean-Marie Nol —


Après “Ile aux esclaves”, “Ile empoisonnée”, devrait-on terminer la trilogie par le label “Ile du Shatta” ? Alors que la société martiniquaise se délite à vive allure, son élite politique ne se retrouvant que sur les lieux et durant les jours de barnums populistes, il me vient en mémoire cet article publié par votre serviteur le 10 mai 2005, repris dans son ouvrage En finir avec les blessures de la peau (2023) et reproduit ci-dessous : “A quand une autorité morale martiniquaise ?” La future autonomie pourra-t-elle se passer d’une telle autorité ?
— Par Jean-Marie Nol —