par Victor LINA, psychologue-clinicien
–En 1972, Germain BOUCKSON psychiatre et Bertrand EDOUARD psychologue, ont produit un ouvrage intitulé : « Les Antilles en question. ».
Tous deux ont exercé leur métier respectif à l’hôpital psychiatrique de Colson, encore situé sur la route de Balata. Auparavant ces deux hommes avaient exercé dans l’enceinte embryonnaire de ce même hôpital à l’endroit où se trouve l’actuel palais de justice de Fort de France. Suite au déménagement de l’institution psychiatrique aux limites de Balata, pendant des années ce lieu surtout connu sous la synecdoque 118, abrita seule la prison de la capitale ouvrant sur la rue Victor SEVERE.
A quelques années près la folie et le crime avaient été domicilié dans les mêmes espaces. La folie, par un artifice allégorique, avait sa route qui s’ouvrait sur la « redoute » mais sa place n’était manifestement pas au centre-ville.
BOUCKSON et EDOUARD affichaient l’ambition d’analyser l’évolution du mode d’être du Martiniquais dans sa relation à l’autre en vue de réaliser une étude de la relation transculturelle.
Premier acte : une agression verbale accusatrice qui peut s’entendre comme un reproche venant masquer une demande.

Outre la couleur de la peau, plusieurs facteurs liés au sexe, à l’âge et à la tenue vestimentaire renforcent ou amoindrissent le risque d’être soumis à une vérification d’identité, selon une étude présentée jeudi 24 janvier.
Lettre à Raymond Occolier, maire du Vauclin
3 000 manifestants à Fort-de-France, 800 000 à Paris (350 000 d’après les forces de l’ordre). C’est bien là le triomphe de la démocratie dans notre république Laïque!









Les résultats provisoires de l’étude sur le recensement de 2008 menée par Maks Banens et Éric Le Penven montrent une concentration des couples de même sexe dans les villes ; plus celles-ci sont importantes, plus le pourcentage de couples homosexuels est élevé. Dans l’agglomération parisienne, 7,4 couples sur 1.000 sont de même sexe, soit 19.000 couples. À Paris intra-muros, 2,4 % des couples sont homosexuels. Plus la ville est petite et moins le pourcentage de couples homosexuels est élevé. Avec des exceptions. Comme à Montpellier où, pour 1.000 couples, 6,8 sont de même sexe. « Pour les couples de lesbiennes, Montpellier est la première ville de France », relève Maks Banens, avec 2,7 couples de femmes pour 1.000, contre 2,4 pour 1.000 à Paris.



