« Dèpi ou brilé bwa, fo ou fè chabon. »
— Par Jean-Marie Nol —
Une crise de la vie chère peut en cacher une autre en Martinique. Les faits et les statistiques parlent d’eux-mêmes. Mais de quelle autre crise s’agit-il, alors même que celle liée à la vie chère semble encore loin d’être résolue ? Derrière les tensions sur les prix, une autre construction, plus silencieuse mais tout aussi décisive, est en cours : l’émergence, pour la première fois dans l’histoire de la Martinique, d’une forme de populisme qui menace de déstabiliser l’île . Ce mouvement prend racine dans un activisme citoyen dominant et affiche une tonalité de néo-nationalisme. Nul doute que le RPPRAC, organisation militante en première ligne, est en train de se transformer en un acteur politique d’envergure. Toutefois, au-delà de ces considérations politiques, un autre danger plane : l’apparition imminente d’une crise économique et financière qui menace de fragiliser encore davantage le territoire. La Martinique se trouve dans une situation économique et financière préoccupante, exacerbée par plusieurs facteurs qui menacent son équilibre proche. D’une part, les difficultés budgétaires de la France limitent les capacités d’aide de l’Hexagone.

Dans sa recherche de 60 milliards d’économies dont 14 sur la Sécu, Barnier va très certainement trouver, avec le récent rapport de la Cour des Comptes (CC) qui étrille la CGSSM (caisse générale de Sécurité sociale de Martinique), matière en Martinique, à sa politique d’économies et d’austérité.
Avec un taux de croissance de
Au dix-septième siècle, ce sont des kalinagos qui peuplaient la Martinique. Un jour ils constatèrent l’arrivée de grands navires transportant des blancs venus de France. Désirant s’établir sur l’île, les français ont débarqué et exterminé tous les habitants. Ce massacre leur a permis de s’approprier toutes les terres. Pour leur exploitation, ils ont importé d’Afrique des « animaux à deux pieds », ils en ont fait des esclavisés. Le travail de ces êtres humains leur a permis de produire du sucre, du chocolat, exportés à la cour du roi de France. De ce fait ils sont devenus riches grâce au rude labeur de leurs esclavisés.
Pourquoi la gestion de crise de la vie chère n’a pas été à la hauteur des enjeux politiques de la problématique de la vie chère ?
— Le n° 369 de « Révolution Socialiste », journal du G.R.S. —
— Par Jean- Marie Nol —
Dans un article pour « Le Monde »
A l’occasion des 80 ans de ce massacre à Thiaroye, près de Dakar, de tirailleurs africains, dans une
Pourquoi la question de l’autonomie politique ressurgit sur le plan national et local dans le débat économique et social de la vie chère ?
Le groupe Socialistes et apparentés à l’Assemblée nationale a soumis
Le festival ALIMENTERRE a vu le jour en 2007 dans un cinéma parisien. Depuis, il est devenu un évènement international sur l’alimentation durable et solidaire organisé chaque année du 15 octobre au 30 novembre. Autour d’une sélection de films documentaires, il amène les citoyens à s’informer et comprendre les enjeux agricoles et alimentaires en France et dans le monde, afin qu’ils participent à la co-construction de systèmes alimentaires durables et solidaires et au droit à l’alimentation.
Larbi Ben M’hidi, né en 1923 à Aïn M’lila dans le Constantinois, est une figure emblématique du nationalisme algérien. Sa vie, marquée par un engagement profond pour la liberté de son pays, le conduit à devenir l’un des principaux architectes de l’indépendance algérienne. En 1954, il est l’un des fondateurs du Front de libération nationale (FLN), jouant un rôle clé lors du déclenchement de la guerre d’Algérie.
Le bilan provisoire est actuellement de 
— Par Sabrina Solar —
— Par Jean Samblé —
— Par Sabrina Solar —
La Guyane, et en particulier le bassin du Maroni, fait face à une crise hydrique sans précédent. Depuis mai 2023, le fleuve, le plus grand du département, connaît un déficit pluviométrique significatif, selon les données de Météo-France. La préfecture a récemment annoncé des mesures d’urgence pour assurer la sécurité sanitaire des habitants face à cette situation préoccupante.
—- Déclaration de la CGTM —
—Par
— Par Jean-Marie Nol —
Le préfet de la Martinique, Jean-Christophe Bouvier, a annoncé la prolongation du couvre-feu dans cinq communes de l’île, en réponse aux violences urbaines persistantes. Cette mesure, qui s’applique de minuit à 5 heures du matin, restera en vigueur jusqu’au 4 novembre inclus.