Du 12 au 16 novembre 2024
Un événement ouvert à toutes et tous afin de faire connaître la population martiniquaise notre engagement nos valeurs sous un format artistique
Valoriser les créations artistiques des femmes martiniquaises et caribéennes, car si ont de plus en visibilité dans le milieu arts vivants visuels, elles longtemps été oubliées figurantes.
Mettre l’art au service du féminisme Mettre l’art au service du féminisme Mettre l’art au service du féminisme
Mettre en valeur l’entrepreneuriat féminin
Créer un espace ludique coopératif
Développer la notion de sororité en mêlant militantisme et culture antillaise.
Dédié à la célébration de la créativité et de l’art, cette journée comporte une programmation artistique pluricisciplinaire : musique, théâtre, danse
Espace de rencontre et de partage, Soro’Art met en avant des femmes engagées et talentueuses. Un belle occasion de soutenir la diversité artistique et artisanale.
Cette première édition 2024 est indispensable tandis que les droits des femmes
et leurs conditions de vie sont malmenés.Il est essentiel de réaffirmer l’importance de la mobilisation collective, de lasororité et de la solidarité.
Cette journée est organisée en collaboration avec
ETC CARAÏBE, TERRE D’ARTS et le Domaine de Tivoli,
avec le soutien de
la DAC, la DRDFE et la ville de
Saint-Joseph.

En moyenne, entre 2015 et 2019, en Martinique, 26 % des jeunes de 15 à 29 ans ne sont ni en emploi, ni en études, ni en formation (NEET) soit deux fois plus qu’en France métropolitaine. Une large majorité d’entre eux recherchent un emploi ou souhaitent travailler. La moitié est peu ou pas diplômée et cohabite avec les parents. Les femmes à la tête de familles monoparentales (18 %) sont aussi diplômées que l’ensemble des NEET mais elles cumulent des difficultés socio-économiques. Plus d’un jeune sur quatre est chômeur diplômé. Enfin, 3 % de ces jeunes sont exclus socialement et professionnellement.
La société martiniquaise est en état de décomposition avancée. Deux facteurs principaux sont à l’œuvre: la chute démographique et son corollaire, l’absence de dynamisme économique et social conduisant la jeunesse qualifiée à émigrer, d’une-part et la démission des élites politiques, syndicales, médiatiques et intellectuelles, de l’autre. La récente crise de la vie chère en est la plus parfaite illustration. Seule l’inaction des responsables locaux, incapables de définir un projet de développement novateur et réaliste à soumettre et faire adopter par les autorités étatiques nationales explique qu’on en soit arrivé là. Ils ont passé leur temps, en bons “esclaves de l’esclavage”, à s’apitoyer sur un passé révolu sans apporter la moindre note d’espoir à la population ne serait-ce qu’en améliorant ses conditions de vie quotidienne dans les domaines où ils ont compétence pleine et entière ( transport,gestion de l’eau potable et des déchets,logement dont les financements accordés restent inemployés, transition énergétique et numérique etc…). C’est de l’impuissance de ces dirigeants à relever le défi de la modernité et du progrès qu’est né le formidable désenchantement des citoyens, servant de terreau à tous les marchands d’illusions aux méthodes aussi expéditives qu’improductives.
Vous envisagez de vous faire tatouer ou de réaliser un maquillage permanent ? Attention, ce n’est pas un acte anodin. Un arrêté paru le 11 octobre 2024 étend le dispositif de formation obligatoire des personnes pratiquant le tatouage par effraction cutanée et le perçage corporel, au maquillage permanent. On vous délivre quelques conseils pour choisir le professionnel approprié et sur les gestes d’hygiène essentiels.
Ce film montre que les multinationales sont responsables de nombreuses atteintes aux droits humains et à l’environnement, le plus souvent en toute impunité. Crayons à la main, Blanche Sabbah (autrice de bande dessinée, activiste féministe) et Hippocampe Fou (rappeur) témoignent des conditions de travail en Équateur, et racontent les histoires de celles et ceux qui luttent pour leurs droits.
— Par Sabrina Solar —
Usurpation d’identité, violences à caractère sexiste ou sexuel, harcèlement scolaire… Le 7 novembre est la Journée nationale de lutte contre le harcèlement. Elle a pour thème cette année : « Ton problème, c’est mon problème ». On vous rappelle que le 3018 est un numéro unique destiné aux jeunes victimes de harcèlement et de violences numériques.
L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) déconseille d’utiliser des produits à base d’acide glyoxylique utilisés pour lisser les cheveux, à la suite de 4 signalements recensés depuis le début de l’année 2024.
— Par Sabrina Solar —
« La véritable connaissance n’est pas une accumulation du savoir ;
En Martinique, 1 jeune sur 4 est NEET (ni en emploi, ni en études, ni en formation).
Études psychanalytiques
— Par Jean-Marie Nol —
Dans sa recherche de 60 milliards d’économies dont 14 sur la Sécu, Barnier va très certainement trouver, avec le récent rapport de la Cour des Comptes (CC) qui étrille la CGSSM (caisse générale de Sécurité sociale de Martinique), matière en Martinique, à sa politique d’économies et d’austérité.
Avec un taux de croissance de
Au dix-septième siècle, ce sont des kalinagos qui peuplaient la Martinique. Un jour ils constatèrent l’arrivée de grands navires transportant des blancs venus de France. Désirant s’établir sur l’île, les français ont débarqué et exterminé tous les habitants. Ce massacre leur a permis de s’approprier toutes les terres. Pour leur exploitation, ils ont importé d’Afrique des « animaux à deux pieds », ils en ont fait des esclavisés. Le travail de ces êtres humains leur a permis de produire du sucre, du chocolat, exportés à la cour du roi de France. De ce fait ils sont devenus riches grâce au rude labeur de leurs esclavisés.
Pourquoi la gestion de crise de la vie chère n’a pas été à la hauteur des enjeux politiques de la problématique de la vie chère ?
— Le n° 369 de « Révolution Socialiste », journal du G.R.S. —
— Par Jean- Marie Nol —
Dans un article pour « Le Monde »
A l’occasion des 80 ans de ce massacre à Thiaroye, près de Dakar, de tirailleurs africains, dans une
Pourquoi la question de l’autonomie politique ressurgit sur le plan national et local dans le débat économique et social de la vie chère ?
Le groupe Socialistes et apparentés à l’Assemblée nationale a soumis
Le festival ALIMENTERRE a vu le jour en 2007 dans un cinéma parisien. Depuis, il est devenu un évènement international sur l’alimentation durable et solidaire organisé chaque année du 15 octobre au 30 novembre. Autour d’une sélection de films documentaires, il amène les citoyens à s’informer et comprendre les enjeux agricoles et alimentaires en France et dans le monde, afin qu’ils participent à la co-construction de systèmes alimentaires durables et solidaires et au droit à l’alimentation.