Dans un communiqué du 30 janvier 2013, l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) indique avoir engagé une procédure de suspension de l’autorisation de mise sur le marché de Diane 35 et de ses génériques. Ce médicament dont la suspension prend effet dans un délai de 3 mois avait été mis sur le marché français pour le traitement de l’acné (et non pas comme contraceptif).
Cette décision a été prise en raison notamment du risque thromboembolique veineux et artériel auxquels ils exposent les femmes traitées. Dans l’immédiat, selon l’ANSM, les patientes ne doivent pas interrompre brutalement leur traitement par Diane 35 ou ses génériques. Elles peuvent donc le poursuivre jusqu’à la prochaine consultation chez leur médecin (ou tout autre prescripteur) qui envisagera avec elles, les options thérapeutiques convenant au mieux à leur situation individuelle. Par ailleurs, les médecins ne doivent plus prescrire ces médicaments, ni en initiation de traitement, ni en renouvellement. Enfin, les pharmaciens doivent délivrer les traitements minimaux nécessaires pour éviter toute rupture brutale de traitement jusqu’à ce que la patiente consulte à nouveau son médecin ou tout autre prescripteur.

L’arrêté a été publié mercredi 30 janvier au Journal Officiel:
La publication, en ce début d’année, d’un document de travail du Fonds monétaire international (FMI) a mis les économistes du monde entier ainsi que certains médias en état d’ébullition.
Paris, le 29 janvier 2013
Le Bureau du Programme sur José Martí de Cuba et l’Organisation des Nations Unies pour l’Éducation, la Science et la Culture (UNESCO) ont convoqué une Conférence Mondiale « Pour l’équilibre du monde » à l’occasion du 160ème anniversaire de José Martí concernant la lutte pour l’indépendance de Cuba et de Porto Rico, qui préconisait que le triomphe de cette cause allait aussi contribuer à l’équilibre du monde.

–L’épandage aérien de pesticides est une technique à la fois nocive pour l’environnement et pour la santé humaine, utilisée par dérogation dans différents départements français.
Outre la couleur de la peau, plusieurs facteurs liés au sexe, à l’âge et à la tenue vestimentaire renforcent ou amoindrissent le risque d’être soumis à une vérification d’identité, selon une étude présentée jeudi 24 janvier.
Lettre à Raymond Occolier, maire du Vauclin