— Par Damien Durand —
Une étude menée dans trois grands pays développés, Japon, États-Unis et Royaume-Uni, montre que les robots sont susceptibles d’occuper la moitié des emplois en 2035.
Petit à petit l’idée, d’une extension massive de la robotisation du monde du travail fait son chemin. Une nouvelle étude de l’institut de recherche Nomura Research Institute, en collaboration avec l’université d’Oxford, vient enfoncer un peu plus le clou. Basé sur le fonctionnement de 601 différents types de métiers, ce rapport annonce qu’à «moyen terme» – vers 2035 – , 49% des emplois au Japon pourront être intégralement remplis par des robots. Pour obtenir ce résultat, les analystes ont estimé le niveau de créativité et de capacité d’adaptation nécessaire pour calculer la probabilité qu’un robot puisse remplir aussi efficacement la tâche et ses possibles évolutions.
La fin de la «main d’œuvre» humaine?
Autre enseignement majeur de l’étude du Nomura Research Institute: le Japon ne serait pas le seul pays industrialisé à s’ouvrir à la robotisation massive. Ce «grand remplacement» concerne également deux autres pays sur lesquels s’est penchée l’étude. Les États-Unis affichent ainsi un taux de 47%, quasiment équivalent au Japon.

Le gouvernement s’entête : le projet de loi de finances (PLF) 2016, s’acharne à prolonger et même à intensifier une politique qui ne fonctionne pas, qui s’inscrit dans l’objectif libéral, réduire les dépenses publiques pour baisser les impôts des entreprises. Le résultat est cruel : plus de 6,3 millions de personnes inscrites à Pôle emploi, soit 1,2 million de plus qu’en mai 2012.
En 2007, en Martinique, une nouvelle association créole voyait le jour. Depuis, à travers une multitude de manifestations, en Martinique comme à Paris, la structure a trouvé sa juste place dans le paysage local et national autour de l’identité créole antillaise.
En Outre-mer, les candidats sortants se positionnent plutôt bien avant le deuxième tour. La gauche domine largement les scrutins à l’exception de la Réunion.
La défaite du pouvoir vénézuélien aux élections législatives a pris des allures de déroute. Dimanche 6 décembre, au terme d’une journée électorale marquée par une très forte participation (74,25 %), l’opposition a emporté 99 des 167 sièges de l’Assemblée nationale monocamérale. Le Parti socialiste unifié du Venezuela (PSUV), la formation de l’ancien président Hugo Chavez (1999-2013) et de son successeur Nicolas Maduro, n’en conserve que 46. Vingt‐deux sièges sont encore en dispute, alors que 96 % des voix ont été comptabilisées. Selon la présidente du Conseil national électoral (CNE), Tibisay Lucena, les résultats définitifs devraient être annoncés dans les prochaines heures ou les prochains jours.

Je n’ai pas choisi Marcelin Nadeau contre Serge Letchimy, ni contre quiconque d’autre. Je ne pratique pas le culte de la personnalité. Je n’ai que respect, amitié et considération pour ces deux soldats de la cause Martiniquaise. Je n’ai aucune raison d’opposer ces deux hommes brillants, totalement engagés et dévoués à la cause de leur peuple. De même que je tiens dans la plus haute estime Garcin Malsa et Jean-Philippe Nilor, ainsi que tous ceux, toutes celles qui honorent le mandat qui leur a été confié. Certes, je partage avec Serge Letchimy une histoire personnelle qui doit beaucoup à l’extraordinaire lucidité politique d’Aimé Césaire. Mais l’Histoire ne regarde pas dans le rétroviseur et si le génie poétique de Césaire est inscrit à jamais au plus haut du patrimoine de l’humanité, son projet politique porte la marque de son temps : celui où il lui a fallu, contre tous les modèles importés, inventer un forme originale de décolonisation, tracer un chemin nôtre vers la Responsabilité et la Dignité. La mise en place de la CTM incarne la vision césairienne d’une forme d’autonomie qui n’absolve pas la France de ses responsabilités historiques vis-à-vis des descendants d’Africains déportés et esclavagisés sur notre terre.
À l’occasion de la COP21, des street-artists ont investi la station de métro Fort d’Aubervilliers sous l’égide de l’association Art en Ville. Objectif : sensibiliser la population sur l’état d’urgence climatique.
Nous, chefs d’État et de gouvernement des États-membres de la CARICOM, lors de notre trente-sixième Réunion Ordinaire de la Conférence des Chefs de Gouvernement de la Communauté Caribéenne (CARICOM) à la Barbade, du 2 au 4 juillet 2015,
Les instances caribéennes ont mis en place des plans d’actions sur la question du changement climatique.
Le collectif « Préservons le patrimoine naturel de la baie de Fort-de-France » prend note, qu’après avoir épargné les coraux pour la première phase d’extension du terminal de la Pointe des Grives, le Grand Port Maritime de la Martinique annonce être en mesure de préserver les récifs coralliens également pour la seconde phase prévue en 2016.
Rapport d’information fait au nom de la Délégation aux Outre-Mer sur les conséquences du changement climatique dans les outre-mer, par les députés Maina Sage, Ibrahim Aboubacar et Serge Letchimy Enregistré à la Présidence de l’Assemblée nationale le 27 octobre 2015.
A l’initiative de Noël Mamère, Jean-Baptiste Eyraud et Olivier Besancenot, 58 personnalités de différents mouvements, artistes, intellectuels, députés et responsables politiques lancent un appel pour la liberté de manifester, contre la criminalisation des mouvements sociaux et en solidarité avec les manifestantEs poursuiviEs.
La publication le 26 novembre 2015 par le grand journal parisien « Le Monde »
A voir passer ce petit oiseau volant en vitesse devant l’immense éléphant d’Afrique bien campé dans la savane, on n’a pas idée de ce que l’on va trouver dans ce recueil qui retranscrit le premier séminaire de Jacques Lacan en 1954.
Appel de la Coalition Climat 21 à mettre immédiatement fin aux abus de la situation d’état d’urgence
A l’approche de la Cop 21, 24 militants écologistes ont été placés en résidence surveillée au nom de l’état d’urgence. Après les interdictions de manifester, les mesures sécuritaires faisant suite aux attentats du 13 novembre touchent toujours plus le mouvement social et écologiste.
C’est la 21e Conférence des parties, c’est-à-dire le rassemblement annuel de tous les pays désireux d’agir pour le climat. Elle aura lieu au Bourget du 30 novembre au 11 décembre 2015