Samedi 31 Mars 2018 de 09H à 13H à l’Espace SONATE
À la veille de la sortie nationale du 4ème Plan Autisme, MARTINIQUE AUTISME souhaite informer le plus grand nombre de personnes sur :
Les droits de la personne autiste handicapée
9H00 Accueil
9H30 Allocution d’ouverture de Monsieur Éric BECHET Président de l’Association MARTINIQUE AUTISME
10H00 Intervention de Monsieur François LUBIN, Docteur en Droit, spécialiste de la législation dans le secteur social et médico-social : « La construction juridique du Handicap »
10H45 Intervention de Madame Denise DESORMEAUX, Directrice de la MMPH « A quels besoins des personnes autistes, la MMPH peut-elle répondre ? »
11H15 Pause
11H45 Intervention de Madame Marie-France ANATOLE, Conseiller Technique auprès du Recteur chargé l’ASH « Une Ecole Martiniquaise Inclusive : accueil et accompagnement des élèves avec TSA »
12H15 Questions / Débat
12H45 Clôture
L’association Martinique Autisme a été fondée le 22 juin 1999, suite à un vaste mouvement d’indignation de parents de personnes avec autisme pris en charge dans une institution belge.
Des faits de violences extrêmes d’éducateurs à l’encontre des enfants ont été révélés aux parents par voie de justice.

Corinne Mencé-Caster fut la dernière présidente de l’Université des Antilles et de la Guyane (UAG). À la fin de son mandat, la Guyane ayant fait sécession, elle ne présidait plus qu’une Université des Antilles (UA) elle-même en proie à de fortes tensions internes. Son livre intitulé  « roman » sur la couverture mais dont tous les personnages sont reconnaissables par les initiés, est en réalité un plaidoyer pro domo qui vise à l’affranchir de toute responsabilité dans la situation dans laquelle elle a laissé l’université à son départ, marquée par la désaffection des étudiants.
Dans les Antilles françaises et en Guyane, les dispositifs de santé contre le sida et les infections sexuellement transmissibles ne correspondent ni aux territoires ni aux besoins des populations.
Pierre Pastel, sociologue et psychothérapeute propose  un texte publié en 2008 (dans la revue Alizés) et qui a pour titre : Le BEAU
Hac ex causa conlaticia stipe Valerius humatur ille Publicola et subsidiis amicorum mariti inops cum liberis uxor alitur Reguli et dotatur ex aerario filia Scipionis, cum nobilitas florem adultae virginis diuturnum absentia pauperis erubesceret patris.
Des moyens pour l’espace d’écoute de l’Union des Femmes de la Martinique et les associations de luttes contre les discriminations sexistes. 
La Martinique est-elle en passe de devenir le meilleur des mondes politiques pour les agents des Collectivités publiques ? Non ! s’il faut en croire les mouvements de grêve de ceux-ci, pour leur liberté, pour leur dignité au travail, au sein des services, des organismes, ou des ateliers, relevant des dites collectivités. Depuis le conflit mémorable du Parc naturel Régional, c’est devenu un trait assez commun d’avoir recours à des revendications, voire même à des affrontements, comme à Plateau Roy, dans le but de mettre en cause la culture électoraliste planifiée de gestion des travailleurs, dans les organisations administratives et techniques de nos collectivités. Ne va-t-on pas jusqu’à parler de favoritisme, d’élitisme, de domination, d’abus de pouvoir, par l’entremise de supertechnocrates, substituts des présidences élues, se croyant intouchables, tels des monarques de droit électif ! Au nom de quelle compétence, et pour quel profit ? 
Au moment où le gouvernement a présenté le 18 janvier 2018 le projet de futur  »PLAN PESTICIDES », (dont la date limite de dépôt des propositions est fixée au 30 mars 2018), nous remarquons qu’aucune communication n’a été faite à ce sujet par les Services de l’État, contrairement à la  surmédiatisation sur la molécule Chlordécone, savamment orchestrée en Martinique par nos médias. 
Je suis ici pour dire notre soutien à tous ceux qui luttent, depuis trois -semaines, contre la destruction d’une civilisation, associée à l’existence du service public, celle de l’égalité républicaine des droits, droits à l’éducation, à la santé, à la culture, à la recherche, à l’art, et, par-dessus tout, au travail. Je suis ici pour dire que nous comprenons ce mouvement profond, c’est-à-dire à la fois le désespoir et les espoirs qui s’y -expriment, et que nous ressentons aussi ; pour dire que nous ne comprenons pas (ou que nous ne comprenons que trop) ceux qui ne le comprennent pas, tel ce philosophe qui, dans Le Journal du -dimanche du 10 décembre, découvre avec stupéfaction  » le gouffre entre la compréhension rationnelle du monde « , incarnée selon lui par Juppé – il le dit en toutes lettres –,  » et le désir profond des gens « .
Aidez-nous !
Les affaires liées aux violences faites aux femmes plongent nos sociétés dans une sorte de panique morale, comme s’il s’agissait d’un phénomène récent. La parole libérée devrait plutôt nous inciter à revisiter notre histoire, à repenser les frontières entre différentes formes de violences en fonction des époques et à mettre fin à des invisibilités entretenues. A l’heure où les femmes osent susciter une défiance inédite, c’est aussi le moment ou jamais de mesurer la férocité de certains comportements actuels, d’apparence anodine et de se placer au cœur des changements en cours.
L’immobilisme du maire de Schœlcher a ceci de scandaleux qu’il fait semblant de bouger…pour ne rien changer ! Stratégie ou incompétence ?
Centre Administratif de la Ville des Trois-Ilets
Les vives réactions à l’annonce d’un possible retour de trois professeurs dont les lourdes sanctions disciplinaires ont été annulées en raison d’un problème de procédure mais non sur le fond, sont légitimes. Mais cette affaire largement médiatisée invite aussi à s’interroger sur le phénomène d’une corruption rampante qui semble se propager irrésistiblement par les canaux de l’économie globalisée, tous pays confondus. Création humaine, cette gangrène impactant en profondeur le fonctionnement des institutions, est-il une fatalité, ou pouvons-nous le combattre avec des chances de succès ?
— Par Paulo A. Paranagua—
Tu ne pouvais pas marcher, pas même bouger dans ton fauteuil roulant
Décidément, durant encore combien de temps la Martinique restera-t-elle victime de ses enfants, particulièrement de ceux qui nous dirigent. Parfois nous nous interrogeons sur la motivation de ceux qui acceptent d’expérimenter chez nous, des solutions qui n’ont aucun retour d’expérience.
— Par Rosa Moussaoui —
La ministre des Outre-mer, Annick Girardin, s’est rendue dans le 101e département de France pour ouvrir le dialogue avec les organisateurs de la grève. Ce lundi après-midi, elle a également annoncé des mesures pour répondre à l’insécurité et l’immigration clandestine. Le Figaro revient sur ce mouvement qui trouve ses racines dans les problèmes de sécurité et d’immigration.
Vous aussi, vous avez dégusté les délicieuses écrevisses de S……., au Lorrain, Martinique?
Demain la Martinique est un groupe de réflexion et de proposition composé de femmes et d’ hommes de génération différentes possédant des compétences reconnues dans leurs domaines respectifs et dont l’un des points communs est d’ « aimer leur pays de furieuse amour » pour reprendre la formule d’un historien haïtien du XIX è siècle.
Ce matin, on a tapoté à la porte de ma chambre-bureau, au 101 rue de l’Université.
La centralisation du système éducatif français est un facteur capital de résistance au changement, un obstacle majeur pour l’innovation. Elle empêche de tenter, dans des secteurs limités (exemple : des secteurs géographiques) des expériences en vraie grandeur. La centralisation empêche la juxtaposition de sous-systèmes différents et horizontaux. Les sous-systèmes, dont il est question ici, sont des sous-systèmes, que l’on pourrait qualifier de régionaux, de territoriaux, comme ici à la Martinique. La centralisation interdit ces sous-systèmes ! Par exemple, elle ne permet pas que l’organisation de l’enseignement soit différente d’une région à l’autre, comme c’est le cas dans certains pays. En empêchant la constitution de ces sous-systèmes, elle empêche la réalisation d’expériences en vraie grandeur, c’est-à-dire d’expériences permettant de voir les effets d’une innovation pédagogique sur la société, et de voir ce qui peut être réellement généralisé. 
 Le laboratoire français est-il allé trop vite ? A-t-il négligé certaines alertes ? Après la mort de plusieurs enfants aux Philippines, l’industriel pharmaceutique a dû stopper brutalement sa campagne de vaccination contre cette maladie tropicale. L’avenir du produit est plus qu’incertain