— Par Roland Tell —
Au retour des vacances, il est ici, chaque jour, quelque chaos, parmi les nouvelles qui tombent ! C’est le temps des faits divers crapuleux, où se relatent les derniers crimes, hélas, de plus en plus impunis. Délinquance domestiquée aussi sur le terrain politique, où la Martinique, devenue de plus en plus petite, est en train de se payer deux congrès du MIM, au profit des derniers présidents les plus vieux. Car, de part et d’autre, de jouissances ils ont besoin, au sein de leurs troupes aguerries, où doit se sélectionner une nouvelle engeance, susceptible de fonder la énième indépendance. Pour quelle morale politique ? Pour quel destin des Martiniquais ? Certes, dans les discours entendus, à toute gueule ne convient pas toute parole … d’alliance ! Certes, les deux MIM commencent leur dernière migration politique, ici, sous la protection vigilante de la justice, là, sous le regard nostalgique de la droite.
Que faire ? Faut-il abandonner la CTM, où il est de plus en plus dur de vivre, même si, tout compte fait, le travail territorial, devient plus récréatif, depuis que le TCSP fait rêver les vaches des pâturages lamentinois !

— Par Raïnat Aliloiffa —
Fond Bernier,
Le Rapport Brazza

Nous publions la lettre que vient de remettre au préfet (photo ci-dessus) le Collectif des étudiants étrangers de Mayotte exigeant l’application de l’Etat de droit.
Organisée par Jik An bout, en partenariat avec Radio Fréquence Atlantique (RFA) et l’association AM4.
Mai, 2018 / 14,0 x 19,0 / 160 pages
Samir Amin est né au Caire d’une mère française et d’un père égyptien, tous deux médecins. Il a passé son enfance et son adolescence à Port-Saïd où il suivit les cours d’une école française et obtint son baccalauréat (de type français), en 1947. De 1947 à 1957, il étudie à Paris où il passe avec succès un second baccalauréat option « mathématiques élémentaire » au lycée Henri IV de Paris puis il décroche un diplôme de sciences politiques à Sciences Po Paris (1952) avant son diplôme en statistique (1956) et en économie (1957). Il est aussi professeur agrégé en sciences économiques. Dans son autobiographie Itinéraire intellectuel (1990), il écrit qu’afin de passer un temps substantiel en « action militante », il ne pouvait consacrer qu’un minimum de travail à la préparation de ses examens universitaires.
Étienne Balibar Pour un droit international de l’hospitalité Le philosophe Etienne Balibar s’insurge contre les violences faites aux migrants, » que l’histoire jugera sans doute criminelles « . Au nom d’un » choix de civilisation « , il propose de reconnaître » l’hospitalité comme un droit fondamental » s’imposant aux Etats et s’appliquant à ceux qu’il appelle les » errants «
Notre comportement réfléchi peut limiter l’impact de nos activités








Il ne faut pas que les Journées des Peuples Autochtones (JPA) soient réduites à de simples fêtes de villages », selon Jean-Philippe Chambrier.