L’Union des Femmes de Martinique souhaite en ce 5 juin 2021 adresser un salut cordial et chaleureux à Madame George Tacite épouse Tarer pour sa longévité et son militantisme.
Son engagement sur le plan syndical et politique l’ont conduite à militer activement à L’Union des Femmes Guadeloupéennes aux côtés de Gerty Archimède, Huguette Daninthe, Antonine Ezelin, Denise Marbot, Marcelle Bangou, Raphaëla Gène, Marcelle Lencrerot entre autres.
Militante passionnée et déterminée, elle devient présidente de L’Union des Femmes Guadeloupéennes de 1976 à 1985. Elle a toujours porté les problèmes des femmes avec passion et détermination, tant dans sa vie professionnelle en tant que sage-femme quet dans sa vie militante.
Notre camarade Yvette Ebion nous rappelait il y a peu les combats menés conjointement par L’Union des Femmes de Martinique et L’Union des femmes Guadeloupéennes avec Solange Fitte- Duval et bien d’autres, notamment sur les questions internationales aux côtés de la FDIF : Fédération Démocratique Internationale des Femmes.

Dorénavant, un fait est acquis, la Grande-Bretagne veut faire cavalier seul au regard de ce qu’elle considère comme ses meilleurs atouts : ses universités avec leurs pôles Recherches et Développement, cf. (laboratoire
Au moment où en son 60ème anniversaire le Service militaire adapté (SMA) croule sous les éloges, y compris de la part de ses anciens détracteurs, il est utile de rappeler que cette institution a subi à ses débuts le même opprobre que le BUMIDOM. Le SMA avait été accusé « d’armée d’occupation coloniale » et pendant plusieurs années, les activistes de l’époque qui se sont embourgeoisés depuis perturbaient chaque année le défilé du 14 juillet qui se déroulait sur le Font de mer. Ces manifestations prirent fin avec la mort d’une « marchande de pistaches », Mme Lacrampe, qui avait reçu à la tête un projectile destiné aux militaires. Cet épisode sonna donc la fin du cycle d’autant plus que, jour après jour et en divers points de l’île, le SMA procédait à l’ouverture de routes, la construction de ponts, l’édification de cités, etc… Autant de réalisations au cours desquelles les appelés du contingent acquirent une formation et une expérience professionnelles. Aujourd’hui le SMA est, de l’avis de tous, le fleuron en matière de formation des jeunes martiniquais.
Un proviseur est accusé d’agression sexuelle par une élève et aussitôt un comité de soutien constitué d’enseignant·es se crée pour le défendre.
« L’art émeut. De là sa puissance civilisatrice »
Dans The Sunday Express du 18 mars 2018, Boris Johnson ventait le Commonwealth représentant et pariait sur son émergence économique. En s’émancipant d’une Europe qui peine à se remettre en question, à l’heure où les nouveaux centres de décisions économiques se déplacent vers l’Asie-Pacifique, BoJo sait où Londres se situe pour sans doute devenir l’une des places financières les plus libérales.
À compter du mercredi 9 juin 2021, un certain nombre de restrictions sont allégées : couvre-feu décalé à 23h, réouverture des restaurants et des cafés en intérieur, assouplissement des jauges dans les commerces, les cinémas, les musées, accueil de tous les pratiquants dans les établissements sportifs en extérieur… Service-Public.fr vous rappelle les mesures des 2 prochaines étapes du calendrier de déconfinement précisé par le Premier ministre le 12 mai 2021 et encadrées par la loi du 31 mai 2021 relative à la gestion de la sortie de crise sanitaire.
Faute de moyens, le numéro de référence pour les victimes de violences conjugales n’a pas pu faire face à l’augmentation des appels, selon BFM TV.
Saint-Denis de la Réunion – La Fondation Abbé Pierre tire la sonnette d’alarme, dans un rapport publié mercredi, sur la « précarisation croissante de la population réunionnaise », aggravée par la crise sanitaire.
Abidjan – Nelson Mandela a porté ses chemises: petit tailleur de quartier autodidacte à ses débuts, l’Ivoiro-Burkinabè Pathé’O est devenu le couturier des chefs d’Etat africains et fête le cinquantenaire de sa marque, menant le « combat » pour faire reconnaître la mode sur le continent.
Que produire en Guadeloupe, dont les terres sont contaminées par le chlordécone ? Les services de l’Etat publient une cartographie. Un code couleur indique la teneur en pesticide des parcelles et les cultures et élevages qui peuvent y être faits. Certains agriculteurs se sont parfaitement adaptés.
Genève – Travailler plus de 55 heures par semaine augmente le risque de décès dus aux maladies cardiaques et aux accidents vasculaires cérébraux, selon une étude de l’Organisation mondiale de la santé et l’Organisation internationale du travail publiée lundi.
L’auteur – Claude Moïse est historien et analyste politique, spécialiste de l’histoire des Constitutions haïtiennes. Membre d’honneur de la Société haïtienne d’histoire et de géographie, membre du comité scientifique de la Chaire Louis-Joseph-Janvier sur le constitutionnalisme en Haïti (Université Quisqueya). Claude Moïse a fait des Constitutions haïtiennes le champ privilégié de son travail d’historien. On lui doit une active contribution aux débats sur la question constitutionnelle (1997, 2007, 2015) et aux travaux de commissions sur la réforme constitutionnelle (2007, 2009, 2017). De ses nombreuses publications on relève : « Constitutions et luttes de pouvoir en Haïti » ; T.1 « La faillite des classes dirigeantes, 1804-1915 », Montréal, CIDIHCA, 1988 ; T.2 « De l’occupation étrangère à la dictature macoute, 1915-1987 », Montréal, CIDIHCA, 1990 ; « Une Constitution dans la tourmente », Montréal, Les Éditions Images, 1994. « Le Pouvoir législatif dans le système politique haïtien. Un aperçu historique », CIDIHCA, Montréal, 1999. Claude Moïse se signale également par son engagement dans des organisations de promotion du mouvement citoyen en diaspora comme en Haïti (Collectif Paroles, Initiatives démocratiques, Trase yon lot chimen pou Ayiti) et par plusieurs essais d’analyse politique.
La Havane – L’artiste cubain dissident Luis Manuel Otero Alcantara a promis lundi de « continuer le combat » après 29 jours à l’hôpital où il dit avoir été privé de communication avec l’extérieur, ce qui a suscité un mouvement de solidarité d’autres artistes.
Tulsa (Etats-Unis) – Au pied des bâtiments modernes d’une rue anonyme, quelques discrètes plaques en métal attirent l’oeil. « Grier shoemaker », « Earl real estate »: rivées au sol, elles portent les noms de commerces afro-américains qui s’y trouvaient avant d’être détruits dans l’un des pires massacres raciaux des Etats-Unis, en 1921.
« Il n’y a pas de génocide par substitution », ose écrire Mme Nadia Chonville qui dit pourquoi. Dénuée du romantisme habituel qui accompagne le récit national, son argumentation est lumineuse. De la part d’une intellectuelle martiniquaise, l’affirmation est courageuse. Heureusement qu’elle a pu se construire une crédibilité dans la presse locale. Sinon elle aurait rencontré des difficultés à se faire entendre.
Le mot « responsabilité » est actuellement à la mode en Guadeloupe avec les prochaines élections régionales et départementales. L’élection régionale n’est-t-ellle pas placée sous le signe du « gouverner autrement »? Le mot renvoie au sentiment que chacun éprouve plus ou moins clairement qu’il faut repenser, dans le fond et non seulement dans la forme, nos valeurs et nos modes de vie, si on ne veut pas aller, comme on dit, dans le mur. Depuis le début de la crise sanitaire liée au COVID-19, jamais un changement aussi profond ne s’était opéré sur nos modes de vie avec une mutation du travail qui intervient en accéléré sous pression de la crise sanitaire. Le télétravail ou plutôt le travail à distance est devenu la norme pour un grand nombre d’entre-nous sans que nous y soyons réellement préparés. En effet, l’on assiste en Guadeloupe à une accélération de la transformation numérique de la société et des entreprises. Avec à la clé, un prochain bouleversement des modes de consommation, de production, d’approvisionnement, d’interaction ou encore de travail.
Berlin – L’Allemagne a admis vendredi avoir perpétré un génocide contre les Herero et les Nama pendant la colonisation et va payer à la Namibie plus d’un milliard d’euros, un « premier pas » vers la réconciliation jugé toutefois insuffisant par des militants de la cause des deux ethnies.
— Par L’Association des Consommateurs et des Citoyens de la Caraïbe —
Un peu d’histoire …
La prise à partie de journalistes et la détérioration de leur matériel professionnel qui ont eu lieu à l’occasion des festivités du 22 Mai ont soulevé l’indignation générale et une vague de protestations émanant des milieux les plus divers ; de tels faits, assurément délictueux, sont inadmissibles en Démocratie et mettent en péril la liberté d’expression qui en constitue la base. Sans aller jusqu’à considérer, comme certain personnage infatué de lui-même, que “leur personne est sacrée “, les journalistes agressés sont pleinement fondés à requérir des autorités publiques la protection qui leur est due du fait de la mission d’information, essentielle au bon fonctionnement de la société, qui leur incombe. Cela n’est pas discutable mais implique en retour une contrepartie incontournable : le respect scrupuleux par les intéressés des règles déontologiques garantissant à tout citoyen l’accès à une information, pluraliste et objective de qualité . Ce n’est malheureusement pas toujours le cas et force est de constater la multiplication de manquements caractérisés à ces règles élémentaires dont se rendent coupables certains journalistes dans l’exercice de leur activité professionnelle; interviews orientées, présentations biaisées, commentaires approximatifs voire tendancieux fourmillent, quant il ne s’agit pas tout simplement, sous-couvert de rétrospectives historiques, dites de “ mémoires sensibles”, de grossières manipulations; l’affaire de l’OJAM, déclinée en de multiples épisodes, à la veille d’élections territoriales majeures, en est une parfaite illustration.
— Par Mapie, membre de Culture Égalité —
Louis Delgrès, né le 2 août 1766, à Saint-Pierre en Martinique, et mort le 28 mai 1802 (à 35 ans), à Matouba (commune de Saint-Claude) en Guadeloupe, est une personnalité de l’histoire de la Guadeloupe. Colonel d’infanterie des forces armées de la Basse-Terre, abolitionniste, il est connu pour la proclamation anti-esclavagistes signée de son nom, datée du 10 mai 1802, haut fait de la résistance de la Guadeloupe aux troupes napoléoniennes