GENÈVE (OIT Infos) – Plus de la moitié de la population mondiale n’a pas accès aux soins de santé essentiels, et seuls 29 pour cent bénéficient d’une couverture complète de sécurité sociale: tel est le constat dressé par un nouveau rapport de l’Organisation internationale du Travail (OIT) portant sur la mise en œuvre de la protection sociale dans plus de 100 pays.
A l’échelle mondiale, seules 68 pour cent des personnes ayant l’âge de la retraite perçoivent une pension, sous une forme ou une autre, et ce chiffre tombe à tout juste 20 pour cent dans bon nombre de pays à faible revenu. Moins de 60 pour cent des pays déclarent disposer de régimes ou offrir des prestations garantissant une sécurité de revenu pour les enfants.
Ces chiffres figurent dans l’étude d’ensemble 2019 publiée par la Commission d’experts de l’OIT pour l’application des conventions et recommandations (CEACR). L’étude (publiée sous le titre Protection sociale universelle pour la dignité humaine, la justice sociale et le développement durable) s’intéresse principalement à la recommandation (n° 202) sur les socles de protection sociale, 2012 , de l’OIT qui préconise une sécurité élémentaire de revenu et des garanties de soins de santé essentiels, depuis l’enfance jusqu’à la vieillesse.

Quand chacun de nous aura mis en place tous les gestes et tous les protocoles pour se protéger et protéger les autres, cette épidémie ralentira. Puis elle sera maîtrisée. Viendra alors le temps de se souvenir de nos défunts, en nous appuyant sur nos traditions et notre culture : les maires pourraient, ensemble, organiser, en un seul lieu, une veillée traditionnelle où tambouyés, conteurs, rappeurs et nos artistes en général nous convieront à une veillée collective.
Nous avons publié une chronique sur l’Eau avec pour thème : ‘’
Des Aborigènes d’Australie au Loiret, deux ouvrages permettent de confronter deux tentatives de réinvention de la civilisation à l’échelle des communautés locales.
Depuis mars 2020, les écoliers suivent les cours par l’intermédiaire de la télévision
Paris – La ligne d’écoute pour les femmes victimes de violences, le 3919, est désormais joignable 24H/24 et sept jours sur sept, l’extension horaire débutée en juin concernant aussi les nuits des week-ends depuis ce lundi, a annoncé la ministre déléguée à l’Égalité entre les femmes et les hommes.
Dans son ouvrage « Trois leçons sur l’école républicaine », l’économiste a comparé l’évolution de la scolarité des filles et des garçons de familles musulmanes et non musulmanes, avant et après 1994. Son constat : le niveau des filles a considérablement progressé.
Au vu de la situation sanitaire, il a été décidé la prolongation du confinement jusqu’au 19 septembre. 
Il m’a fallu passer à proximité d’une déchèterie pour me rendre compte d’une autre catastrophe qui se produit en Martinique, occultée par la place qu’occupe la crise du coronavirus et le bruit assourdissant de l’intox qu’elle génère. Il y a pourtant des inquiétudes réelles à avoir au sujet du combat des employés du Syndicat Martiniquais de Traitement et Valorisation des Déchets (SMTVD).
Le COVID tue chaque jour en masse, et par vagues successives en Guadeloupe.
Max Orville Président de Renaissance Martinique a répondu favorablement à l’invitation le jeudi 26 août de Serge Letchimy le Président du Conseil Exécutif, pour échanger sur la situation de la Martinique. Une fois accompli ce tour d’horizon, le président Letchimy a expliqué vouloir offrir aux listes écartées de toute gestion de la CTM, la possibilité de réaliser un élément de leur programme électoral pour la Martinique.
Depuis plusieurs jours circule sur les réseaux sociaux un flyer appelant à un mouvement de grève générale les 1
Brasilia – Le président brésilien Jair Bolsonaro a déclaré samedi qu’il avait trois alternatives pour son avenir proche: « Être emprisonné, mort ou victorieux », lors d’une rencontre avec des évangéliques au cours d’une visite à Goiania, dans le centre du pays.
Vivre en communauté, ce qui forcément correspond à être citoyen d’un pays, implique qu’on le veuille ou non la conscience d’une solidarité à l’égard de tous.
Communiqué de presse,
Au moment où le débat international sur le biofilm chimique à l’intérieur des canalisations de transport de l’Eau de boisson, comme d’habitude en Martinique nous nous heurtons au refus de tenir compte de la littérature scientifique.
Le péril mortel encouru par la population de la Martinique du fait du Covid 19 et le risque d’effondrement de son économie qui en résulte, exigent que tous les responsables politiques, syndicaux religieux et associatifs fassent front, fassent peuple,autrement qu’en paroles ,pour combattre efficacement ce fléau épidémique. En l’état actuel des connaissances scientifiques,il n’y a pas trente-six solutions : seule la vaccination, associée au respect des gestes-barrières peut permettre d’en juguler les formes graves et espérer le retour ,dans un avenir plus ou moins proche, à un semblant de vie normale. Pour ne pas l’avoir compris et admis ,nous nous trouvons aujourd’hui confrontés à un nouveau re-confinement. C’est le prix amer à payer pour cet aveuglement collectif, entretenu par des dirigeants politiques plus soucieux de satisfaire leur clientèle électorale en quête d’identité qu’à assurer la protection sanitaire de leurs concitoyens ; d’où cette invraissemblable motion “nègre- blanc”de la Collectivité Territoriale de Martinique, privilégiant à demi-mot le recours à la médecine traditionnelle ,à base d’ herbes médicinales et d’huiles essentielles pouvant être tirées de la pharmacopée créole ,sur la vaccination à grande échelle, préconisée par les autorités sanitaires et le monde scientifique, pour endiguer efficacement l’ épidémie virale du Covid 19 ( il ne s’agit certes pas de nier les vertus préventives ou curatives de nos rimèd-razié mais bien de reconnaître qu’ils ne peuvent intervenir éventuellement qu’en complément du vaccin ,qui reste la seule arme décisive contre le coronavirus) ;cette erreur stratégique majeure est à l’origine du tournant catastrophique pris par l’épidémie dans notre territoire ; le variant anglais, dit Alpha , était encore très largement majoritaire au début ; il fallait en profiter pour mobiliser la population afin qu’elle se fasse massivement vaccinée ,avant l’arrivée du variant Delta beauoup plus contagieux et dangeureux .Il
L’arrêté d’un maire portant sur un «
Face aux risques élevés de rebond de l’épidémie de Covid-19 liés au variant Delta, le passe sanitaire est désormais exigé dans de nombreux lieux accueillant du public. Quels sont les risques à ne pas le présenter lors d’un contrôle ou bien à utiliser un passe qui n’est pas le sien ? À combien s’élèvent le montant des amendes ?
Dans le but de renforcer la protection vaccinale face à la recrudescence du virus Covid-19 et de ses variants, le ministère de la Santé a saisi la Haute Autorité de santé (HAS) pour préciser les personnes éligibles à une dose de rappel de vaccin. Dans son avis rendu le mardi 24 août 2021, la HAS préconise, à partir de la mi-septembre 2021, l’injection d’une 3e dose aux plus de 65 ans et aux personnes avec des comorbidités. Cette dose devra être injectée après un délai d’au moins 6 mois suivant la primovaccination complète. Le détail de ces recommandations avec Service-Public.fr.
À la rentrée, une attestation d’assurance scolaire vous est demandée par l’école, le collège ou le lycée de votre enfant. Est-il utile de souscrire une telle assurance ? Est-elle indispensable ou même obligatoire ? Que couvre-t-elle exactement ?
A l’instar de la Martinique, la Guadeloupe va connaître un prolongement du couvre-feu et du confinement pour trois semaines, et la rentrée scolaire est repoussée au 13 septembre 2021 . C’est maintenant acté que les grands perdants seront une fois de plus les entreprises touristiques et commerciales fermées, mais également les agriculteurs et les pêcheurs. Désormais, l’asphyxie financière guette les entreprises martiniquaises et guadeloupéennes. Il est étrange que la gravité de la situation n’interpelle pas davantage les hommes politiques et nos élites économiques et sociales. Au risque d’une belle gueule de bois post « Covid-19 « , la Martinique et la Guadeloupe risquent de rester longtemps bloquées dans cette pesante apesanteur où rien de décisif ne se décide au niveau de la réflexion sur l’indispensable émergence d’un nouveau modèle économique et social . En fait, les économistes ne comprennent pas ce climat de légèreté, d’apesanteur, face à une réalité qui exigerait des décisions bien plus audacieuses, d’imagination. C’est comme si les responsables politiques pensaient que, comme à chaque fois, un peu de déficits publics et de contrats aidés vont suffire et que tout va rentrer dans l’ordre.
Monsieur le Président du Conseil de l’Ordre des Médecins de la Martinique,