63,1% des échantillons contenaient au moins un résidu en 2020
Générations futures base son rapport sur les données fournies par la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF).
L’ONG Générations futures, qui scrute régulièrement la présence de pesticides dans les fruits et légumes destinés à la consommation, déplore l’existence de résidus dans près de deux tiers des fruits, légumes et céréales non bio, une présence jusque-là sous-estimée, selon elle.
Contexte
Générations Futures suit régulièrement les données sur la présence de résidus de pesticides dans les aliments d’origine végétale en France fournies par la DGCCRF. Ainsi en 2020 nous avions révélés[1] que les données sur le pourcentage d’aliments végétaux contenant des résidus de pesticides habituellement communiquées par l’Etat mélangeaient des échantillons bio et non bio. Les chiffres concernant le ‘non bio’ (ou ‘conventionnel’) seul n’étaient pas fournis, ce qui créait une confusion.
De nouveaux chiffres globaux plus proches de la réalité.
De nouveaux chiffres globaux plus précis des plans de surveillance[2] concernant les échantillons prélevés en 2019 et 2020 fournis par la DGCCRF nous permettent aujourd’hui de présenter un pourcentage d’aliments végétaux non bio contenant au moins un résidu de pesticides plus proche de la réalité.

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Alors que l’adaptation aux changements climatiques reste le parent pauvre de la lutte contre le réchauffement planétaire, un nouveau rapport du GIEC souligne l’urgence d’agir pendant cette décennie “pour faire face à des risques croissants”. Plus le réchauffement gagnera du terrain, plus l’adaptation deviendra difficile, estime-t-il.
Depuis 1993, la journée mondiale de l’Eau a lieu le 23 mars de chaque année. ’est une célébration des Nations Unies qui met l’accent sur l’importance de l’Eau douce.
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Méthodologie du décryptage des programmes des candidats à 
La Caisse nationale d’assurance maladie met en garde ses assurés à la suite de données personnelles administratives dérobées auprès de 500 000 personnes. Retrouvez sur Service-Public.fr les conseils de sécurité à appliquer pour se protéger.
— Communiqué de presse de l’ARS & du CHUM —
Renaissance Martinique est évidemment horrifiée des conséquences que peut avoir 
Le PSUGO (Programme de scolarisation universelle gratuite et obligatoire) a été lancé en 2011 par le cartel politico-mafieux du PHTK alors dirigé par Michel Martelly. Il est avéré qu’il a été, à l’échelle nationale, une vaste opération de gabegie administrative, de corruption et de détournement de fonds publics au bénéfice des ayants droits et des supplétifs du PHTK néo-duvaliériste. En novembre 2021, le ministre de facto de l’Éducation nationale, Nesmy Manigat, pourtant bien imbu des constantes critiques publiques formulées par les associations d’enseignants et en dehors de tout audit attesté, a reconduit le PSUGO en lien avec la réactivation de ses « 12 mesures » administratives destinées à « moderniser » la gouvernance du système éducatif national.
— Par le Dr Ruddy Valentino, CHU Martinique —
Dans le cadre du mois de lutte pour les droits des femmes, organisé autour du 8 mars, le Collectif 8 mars organise une action militante et artistique dans la ville du Diamant, le samedi 26 mars de 9h à 13h.
Dans le cadre d’un partenariat avec Culture Égalité, la ville de Fort-de-France invite sa population à découvrir les rues, places et bâtiments qui portent des noms de femmes, le vendredi 25 mars à 17h30.
Kanmarad Lafimé sété on moun Twarivyè. I té ka rété a Schoelcher. Lanné la sa téka ba’y 95 lanné. Sété on gran spòwtif, sa I té enmé sété bisiklèt.
L’argument de la « tradition » a nourri en Martinique pendant près de deux ans une guéguerre d’arrière garde contre les gestes barrières, la vaccination anti covid, l’obligation vaccinale et le passe sanitaire. A l’agression du corps, de « l’Être martiniquais » diraient certains (1), le colonialisme ajoutait, selon les protestataires, une menace sur une des « tradition » fondatrices, affirmaient-ils, de notre identité : le carnaval.
Après une semaine de procès éprouvante pour les victimes, leur famille, le verdict est tombé : 14 ans de prison pour ce grand-père indigne qui a été reconnu coupable des faits que ces fillettes, devenues femmes, n’ont eu de cesse de dénoncer.
Lorsque le mot
— Par Joël Des Rosiers, psychiatre et psychanalyste —
Lettre ouverte aux élus du Robert et de Cap Nord
Les empires médiatiques occidentaux sont massivement mobilisés pour persuader l’opinion que ce qui se passe en Ukraine est le résultat de la méchanceté d’un dictateur fou nommé Poutine qui veut empêcher qu’un innocent pays démocratique rejoigne la paisible famille européenne. Chacun devrait prendre conscience qu’en réalité, il s’agit d’un pas supplémentaire et prémédité vers une troisième guerre mondiale. C’est dire que soutenir l’un ou l’autre des camps qui s’affrontent sans s’être valablement informé relève d’une coupable irresponsabilité.
Le conflit en Ukraine plonge l’economie mondiale dans l’incertitude et provoque des perturbations importantes sur l’économie de la France . La hausse des coûts de l’énergie et les perturbations persistantes des chaînes d’approvisionnement, qui seront toutes deux aggravées par la crise ukrainienne, sont des facteurs clés de l’affaiblissement des perspectives économiques. La Russie est le plus grand fournisseur de gaz et de pétrole de l’UE, et la hausse des coûts de l’énergie se traduit par un renchérissement des transports, ce qui affecte la circulation de toutes sortes de marchandises. L’économie mondiale devrait enregistrer en 2022 un plongeon historique, avec une forte chute du PIB de la zone euro ,des États-Unis et surtout également de la Chine. Quant à l’économie de la Guadeloupe , elle est placée actuellement sous le signe de l’inflation et d’Omicron et risque l’embolie. L’IEDOM vient de publier les statistiques de son enquête d’opinion pour le quatrième trimestre 2021, réalisée auprès d’un échantillon de chefs d’entreprises guadeloupéens. Dans cette étude, l’iedom fait état d’une baisse de l’activité économique en Guadeloupe. Selon l’IEDOM les entrepreneurs mettent en cause les mouvements sociaux ainsi que les troubles à l’ordre public constatés lors des évènements liés à l’obligation vaccinale .
La Ligue des Droits de l’Homme en Guadeloupe présente