— Par Garcin Malsa —
J’interpelle l’élu mais avant tout le Martiniquais. Je m’adresse à vous dans un contexte particulier qui vous permettra de comprendre le regard d’exception que vous devez porter sur cette partie de la Martinique qui a toujours été convoitée par les prédateurs de la nature. Chaque fois qu’elle a été menacée, les Martiniquais se sont largement mobilisés pour faire peuple pour que cet espace reste préservé pour les générations futures.
Plus que jamais, vous devez vous souvenir que les Salines ont joué un rôle central dans la Martinique chaque fois que notre pays s’est trouvé dans des périodes de crise notamment entre 1939 et 1945 : les Salines ont approvisionné les Martiniquais par de grosses productions de poissons, de crustacés, de patates douces, de viande, de sucre, d’eau souterraine, sans oublier les tonnes de sels récoltées et exportées.
En 1974, le peuple martiniquais s’est fortement mobilisé pour arrêter la privatisation et la bétonisation au profit de ces puissances d’argent qui voulaient implanter un grand complexe touristique de 11 000 lits.
Un appel au peuple
C’est à partir de là que va s’enclencher une dynamique écologique qui a donné naissance à l’Assaupamar.


— Par Florence Santrot —
Savez-vous allumer un feu à mains nues ? Bricoler pour flotter ?
Synthèse
Générations futures base son rapport sur les données fournies par la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF).
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Alors que l’adaptation aux changements climatiques reste le parent pauvre de la lutte contre le réchauffement planétaire, un nouveau rapport du GIEC souligne l’urgence d’agir pendant cette décennie “pour faire face à des risques croissants”. Plus le réchauffement gagnera du terrain, plus l’adaptation deviendra difficile, estime-t-il.
Depuis 1993, la journée mondiale de l’Eau a lieu le 23 mars de chaque année. ’est une célébration des Nations Unies qui met l’accent sur l’importance de l’Eau douce.
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Méthodologie du décryptage des programmes des candidats à 
La Caisse nationale d’assurance maladie met en garde ses assurés à la suite de données personnelles administratives dérobées auprès de 500 000 personnes. Retrouvez sur Service-Public.fr les conseils de sécurité à appliquer pour se protéger.
— Communiqué de presse de l’ARS & du CHUM —
Renaissance Martinique est évidemment horrifiée des conséquences que peut avoir 
Le PSUGO (Programme de scolarisation universelle gratuite et obligatoire) a été lancé en 2011 par le cartel politico-mafieux du PHTK alors dirigé par Michel Martelly. Il est avéré qu’il a été, à l’échelle nationale, une vaste opération de gabegie administrative, de corruption et de détournement de fonds publics au bénéfice des ayants droits et des supplétifs du PHTK néo-duvaliériste. En novembre 2021, le ministre de facto de l’Éducation nationale, Nesmy Manigat, pourtant bien imbu des constantes critiques publiques formulées par les associations d’enseignants et en dehors de tout audit attesté, a reconduit le PSUGO en lien avec la réactivation de ses « 12 mesures » administratives destinées à « moderniser » la gouvernance du système éducatif national.
— Par le Dr Ruddy Valentino, CHU Martinique —
Dans le cadre du mois de lutte pour les droits des femmes, organisé autour du 8 mars, le Collectif 8 mars organise une action militante et artistique dans la ville du Diamant, le samedi 26 mars de 9h à 13h.
Dans le cadre d’un partenariat avec Culture Égalité, la ville de Fort-de-France invite sa population à découvrir les rues, places et bâtiments qui portent des noms de femmes, le vendredi 25 mars à 17h30.
Kanmarad Lafimé sété on moun Twarivyè. I té ka rété a Schoelcher. Lanné la sa téka ba’y 95 lanné. Sété on gran spòwtif, sa I té enmé sété bisiklèt.
L’argument de la « tradition » a nourri en Martinique pendant près de deux ans une guéguerre d’arrière garde contre les gestes barrières, la vaccination anti covid, l’obligation vaccinale et le passe sanitaire. A l’agression du corps, de « l’Être martiniquais » diraient certains (1), le colonialisme ajoutait, selon les protestataires, une menace sur une des « tradition » fondatrices, affirmaient-ils, de notre identité : le carnaval.
Après une semaine de procès éprouvante pour les victimes, leur famille, le verdict est tombé : 14 ans de prison pour ce grand-père indigne qui a été reconnu coupable des faits que ces fillettes, devenues femmes, n’ont eu de cesse de dénoncer.
Lorsque le mot