—Par Mélanie Mermoz —
Destiné à informer plus clairement sur les qualités nutritionnelles des produits et à favoriser une alimentation saine, ce système d’étiquetage à 5 niveaux créé en 2017 s’est imposé comme un outil efficace pour les consommateurs. Une limite cependant, il ne s’agit que d’une démarche volontaire des industries agroalimentaires.
Cinq ans après sa mise en place en France, le Nutri-score va-t-il devenir obligatoire dans toute l’Europe ? D’ici à la fin de l’année, la Commission européenne devrait choisir le logo qui va être apposé sur les produits alimentaires afin d’informer les consommateurs de leurs propriétés nutritionnelles.
Une bataille feutrée a lieu dans les bureaux de la Commission européenne. Simple à lire, avec ses cinq lettres de A à E et ses couleurs allant du vert à l’orange foncé, Nutri-score a les faveurs de la communauté scientifique, mais aussi des associations de consommateurs. En effet, l’association française UFC-Que choisir et le Bureau européen des unions de consommateurs (Beuc) plaident pour qu’il soit retenu.
En revanche, certains industriels agroalimentaires sont vent debout contre lui. Les arguments de leurs lobbyistes sur la défense des « produits du terroir » trouvent un écho certain dans le personnel politique.



D’après l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe), 10 millions de tonnes de nourriture sont jetées tous les ans en France. Dans les foyers, c’est 30 kg par personne et par an. À l’occasion de la 3e édition de la Journée internationale de sensibilisation aux pertes et gaspillages de nourriture du 29 septembre 2022, Service-Public.fr fait le point sur les initiatives et les conseils pratiques pour lutter contre le gaspillage alimentaire au quotidien.
Des milliers de postes sont à pourvoir dans les métiers du tourisme. Pour soutenir les entreprises du secteur en recherche de candidats, le gouvernement lance une campagne de communication de grande ampleur. Programmée jusqu’en décembre 2023, elle met l’accent sur la diversité des carrières et renvoie sur un site centralisant les offres d’emploi.
À partir du 1er janvier 2023, les plateformes de démarchage commercial ne pourront plus vous appeler à partir de numéros commençant par 06 ou 07, associés dans l’esprit de tous aux téléphones portables. Elles devront utiliser des numéros commençant par 09, une nouvelle catégorie réservée à cet usage, selon une décision récente de l’Arcep.
La monoparentalité est un fait social massif aux Antilles. Les familles dites «monoparentales » y représentent, aujourd’hui, plus de la moitié des familles dont un enfant au moins vit dans le foyer (55 % à la Martinique, 52 % à la Guadeloupe), soit plus de deux fois plus qu’en France hexagonale.
La Guadeloupe, depuis la crise sociale de 2009, a une économie qui a perdu de son dynamisme, plombée depuis par la crise sanitaire du COVID, des conflits sociaux induits par la question de l’obligation vaccinale , par la poussée inflationniste actuelle , et par des charges sociales et fiscales qui n’ont pas cessé de croitre et surtout par des situations de monopoles qui brident l’action de certains entrepreneurs locaux , et qui s’avère pour partie être à l’origine de la vie chère . Elle a peu à peu reculé sur le plan économique , et aujourd’hui tous les clignotants sont au rouge : le taux de croissance du PIB est en moyenne inférieur à celui des années précédentes , le budget des collectivités locales est régulièrement en déficit, les prélèvements obligatoires ( notamment les impôts locaux) sur la classe moyenne sont bien plus élevés que partout ailleurs, la balance commerciale du pays est chaque année plus négative, et le taux de chômage demeure depuis un bon nombre d’années particulièrement élevé. L’Etat, pour faire face à toutes ces difficultés, a eu recours, sans cesse, à l’augmentation constante des transferts publics et sociaux ,voire à la hausse des soutiens financiers avec la politique du quoiqu’il en coûte ,des boucliers tarifaires et chèques exceptionnels , notamment énergétiques (La ristourne sur l’essence et le gel des prix du gaz ont coûté 24 milliards à l’État ) .
Réduction de la dépense publique, Inflation, récession, bulle immobilière, avec risque d’éclatement en 2023, accélération de la hausse des taux d’intérêt, tous ces facteurs représentent un tournant inédit qui va peut-être bouleverser l’équation économique et très certainement sociétale de la Guadeloupe.. Cette nouvelle donne est d’importance dans un proche avenir de crise budgétaire de l’État français.
Alors que les prix à la consommation ont augmenté de 6% depuis un an et pèsent sur les budgets des consommateurs, ceux-ci sont nombreux à alerter foodwatch sur une pratique constatée en supermarché : leurs produits favoris réduisent leur taille mais pas leur prix. C’est ce qu’on appelle la shrinkflation ou inflation masquée. La manœuvre s’opère en catimini.
La prime de partage de la valeur remplace la prime exceptionnelle de pouvoir d’achat dite « prime Macron » ou « PEPA », selon le même principe : exonération de charges sociales pour encourager les entreprises à la verser à leurs salariés, et exonération d’impôt pour les salariés qui la reçoivent, sous certaines conditions.
Le dispositif d’activité partielle pour les salariés vulnérables présentant un risque avéré de développer une forme grave d’infection au virus de la Covid-19 mis en place durant la pandémie, qui devait prendre fin le 31 juillet 2022, est prolongé, au plus tard jusqu’au 31 janvier 2023, selon de nouvelles modalités définies dans un décret publié au Journal officiel du 31 août 2022.
La loi du 28 février 2022 dite
Une spirale inflationniste est un processus d’accélération de l’inflation actuelle, et c’est un phénomène économique qui provoque une série d’enchaînements de nouvelles hausses des prix des facteurs de production qui affectent les indices de prix et les salaires, générant une spirale dont il est très difficile de sortir.Les chiffres de l’INSEE pour la Guadeloupe et la Martinique vont bientôt dévoiler que les hausses de prix se répercutent à tous les stades de la société et il est à présent évident que ces hausses ne sont pas uniquement dues à des problèmes de chaînes d’approvisionnement. Les prix des services flambent aussi.
Dimanche 7 août, un incendie a dévasté les locaux de Microforce dans la zone d’Acajou au Lamentin. Les pertes pour l’entreprise sont énormes : en plus des nombreux produits qui sont partis en fumée, l’entreprise perd son outil de travail et a dû complètement se réorganiser pour continuer à servir ses clients. 
Aujourd’hui, les Guadeloupéens ne sont pas sans savoir que le secteur agricole rencontre actuellement des grosses difficultés exacerbées aujourd’hui par la crise inflationniste. Beaucoup de producteurs guadeloupéens et martiniquais connaissent ainsi une forte progression de leurs coûts de production qui met en difficulté les exploitations du fait de l’augmentation des prix des matières premières et de l’énergie. L’avenir apparaît sombre à beaucoup d’égards pour le secteur agricole en 2023. Les différentes filières agricoles se portent mal, et ce d’autant plus que le processus de la diversification de la production agricole n’a pas encore connu le succès escompté par les autorités en raison surtout de maladies qui ont décimé plusieurs productions en Guadeloupe, dont la filière horticole, les plantations d’avocatiers, et celle de la production des agrumes. Vu cette situation grandissante de multiples aléas avec la spirale inflationniste actuelle, il me paraît opportun de vous faire part de mes recherches et réflexions sur une nouvelle filière d’avenir pour le développement agricole et industriel de la Guadeloupe à partir d’une plante originaire du Mexique qu’on appelle le sisal dont le nom scientifique est «l’Agave sisalana.»
À partir du 24 août 2022, les loyers des logements dont le diagnostic de performance énergétique est classé F ou G («
Actuellement de 18 centimes d’euro par litre, la remise sur le prix des carburants est prolongée jusqu’au 31 décembre 2022, en deux phases : elle passe à 30 centimes d’euro par litre à partir du 1er septembre 2022, puis à 10 centimes d’euro par litre à partir du 1er novembre 2022.
Paris – Rouler moins vite, anticiper ses freinages, mais surtout ne pas se coller aux camions sur l’autoroute: quelques pratiques de bon sens suffisent sur la route pour économiser du carburant et polluer moins.
Auteur principal : Anne Desrochers