Jeudi 11, Vendedi 12, Samedi 13 septembre à 19h30 au T.A.C. à FdF
— Par Hélène Lemoine —
Au théâtre, certaines œuvres ne cherchent pas à faire grand bruit. Elles s’installent doucement, presque en silence, mais laissent derrière elles une empreinte durable. C’est le cas du Joueur d’échecs, magistrale adaptation scénique de la dernière nouvelle écrite par Stefan Zweig, portée à la scène par André Salzet et la compagnie Carpe Diem. Un seul comédien, une chaise, des jeux de lumière, un texte inaltéré — et pourtant, une densité rare, un choc théâtral, une émotion nue.
À première vue, la nouvelle de Zweig semble rétive à la scène. Tout en elle repose sur l’analyse intérieure, la lente montée d’une tension psychologique, les non-dits, les regards, les pensées. Pas de dialogues à proprement parler, peu de situations spectaculaires. Mais c’est précisément cette apparente impossibilité qui a nourri le pari d’André Salzet : incarner l’ensemble du texte sans le trahir, donner vie à toutes ses voix, à tous ses silences, dans une forme dépouillée, presque ascétique. Un pari relevé avec brio.
Une rencontre en apparence banale : deux hommes, une partie, un paquebot
Le récit commence sur un paquebot transatlantique, entre l’Europe et l’Amérique.

Bientôt la 1400ème de Stefan Zweig
Textes en Paroles lance un nouvel appel à écritures théâtrales pour des textes spécifiquement destinés à la jeunesse
— Par Michèle Bigot —
Les Artistes et les spectateurs pris au piège du metteur en scène. Plus pauvre que la misère, c’est la pauvreté de la mise en scène
Une tragédie sociale, une histoire d’amour contrariée, un cri de douleur et d’espoir…
Le Sommet, Christophe Marthaler, Avignon In, La FabricA
— Par Dominique Daeschler —
« Le Canard sauvage », texte d’Ibsen, Adaptation et m.e.s. T Ostermeier
— Par Dominique Daeschler —
— Par Dominique Daeschler —
« M. Un amour suprême », conception, texte, m.e.s. Gustavo Giacoso, musique: Fausto Ferraiuolo |
— Par Michèle Bigot —
En juin 2018, Thomas Ostermeier crée à la Schaubühne de Berlin la pièce Histoire de la violence ; il met en scène le texte qu’il a co-signé avec l’écrivain Édouard Louis à partir du roman autofictionnel de ce dernier. Depuis, le spectacle s’est donné à maintes reprises, en différents lieux, et c’est au festival d’Almada qu’il fait donc escale en ce mois de juillet 2025.
Roda favela, m.e.s. Laurent Poncelet, Cie Ophélia théâtre et O Grupo Pé No Chao, Festival d’Avignon, Le 11 Avignon 24.07.2025
• 11-12 Juillet 2025 dès 20h30 – After au Théâtre Aimé Césaire : bar et restauration dans les jardins du théâtre
Compagnie Cyparis Circus
Entrée libre
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