
Festival d’Avignon off 2018. 11. Gilgamesh Belleville
« Un 4 octobre, il y a tout juste 20 ans, un avion m’a jeté ici alourdi de valises, de livres et de visions claires, de certitudes. J’avais pleuré pendant les quatre heures de vol qui séparaient Paris de Damas. Et si l’objet de mes larmes n’était pas uniquement la perte de familles, d’amis ou de la terre natale, mais une intuition prémonitoire de la perte de celui-là même qui parlait?
Telle est la crainte de Nour-Assile dont le spectacle nous conte l’histoire:
Une jeune réalisatrice de documentaires, Marie et un metteur en scène, Ulysse, viennent en prison faire travailler des détenus radicalisés sur un projet de spectacle autour de la figure de Jalaluddine Rûmi, poète mystique du 13ème siècle. Une entreprise courageuse envisagée comme un électrochoc, quand on connaît l’extrême hostilité des salafistes islamistes envers la mystique musulmane, le Soufisme. Marie et Ulysse font la rencontre de Nour Assile, jeune détenu syrien, au parcours singulier mais qui ne désire qu’une chose : mourir en Martyr. Les trois protagonistes vivront au même moment l’expérience de la rencontre de l’autre.

Les portraits, créés par Elise Vigier et Marcial Di Fonzo BO à la Comédie de Caen sont des créations itinérantes, portées par un ou deux acteurs, parfois accompagnés d’un musicien.
D’Arthur Rimbaud
Quitter la terre, Joël Maillard/Sélection suisse en Avignon. Festival d’Avignon off 2018. 11.Gilgamesh Belleville
Qui suis-je d’après le roman de Thomas Gornet, m.e.s.. Yann Dacosta, dessinateur Hughes Barthe
Festival d’Avignon off 2018
Jogging
Bal(l)lade enchantée du côté de Corée-en-Caraïbes
Une création de BAJOUR, m.e.s.. Leslie Bernard

Cendres/Aske
Maloya
Opal
Don Delillo,
Texte et mise en scène d’Élise Chatauret

Faisant suite aux
De Stéphanie Loïk, actrice, metteur en scène et dramaturge, nous avions découvert en 2016 à Tropiques-Atrium, un spectacle présenté comme une « adaptation-lecture théâtrale » de l’ouvrage éponyme d’Alain-Gilles Bastide, 
