El Alto (Bolivie) – A 26 ans, Alwa, une jeune Bolivienne, revendique d’être la première rappeuse aymara de son pays, avec l’espoir un jour « de vivre du rap ».
Vêtue de la « pollera« , l’ample jupe traditionnelle bolivienne, et portant le chapeau melon typique sur ses tresses noires, Alwa n’en propose pas moins une « musique rebelle« .
Celle dont le prénom signifie « aube » en langue aymara fait tout juste ses débuts sur scène et a donné récemment son deuxième concert dans l’atrium de la principale université publique de La Paz. Un premier disque doit sortir mi-2022, explique-t-elle à l’AFP.
Née à El Alto, ville jouxtant la capitale La Paz, elle est la première Amérindienne à s’adonner à ce genre musical peu connu dans la société aymara, où prédominent les rythmes mélancoliques.
« Je me fiche que les gens s’enthousiasment pour ma musique / Dis juste à ma mère que la peur ne m’arrêtera pas / Elle ne pourra pas me vaincre / Dis-lui aussi que je vivrai du rap« , dit-elle dans un couplet de sa première chanson.


Le plus grand festival hip-hop de la Caraïbe revient les 23 et 24 Avril 2022.
Admiré par ses pairs pour la délicatesse de son jeu inspiré, le musicien argentin connut la prison et la torture, expérience qu’il mit au service des autres. 
Les deux artistes ont confirmé leur statut de favoris lors de la 64e édition des Grammy Awards, déplacée de Los Angeles à Las Vegas pour cause de pandémie.
Johannesburg – De la star de foot Paul Pogba à la chanteuse Janet Jackson ou la légende de la NBA Shaquille O’Neal, ils ont tous succombé au son de l’amapiano, musique électro dérivée de la house, née dans les townships d’Afrique du Sud.
Rio de Janeiro – Anitta, première chanteuse brésilienne à se hisser au top du hit parade de Spotify, a confié à l’AFP que le succès de son reggaeton sensuel « Envolver » était le fruit d’un « travail de fourmi » pour lancer sa carrière internationale. 
Il y a longtemps que l’on n’avait pas vu la grande salle de l’Atrium aussi remplie de monde. Peut-être parce que la crainte de la COVID s’éloigne et que les contraintes se relâchent (malgré une recrudescence des cas post-carnaval), sans doute aussi en raison des deux têtes d’affiche de la soirée. Mariejosé Alie a été journaliste de télévision en Martinique avant de continuer sa carrière en France. On l’a beaucoup vue et entendue récemment à la suite de la sortie de son livre Entretiens avec Aimé Césaire. Quant à Viktor Lazlo, elle est une habituée de la Martinique, non seulement du plateau de l’Atrium mais encore des réunions littéraires, puisque elle-même romancière, elle organise ici le festival Ecriture des Amériques et, depuis peu, les Cafés littéraires du Diamant.

Ce mois de janvier 2022 a permis d’ouvrir au bénéfice du public martiniquais quelques « Fenêtres sur Haïti », selon le titre choisi pour cet ensemble de manifestations : cinéma, théâtre, musique, expositions. Si Haïti est en très mauvais état (et ce n’est, hélas, pas d’hier, on pourra consulter au premier étage de l’Atrium des panneaux sur lesquels sont rappelées quelques-unes des atrocités commises par François Duvalier), sa créativité est intacte. Ainsi ces diverses manifestations ont-elles fait souffler un peu d’air frais sur une Martinique trop longtemps privée d’événements culturels.

Un collectif d’immenses artistes :
— Par Daniel M. Berté —
Ce spectacle est conçu comme un oratorio dédié aux quatre éléments, en hommage aux textes poétiques et visionnaires de Gaston Bachelard. La représentation se déroule à l’intérieur d’un dispositif tri-frontal, qui place le spectateur au coeur de l’évocation, du fait de la proximité physique avec le plateau. Comme dans une céremonie à laquelle il serait convié. 
Maher Beauroy est devenu, par son talent, un habitué de Tropiques-Atrium et c’est une chance pour le public martiniquais. L’enfant du pays, par delà sa carrière internationale, manifeste son attachement aux lieux de son enfance et de ses premiers apprentissages musicaux , pianistiques en particuliers. De l’Académie de musique de Fort-de-France au Sermac son parcours le mène du registre classique à celui du jazz sans jamais oublier ce qu’il a appris sur son chemin. Sa musique aujourd’hui témoigne d’une passion pour un dialogue entre des polarités différentes. Sa rencontre avec le musicien
Port du masque obligatoire
Vendredi 26 novembre 18h30 – La Terrasse — Tropiques-Atrium GMX (Guy-Marc Vadeleux)
En hommage à la célèbre cantatrice martiniquaise Christiane Eda-Pierre disparue l’an dernier, le comité Voix des Outre-mer, l’association Les Contre-Courants et Tropiques Atrium proposent une soirée lyrique exceptionnelle. Un voyage musical, entre concert et conférence par les Voix des Outre-mer qui rend hommage à la première chanteuse lyrique noire française reconnue à l’international.