Jeudi 20, vendredi 21 & et samedi 22 novembre | 19h30 |T.A.C. (Théâtre Aimé Césaire) FdF
La pièce
La famille Germano est une famille martiniquaise de militants nationalistes.
Papy Pierre et Mamy Monique se sont connus dans les années 70 dans le nord Atlantique de la Martinique. Lui, petit bourgeois foyalais, militant maoïste préparant la révolution avec les ouvriers agricoles des campagnes du Marigot, du Lorrain et de Basse-Pointe, Elle, ouvrière agricole sur l’habitation Vivé au Lorrain.
Fin d’année, c’est l’anniversaire de leur mariage, la fête réunit la famille, et à l’occasion s’y invite un sujet sulfureux : la politique ; dans le dédale des discussions Laura, une des petites filles va involontairement atteindre grièvement sa grand-mère.
Sortie du coma, « Pas sé lespri kò ki mèt kò » Mamy Momo échange avec sa famille à propos de sa rencontre avec Mama Wanakaéra, l’esprit de la Martinique. (Expérience de mort imminente ou de traversée d’un ailleurs ?)
C’est dans un contexte grave de dérèglement climatique que mama Wanakaéra se joint à la conversation familiale tressée par toutes les tensions, toutes les énergies et toutes les visions qui irriguent la Martinique aujourd’hui.

Ubu Président signe le retour tonitruant du Père et de la Mère Ubu sur scène, dans une adaptation contemporaine, musicale et jubilatoire du classique d’Alfred Jarry. Réécrit par Mohamed Kacimi et mis en scène par Isabelle Starkier, le spectacle plonge le public dans un univers où le ridicule et le tragique se mêlent dans une farce politique terriblement actuelle.


La série
Kabaré Z s’affirme comme le premier cabaret queer, féministe et caribéen de Martinique. Porté par l’association Zanmi et initié par Nadia Chonville, écrivaine et docteure en sociologie, le projet propose des spectacles réguliers, chaque premier week-end du mois, dans la salle foyolaise L’Arobase, à Schoelcher.
Le monde culturel martiniquais pleure la disparition de Fanny Auguiac, à l’âge de 87 ans, figure emblématique de la culture de l’île. C’est son époux, Max Auguiac, qui a annoncé cette triste nouvelle dans un message poignant et personnel :


(en arabe : يد إلهية, Yadon ilaheyya) est un film palestinien réalisé par Elia Suleiman, sorti en 2002. Le film est une critique ironique de l’absurdité de la situation géopolitique en Palestine.


Le
Une formation d’élite au service d’une volonté culturelle
Texte de Madjanie Leprix
Par Thomas Ngijol | Avec Thomas Ngijol, Danilo Melande, Bienvenue Mvoe | 11 juin 2025 en salle | 1h 21min | Policier
— Par Robert Berrouët-Oriol (*) —
par Michel Herland
Par Maxime Jean-Baptiste, Audrey Jean-Baptiste | Avec Melrick Diomar, Yannick Cébret, Nicole Diomar | 16 juillet 2025 en salle | 1h 17min | Drame