Vendredi 10 février à 18h 30 à l’Espace Michel Renard au Marigot

La prise des tarmacs en Guadeloupe et en Martinique
Que reste-r-il des événements qui ont secoué la Guadeloupe et la Martinique en novembre 1992 […] ?
« Bananiers de la République en colère », titre ô combien symbolique, tombe à point nommé, à l’approche du vingt-cinquième anniversaire d’un mouvement qui a assurément marqué la conscience collective des Antillais.
L’ouvrage nous rappelle, en effet, l’importance de cette mobilisation et son caractère pour le moins exceptionnel : les aéroports internationaux du Raizet et du Lamentin, lieux stratégiques par excellence dans un contexte d’insularité, sont pris d’assaut par les bananiers en colèr
e qui ont réussi à déjouer les dispositifs de surveillance dans les deux îles.
D’une incroyable audace, ces opérations témoignent des craintes éprouvées par les professionnels de la banane et, dans leur sillage, par une bonne partie des populations antillaises.
Tout au long d’une enquête minutieuse et contextualisée, Guy µFlandrina, nous place au coeur des évènements qui se déroulent du 22 au 26 novembre 1992 : de la prise d’assaut des aéroports aux mesures arrêtées par le gouvernement en réponse à la crise, en passant par l’organisation déployées sur les tarmacs, sans oublier les négociations qui ont lieu parallelement à Paris et à Bruxelles
Extraits de la préface de Justin Daniel.

A Cuba, île sans pesticide, le miel est bio et les abeilles se portent bien ! Ici les ruches de » The Cuban Honey Company » Cuba, l’un des seuls endroits au monde où les abeilles sont en bonne santé A Cuba, où les pesticides ont disparu depuis le début des années 1990, les abeilles se portent bien. Le miel, de qualité biologique, est devenu le quatrième produit d’exportation après le poisson, le tabac et les boissons. Cette bonne santé des abeilles est liée à un milieu naturel préservé selon les apiculteurs. Comme sur l’île d’Ouessant, en Bretagne.
Vendredi 13 janvier dernier, l’UFM était présente à la salle Camille Darsière de la CTM pour écouter et partager les savoirs et les pratiques des professionnels en matière de suicide.
Sans conteste elle est la révélation de ce film. Elle et lui. Elle c’est Stan (Annabelle Lengronne). Lui, Omen (William Lebghil). Elle plus noire qu’hier soir. Lui couleur camembert. Elle « Madame 100 000 volts », volubile, autoritaire, insupportable d’orgueil blessé usant de tous les artifices pour atteindre ses fins. Exceptée la séduction. Ça elle sait pas, elle peut pas ou plutôt elle veut pas. Lui, rêveur, ailleurs, toujours ailleurs, jamais tout à fait réveillé, Pierrot lunaire amoureux depuis sept ans, sans espoir.
De Magaly Richard-Serrano
De Pablo Larraín
De Martin Scorsese
M.E.S. Alex Descas
De Lucien Jean-Baptiste

De Asghar Farhadi
— Par Clara Chérubin —
— Par Michèle Lapelerie —
Jandira Bauer et ses mises en scènes, c’est une histoire que je suis depuis longtemps. Depuis avant que je parte de Martinique faire mes armes de comédienne à Paris. Longtemps. C’est donc avec une excitation teintée d’appréhension que je me suis donc rendue le 28 janvier au Théâtre Aimé Césaire voir sa dernière création, Jaz de Koffi Kwahulé. La même appréhension qu’on a quand on s’apprête à retrouver un ami des années plus tard. Les questions se bousculent : ai-je changé ? A-t-elle changé ? Pourrons-nous encore trouver un point d’entente ? Mais dès le lever de rideau, ces questions se dissipent et le point d’entente est bel et bien là.
Assemblée Nationale
-Tropiques-Atrium –
Cognitis enim pilatorum caesorumque funeribus nemo deinde ad has stationes appulit navem, sed ut Scironis praerupta letalia declinantes litoribus Cypriis contigui navigabant, quae Isauriae scopulis sunt controversa.