— Par Esther Paolini —
L’initiative lancée par l’ancienne Première dame visait à instaurer de nouvelles habitudes alimentaires dans les cantines scolaires. Un objectif de repas sain et équilibré qui vient d’être remis en cause par l’actuel locataire de la maison blanche.
Dans un pays où 17% des enfants souffrent d’obésité, la symbolique est forte. L’administration Trump vient d’annuler un programme, lancé par Michelle Obama, de promotion des repas sains dans les cantines scolaires. Pour cet enjeu de santé publique majeur, l’ancienne Première dame avait initié de nouveaux menus avec moins de sel, de graisses et de sucre.
Dans un communiqué publié lundi, le département de l’Agriculture indique que ces repas vont être supprimés afin de donner aux écoles américaines une «plus grande souplesse».
Un programme à 1,2 milliard de dollars
Selon le nouveau ministre de l’Agriculture, Sonny Perdue, si le programme est supprimé, c’est avant tout à cause de son coût. Ces exigences nutritionnelles ont nécessité un investissement d’1,2 milliards de dollars aux districts scolaires et aux États, sur les cinq dernières années.
Sonny Perdue assure aussi que sans ces règles de nutrition, les enfants déjeuneront avec plus d’enthousiasme plutôt que de jeter leur repas.

Le Club de la presse Martinique organise, jeudi, en partenariat avec la Bibliothèque Universitaire, une conférence sur le thème : « La liberté de la presse est-elle immuable ? » Deux invités sont attendus pour développer ce thème. En premier lieu, Maître Christelle Petit développera les fondements juridiques de la liberté de la presse. Dans un deuxième temps, Olivier Pulvar, maître de conférences en sciences de la communication, parlera des relations avec les réseaux sociaux. La rencontre est ouverte à tous.
Le score réalisé, en Martinique, par Marine Le Pen (10,94 %) à l’occasion du premier tour de cette élection présidentielle, le 22 avril 2017, interpelle même si ses chiffres sont, en valeur absolue, plutôt faibles car l’abstention réellement forte (60,02 %) !
— Présentation par Valère Egouy, directeur artistique —
En 2018, la Cinquième république aura rattrapé en longévité la Troisième, 70 ans. Sans doute, a-t-il fallu apporter des ajustements à la constitution de 1958. A ce titre, la classe politique eut parfois la main lourde, notamment lors de l’instauration du quinquennat. Ainsi, depuis une trentaine d’années, à la veille de chaque élection présidentielle, des projets de changement de république sont annoncés. Et pourtant, née dans la crise de l’Algérie, la loi fondamentale a montré l’étendue de ses ressources à faire face aux crises politiques. Cette revendication récurrente sert souvent aux candidats à masquer leurs insuffisances. Mais jamais les contours d’une nouvelle constitution n’ont jamais été vraiment esquissés.
Cognitis enim pilatorum caesorumque funeribus nemo deinde ad has stationes appulit navem, sed ut Scironis praerupta letalia declinantes litoribus Cypriis contigui navigabant, quae Isauriae scopulis sunt controversa.

— Par Hélène Tirole* —
Depuis quelques temps, le rôle de bouc émissaire de tous nos maux est de plus en plus attribué non plus à un groupe social, religieux ou national, mais à une étrange entité, qu’on appelle « le système » « .
Avec Nelson Rafaell MADEL et Astrid MERCIER
L’écrivain José Robelot sera présent à la BU du campus de Schoelcher vendredi 5 mai à 16h45 pour une rencontre/signature autour de son dernier ouvrage, Une si longue lettre d’amour – Et d’autres paroles (L’Harmattan, 2016).
A côté d’expositions monographiques, la Fondation présente des expositions collectives de scènes moins connues dans leurs développements les plus actuels : après « Bentu, des artistes chinois dans la turbulence des mutations » (janvier/mai 2016), « Art/ Afrique, le nouvel atelier » réunira deux expositions, pensées comme des focus, adossées à un choix d’oeuvres de la Collection de la Fondation :
Le plus affligeant pour ceux qui croient en la France, aujourd’hui devenue « un grand vaisseau en perdition », c’est d’admettre que le choix de la majorité des médias de service, l’a emporté sur le sens moral de ceux qui pensaient possible la victoire de la Transparence et de la Fraternité sur tous les médiocres intérêts de l’idéologie droitière ou ultra fasciste encore régnante en France et naissante, en « excellente santé ! », arrogante et sournoise chez nous. Indécent ! Oui. Il y a matière à préoccupation. Plus. A désarroi ! Mais attention. Une victoire de Le Pen n’amènerait pas le Racisme, l’exploitation, le népotisme idéologique comme nos « Gwanzong », « Gadé Zafè » !! s’évertuent à nous le faire croire. Toutes ces menaces, péril aujourd’hui universel, existaient déjà dans la France actuelle. La Martinique n’est pas en reste. Une grande partie des Français, composée de Démocrates antiracistes, humanistes, vrais socialistes, communistes, progressistes, est minoritaire dans son propre pays, gangrenée par l’idéologie malfaisante du Front National allié au Capital. Insidieusement, s’installent dans la vision d’une majorité bien classifiée et centralisée, des besoins concrétisant le droit d’être « civilisé » sans pour cela prétendre à la Responsabilité.
Au premier constat du taux d’abstention de 60% en Guadeloupe, on aurait pu penser que le premier tour des élections Présidentielles s’est déroulé dans une grande indifférence. Toutefois, indifférence de l’électorat ne signifie pas insouciance de l’opinion
Texte, mise en scène & interprétation : D’ de Kabal
Les sociétés de journalistes de 34 médias protestent dans un communiqué contre la décision du Front national de « choisir les médias autorisés à suivre Marine Le Pen ».
Rappel des faits. À l’heure où la société se trouve fragmentée et où toute une génération est en quête de repères, des MJC doivent fermer ou revoir leurs ambitions pour des raisons budgétaires.
Femmes et hommes féministes, nous avons initié et soutenu la mobilisation « Sexisme, pas notre genre ! ». Au premier tour de l’élection présidentielle, nous avons voté pour différents candidats. Aujourd’hui, nous appelons à faire obstacle à l’extrême droite et à voter pour le seul candidat qui peut mener le combat pour l’égalité: Emmanuel Macron.
CNews a décidé de suspendre d’antenne sa présentatrice Audrey Pulvar pour avoir signé
Le SNUEP FSU Martinique appelle à voter contre Marine LE PEN et à faire barrage par tous les moyens possibles au front national.