— Par Daniel M. Berté —
Bònané an Janvié pou lé jen kon lé vié
Bònané an Févriyé pou lé vié montré-yo lanmitjé
Bònané an Maws pou lanmitjé pli fò ki lé ti-faws
Bònané an Avril pou ti-faws pa anpéché litil
Bònané an Mé pou litil sa lyennen épi labonté
Bònané an Jen pou labonté jouenn épi li bien
Bònané an Juiyé pou li bien mennen lé bon lidé
Bònané an Out pou bon lidé pòté-nou jik an bout
Bònané an Sèptanm pou bout èk bout mété kò-yo ansanm
Bònané an Oktòb pou ansanm nou rété di labwin-di-swè jiska lòb
Bònané an Novanm pou lòb ritouvé-nou sanblé obò an flanm
Bònané an Désanm pou flanm la Libèté kléré sa ki ni nanm
Bònané ba tout nanm an tout manniè ek toulong
Bònané toulong an Démildizuit
Daniel M. Berté 10118

Après Clôture de l’amour en 2011 et Répétition en 2014, Pascal Rambert continue d’explorer les deux voies parallèle du théâtre et des affres de la condition humaine. L’originalité de son approche, c’est cette façon singulière de nouer ces deux arguments. Il ne s’agit pas seulement de théâtre dans le théâtre, quoique cette dimension ne soit pas absente. Il s’agit de représenter un univers dont les acteurs soient des comédiens, qui portent au plus profond de leur cœur la passion du théâtre. Les titres le disent assez. Ce qui est en jeu, c’est la vie des acteurs en tant que personnes comme en tant que comédiens. Les deux étant inséparables. D’où une réflexivité permanente dans l’écriture, qui fait de l’objet théâtral la première des passions humaines, gouvernant toutes les autres. Eugenia, l’actrice par excellence le dit bien, qui affirme avoir fait passer l’amour du théâtre avant ses enfants et ses amants. Pascal Rambert aime ses actrices. Et leur donne les moyens d’exprimer leur talent de manière superlative. Audrey Bonnet, sa complice irremplaçable, et Marina Hands, dont on ne dira jamais assez le pouvoir d’émotion.
Si de l’an deux mille dix-sept
Hac ex causa conlaticia stipe Valerius humatur ille Publicola et subsidiis amicorum mariti inops cum liberis uxor alitur Reguli et dotatur ex aerario filia Scipionis, cum nobilitas florem adultae virginis diuturnum absentia pauperis erubesceret patris.
Lorsque, s’ouvrant à ses visiteurs du Robert, Edouard de Lépine regrettait que le mot autonomie ne fasse plus partie depuis 30 ans du vocabulaire du PPM, jusqu’à ne plus figurer dans les colonnes du Progressiste, il ne s’attendait certainement pas à ce qu’il resurgisse avec éclat lors du rassemblement du 12 décembre 2017 de Rivière-Blanche, à St Joseph. Avec éclat dès lors que cette résurrection s’accompagne de la proclamation par Serge Letchimy de la fin du moratoire. N’a-t-on pas ouvert la porte de Pandore, à l’occasion d’un évènement qui ressemblait davantage à une assemblée générale qu’à une convention ?
Avec le CD UrbAfrika, la lutine et sensuelle chanteuse franco-béninoise lance des passerelles d’amour entre les générations et entre les cœurs.
Le mouvement continu du temps n’apporte toujours pas d’unité citoyenne. C’est pourquoi, plus que jamais, l’acte politique doit procéder de la volonté collective des Martiniquais. Quand la gestion politique s’écarte de la raison sociale, de la volonté du peuple, de l’inclination au travail et au progrès, ne s’écarte-t-elle pas de l’attente voulue par le suffrage populaire ? D’où il suit une déviation de la politique, une dérive entre donner et recevoir, ce qui entraîne, dans le peuple martiniquais, une faim ardente dans l’assouvissement de ses désirs et de ses projets d’avenir.
Le moins que l’on puisse dire est que la situation politique actuelle dans notre pays est totalement délétère.
Wopso ! Nou fè kannal !
Une association française porte plainte contre Apple pour « obsolescence programmée »
La pollution microbiologique des eaux de baignade est essentiellement d’origine fécale. Les eaux usées, provenant des habitations, les déjections des animaux et les effluents d’élevages rejetés dans le milieu et qui pollueraient des sites de baignades peuvent être la cause d’une mauvaise qualité de l’eau.
Lettre aux élu(e)s
An Désanm Senkant-nef
Wou bon yich Sentespri
Qui n’a connu nos légendaires taxis, nos taxis-pays qui au fil du temps et de la modernité ont dû céder place aux taxis plus communément appelés de nos jours « Tonbé_lévé » ou « désherbants » comme en Guadeloupe. Partir sur ces « machines-engins- », relevait presque de l’expédition. D’ailleurs c’était partir en voyage, ce qui signifiait que la journée serait longue. Ne disait-on pas : « man ka voyajé jòdi, man ka désann Foyal ? »
Noël est la période, où la mémoire humaine s’unit le plus à Dieu. Selon l’Epître à Diogène, c’est le temps, où toute humanité prend conscience que la vraie patrie est au ciel. Cette conscience vive de la communauté de destin est liée à l’idée que l’éternité possède le temps tout entier. Car, selon Saint-Thomas, « il n’y a rien de futur pour Dieu. » Noël est donc le temps favorable où, comme le dit Saint-Paul, « toutes choses sont faites nouvelles », ou encore « Dieu réconcilia le monde avec lui-même dans le Christ ! »
Un jeune berger, surnommé Bénezet, descendit en 1177 des montagnes de l’Ardèche, pour rejoindre Avignon. Aidé en cela par les puissances divines, le jeune âgé de douze ans va charger une pierre énorme sur ses épaules et la jeter dans le fleuve. L’édification d’un pont sur le Rhône dont on connait assez le tempérament fougueux sera un défi.
Vous souhaitez offrir pour Noël une poupée ou un robot « connecté » qui répond aux questions posées par les enfants ? Oui mais savez-vous qu’au cours de contrôles réalisés en 2017, la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) a constaté que certains jouets « connectés » collectaient des informations personnelles sur les enfants et leur entourage ?