— Par Raïnat Aliloiffa —
Pauvres en fibres, riches en sucres, les jus de fruits, qu’ils soient faits «maison» ou industriels, ne sont pas si sains qu’on le pense. Deux spécialistes de la nutrition nous en expliquent les raisons.
Vous n’avez pas le temps ou l’envie de manger un fruit, alors vous optez pour un jus, pensant respecter religieusement le célèbre conseil du Programme national nutrition santé (PNNS), «manger cinq fruits et légumes par jour». Fausse bonne idée. Même s’il est fait maison, un jus n’apporte pas les mêmes bienfaits que l’aliment dans son état brut. Et souvent, le jus de fruits, notamment industriel, est tout autant, voire plus sucré qu’un soda.
Une grande partie des bénéfices du fruit en moins
Un fruit est riche en vitamines, en minéraux, en fructose et en fibres. Lorsqu’il est transformé en jus, il perd une majorité de ses apports nutritionnels, essentiels à l’organisme. «La plus grande perte concerne les fibres, qui contribuent au bon fonctionnement du transit intestinal, stimulent son immunité, et éliminent une partie du cholestérol. Les fibres contiennent également des polyphénols (des antioxydants) nécessaires au système cardio-vasculaire, ainsi que des caroténoïdes (des antioxydants également)», informe le Dr Philippe Pouillart, enseignant chercheur en pratique culinaire et santé à l’Institut polytechnique UniLaSalle à Beauvais.


Fond Bernier,
Édouard DUVAL-CARRIE est un peintre sculpteur haïtien né à Port-au-Prince en 1954, qui réside actuellement à Miami. Très connu à l’étranger il a exposé aux Etats Unis, au Mexique et en Europe. En 2014 il a été un des plasticiens à l’exposition « Haïti deux siècles de création artistique » au Grand Palais à Paris.
Le Rapport Brazza



Nous publions la lettre que vient de remettre au préfet (photo ci-dessus) le Collectif des étudiants étrangers de Mayotte exigeant l’application de l’Etat de droit.



Organisée par Jik An bout, en partenariat avec Radio Fréquence Atlantique (RFA) et l’association AM4.
Mai, 2018 / 14,0 x 19,0 / 160 pages
Samir Amin est né au Caire d’une mère française et d’un père égyptien, tous deux médecins. Il a passé son enfance et son adolescence à Port-Saïd où il suivit les cours d’une école française et obtint son baccalauréat (de type français), en 1947. De 1947 à 1957, il étudie à Paris où il passe avec succès un second baccalauréat option « mathématiques élémentaire » au lycée Henri IV de Paris puis il décroche un diplôme de sciences politiques à Sciences Po Paris (1952) avant son diplôme en statistique (1956) et en économie (1957). Il est aussi professeur agrégé en sciences économiques. Dans son autobiographie Itinéraire intellectuel (1990), il écrit qu’afin de passer un temps substantiel en « action militante », il ne pouvait consacrer qu’un minimum de travail à la préparation de ses examens universitaires.
Étienne Balibar Pour un droit international de l’hospitalité Le philosophe Etienne Balibar s’insurge contre les violences faites aux migrants, » que l’histoire jugera sans doute criminelles « . Au nom d’un » choix de civilisation « , il propose de reconnaître » l’hospitalité comme un droit fondamental » s’imposant aux Etats et s’appliquant à ceux qu’il appelle les » errants «
Notre comportement réfléchi peut limiter l’impact de nos activités



