Lori Lightfoot est une ancienne procureure fédérale qui a notamment dirigé une commission de surveillance des activités de la police.
Les habitants de Chicago ont élu mardi une femme noire et ouvertement homosexuelle à la tête de leur ville, une première historique dans cette cité marquée par les inégalités sociales et la violence due aux armes à feu.
Lori Lightfoot, 56 ans, une ancienne procureure fédérale qui a notamment dirigé une commission de surveillance des activités de la police, l’a largement emporté face à Toni Preckwinkle, démocrate et Afro-Américaine comme elle. Elle a obtenu 74% des voix selon les premières estimations, après que la majorité des bulletins ont été dépouillés.
Le « changement »
Elle a fait campagne avec un programme progressiste, promettant notamment de réduire les inégalités sociales et raciales. Les quartiers sud et ouest de la ville, les plus pauvres et habités majoritairement par une population noire, restent à la traîne du centre financier et du nord de la ville, qui ont bénéficié des programmes de développement économique.
« C’est le changement contre le statu quo », a récemment affirmé Lori Lightfoot, faisant une comparaison avec Toni Preckwinkle, 72 ans, élue locale depuis plusieurs décennies et actuelle dirigeante du comté de Cook dans lequel se situe Chicago.

Cela a assez duré
Séminaire coordonné par Nicolas Martin-Granel et Julie Peghini
Théâtre des 2 saisons et Collectif La Palmera
Ils sont philosophes, historiens, professeurs… Ils dénoncent des mouvances qui, sous couvert de lutte pour l’émancipation, réactivent l’idée de « race ».
« Il n’y a pas d’instauration de la vérité sans une position essentielle de l’altérité. La vérité, ce n’est jamais le même. Il ne peut y avoir de vérité que dans la forme de l’autre monde et de la vie autre. «
À l’occasion de la Journée mondiale de sensibilisation à l’autisme ce 2 avril 2019, découvrez comment les autistes perçoivent le monde extérieur dans une vidéo immersive saisissante, réalisée par une association britannique.
Le Mucem invite l’écrivain et penseur Patrick Chamoiseau (prix Goncourt en 1992) pour deux journées de rencontres, lectures et spectacles. Il s’agit de revenir sur le parcours, l’œuvre et les thématiques chères à l’auteur : l’esclavage et la créolité, l’héritage d’Édouard Glissant et le « Tout-Monde », ainsi que la question migratoire, qu’il évoque avec force dans l’essai Frères migrants (Le Seuil, 2017).
Anti’Stress le 1ER festival d »humour International organisez par le Martinique Comedy Club : 5 jours, + de 20 artistes, 4 sites… et en Guests Djibril Cissé, Bun Hay Mean, Laurence Joseph…. et surtout le Premier Gala de la Nouvelle génération d’humoristes caribéens le 5 avril à Madiana
Dans les pas des missionnaires : contacts de civilisations.
La Cie Art&Fact est née en 2011 de la rencontre de Jean-Hugues Mirédin et Laurent Troudart qui reviennent en Martinique après une carrière internationale afin de donner plus de visibilité à la danse contemporaine en Martinique et aux Antilles. Dans cet esprit la compagnie crée aussi avec des artistes issus d’horizons divers pour favoriser l’expression.
Ce roman
— Propos d’Isabelle Barbéris : recueillis par Lucas Bretonnier —
Un collectif a pris l’initiative de réunir des usagers de Schœlcher et de l’agglomération centre afin d’être entendu par l’autorité organisatrice du transport en Martinique.
Le mot littérature, issu du latin litteratura dérivé de littera (la lettre), apparaît au début du xiie siècle avec un sens technique de « chose écrite » puis évolue à la fin du Moyen Âge vers le sens de « savoir tiré des livres », avant d’atteindre aux xviie – xviiie siècles son sens principal actuel : ensemble des œuvres écrites ou orales comportant une dimension esthétique (ex. : « C’est avec les beaux sentiments que l’on fait de la mauvaise littérature » André Gide) ou activité participant à leur élaboration (ex. : « Se consacrer à la littérature »).
—Communiqué de presse de Marie-Hélène Léotin, Conseillère exécutive en charge de la culture et du patrimoine à la CTM —
C’est Alfred Alexandre le président d’Etc Caraibe qui a demandé à Lucette Salibur du Théâtre de l’A’zwel de diriger la mise en lecture de la pièce de Gerty Dambury qu’il avait choisie Lettres indiennes. C’était pour moi une découverte. La pièce écrite en 1992, a fait l’objet d’une création à Avignon en 1996 par Alain Timar (Théâtre des Halles) et à New York en 1997 par Françoise Kourilsky (Théâtre Ubu Rep) sous le titre Crosscurrents. Ils sont six sur scène, à parité, assis sur des chaises, dos face au public. De l’île de la Réunion une jeune femme, guadeloupéenne, on l’apprendra détour d’une réplique, Fructueuse, c’est son nom, lit à voix haute la lettre qu’elle écrit à son ami de cœur resté près de Paris, loin d’elle. Elle est partie, sans autre raison que se trouver elle-même dans la rencontre avec l’autre. Tout au long du texte va se déployer cette dialectique de Soi et autrui, de l’Identité et de la différence. Dialectique et non juxtaposition, superposition, dans un « en-même-temps » stérile et appauvrissant.
— Par Simonne Henry Valmore —
Publication avec l’aimable autorisation d’Olivier, auteur auteur de bande dessinée.
Isabelle Barbéris vient de publier 
C’est la question qu’on peut légitimement se poser à voir l’évolution du conflit à la société de transport SOTRAVOM.