ou la haute voix scénique de Mariana Djelo Baldé
— Par Robert Berrouët-Oriol (*) —
Remarquablement interprété par Mariana Djelo Baldé, le récit théâtralisé « La valise du courage » a fait salle comble et a connu un franc succès le 29 octobre 2025 au Centre culturel Calixa-Lavallée, à Montréal. En ses plissures et ses coutures, dans sa trame à la fois unichorale et bilangue tissée de silences jouxtant les séquences parolières, dans la fragilité toute ténue de ses récits de mémoireS, cette pièce de théâtre –très justement intitulée « La valise du courage »–, est une originale invitation à revisiter le phénomène de la migrance, celle des personnes physiques, celle des mémoires individuelles et collectives au creux de rapports ainsi noués/dénoués/télescopés. D’une ville à l’autre. D’un continent à l’autre. D’un lieu de départ à un lieu d’arrivée : hier comme aujourd’hui, la migrance est polyglotte, polygéographique, polyculturelle et mémorielle.
Le communiqué de presse de la Maison des artistes de la diversité (MAD) annonçait un spectacle théâtral festif, « La valise du courage », ancré dans « les récits d’immigration et l’art du conte ».

— Par Jean-Bernard Bayard —
— Par Hélène Lemoine —
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Le Modem Martinique, conscient des difficultés engendrées en Jamaïque, une de nos îles sœurs anglophones des Antilles, par le cyclone Melissa, témoigne de sa profonde sympathie à son gouvernement ainsi qu’à toute sa population.
— Par Robert Berrouët-Oriol (*) —
— Par Sabrina Solar —

L’énorme risque systémique du changement climatique pour la Guadeloupe et la Martinique.
— Par Sarha Fauré —
Par Maxime Jean-Baptiste, Audrey Jean-Baptiste | Avec Melrick Diomar, Yannick Cébret, Nicole Diomar | 16 juillet 2025 en salle | 1h 17min | Drame
A l’occasion de la présentation de l’ouvrage de traduction créole « L’Histoire du soldat/Listwa solda a« , de Charles Ferdinand RAMUZ et Rodolf ETIENNE, paru aux Editions L’Harmattan en février 2024, le vendredi 21 octobre 2025, à partir de 18h30, à la Bibliothèque Schoelcher, 1, rue de la liberté à Fort-de-France, voici une présentation par le traducteur de la fameuse pièce. Une présentation que vous redécouvrirez lors de cette rencontre.
L’unilatéralisme créole, promu par les Ayatollahs fondamentalistes
— Par Robert Saé (*) —
— Par Jean-Marie Nol —


— Par Hélène Lemoine —
Après “Ile aux esclaves”, “Ile empoisonnée”, devrait-on terminer la trilogie par le label “Ile du Shatta” ? Alors que la société martiniquaise se délite à vive allure, son élite politique ne se retrouvant que sur les lieux et durant les jours de barnums populistes, il me vient en mémoire cet article publié par votre serviteur le 10 mai 2005, repris dans son ouvrage En finir avec les blessures de la peau (2023) et reproduit ci-dessous : “A quand une autorité morale martiniquaise ?” La future autonomie pourra-t-elle se passer d’une telle autorité ?
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Sarha Fauré —
O énigme du mal