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VIDÉOS – Le patriarche brésilien, architecte moteur du mouvement moderne dans son pays, constructeur de la mythique Brasilia et éternel chantre de la courbe, est mort mercredi à l’âge de 104 ans. Une légende disparaît.
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Du jour où Le Corbusier dit à Oscar Niemeyer que «l’architecture, c’est de l’invention», l’architecte brésilien en fit sa règle. Il serait donc créateur d’une architecture neuve. Il ne fut pas seul dans l’émergence du modernisme à la brésilienne. Mais, en raison de l’importance de l’œuvre, de la stature du personnage, on fit de Niemeyer la figure principale de l’aventure architecturale du XXe siècle dans ce pays. Idéaliste et communiste convaincu, il aspirait aussi à un monde plus heureux. Il était devenu un mythe.
Le 15 décembre 1907, à Rio, naît Oscar Ribeiro Almeida de Niemeyer Soares. Une identité héritée d’origines portugaise, arabe, allemande, dont il tire la fierté d’être «aussi métis que le sont tous mes frères brésiliens». En 1929, il entre à l’École des beaux-arts de Rio. Au cours de sa troisième année, pendant que ses condisciples optent pour un confortable apprentissage dans de grosses compagnies, il rejoint le cabinet de l’architecte et urbaniste Lucio Costa.





Du 23 au 25 novembre le IV séminaire international Afrique, Caraïbe, Amérique Latine s’est tenu à Kingstowsn, capitale de Saint-Vincent / Les Grenadines. Organisé par l’ambassade de la République bolivarienne du Venezuela à St-Vincent et par l’Institut Vénézuélien pour la Culture et la Coopération, il s’inscrivait dans le cadre de la 3ème décennennie pour l’éradication du colonialisme décrétée par l’ONU. Participaient à cette rencontre des délégations de Grenade, Barbade, Saint-vincent, Trinidad et Tobago, Dominique, Martinique, Puerto-rico, Honduras, Argentine, Venezuela,et République Démocratique Arabe Saharoui. Les travaux ont commencé après l’accueil des participants, au nom du gouvernement de Saint-Vincent/ Les Grenadines, par le représentant du Ministre de l’agriculture, de la pêche, de l’industrie et du développement rural.Le séminaire était spécialement dédié à Maurice BISHOP. L’intervention de CURTIS JACOB de Grenade et le témoignage de ROBERT CLARKE de Barbade ont porté de précieux éclairages sur l’expérience de la Révolution grenadienne et l’apport de Maurice BISHOP à la lutte contre le colonialisme. Les interventions de la directrice de l’École Latino américaine de Médecine, Mme Sandra MORANO et du chercheur Marlon PENA ont permis de découvrir l’importance de la coopération mené sur le front de l’éducation et de la formation par l’ELAM et en matière de lutte contre le néolibéralisme.
















