Le château Depaz et ses jardins dominent la distillerie et les champs de canne environnants. Ils forment un ensemble de style néo-classique construit au début des années 1920, sur le modèle du château Perrinnelle, belle demeure des 17 et 18me siècles, détruite en 1902 lors de l’éruption de la montagne Pelée.
Les jardins structurés en vastes terrasses présentent ainsi toutes les caractéristiques du classicisme développé au cours de cette période dans les propriétés aristocratiques métropolitaines. Les ouvrages maçonnés participent pleinement à la composition : balustrades couronnant le mur de soutènement de la terrasse antérieure, bel escalier en fer à cheval intégrant un nymphée reliant les plateformes postérieures.
Des très beaux arbres magnifient cet ensemble : albizia caraïbe majestueux, palmiers talipots aux troncs tressés, sans oublier le caoutchouc gigantesque plus près de la distillerie.

Derrière la maison familiale, le jardin d’Éveline s’étire sur un terrain accidenté jusqu’à un pré ou paissent quelques moutons en contrebas d’un abrupt.

Facilitant concentration et détente, les coloriages pour adultes sont la nouvelle panacée anti-stress, selon les éditeurs. Un véritable phénomène de société et de librairie, puisque les ventes des carnets et des posters s’envolent.
Beauséjour est l’une des plus anciennes habitations sucrières de la Martinique. Elle conserve la maison de maître en bois reconstruite, en 1820, la cuisine extérieure construite en pierre, la chapelle et la rue « case-nègres ».
Le jardin de la Chaudière s’étend entre maison et rivière qui le borde en contrebas tandis qu’un ruisseau le festonne en amont. C’est un jardin composite patiemment aménagé et qui aujourd’hui âgé de dix ans. affirme sa maturité.
Le site d’implantation de ce jardin créé.au sein d’une exploitation agricole, fruitière (goyave), bovine et ovine, est celui d’une ancienne habitation sucrière. Les anciens champs de canne sont aujourd’hui plantés de goyaviers tandis que la voie ferrée et la coulisse qui permettaient le transport des fagots de canne vers l’usine située au Robert, sont les chemins qui structurent l’espace de promenade.
Ce n’est pas un véritable jardin mais il en a bien des vertus cet espace planté de palmiers qui sont autant de pièces de collection !
Un jardin d’agrément accompagne le domaine de production de plantes et fleurs tropicales de Beauvallon. ll se compose en deux espaces d’ambiance très différente qui sont déterminés par la topographie accidentée du lieu.
C’est autour de l’habitation datant de 1831 et dans les hauteurs du Marin,que vous découvrirez ce magnifique jardin oflrant une vue panoramique sur l’océan Atlantique.
Dans un espace pentu et restreint par la présence de grosses roches rondes qui témoignent de l’activité volcanique passée (bombes), la moindre parcelle de terre disponible est ici mise en culture dans le plus grand respect de la nature et de l’homme.
Le jardin Bertin est un jardin d’agrément ou plutôt d’ornement comme peul l’être une pierre précieuse ciselée avec patience et posée dans un écrin.

















Primé au festival de Saint-Sébastien, Pelo malo a pour héros un touchant garçon métis de 9 ans, malmené par une mère seule qui s’escrime à retrouver du travail…
C’est un jardin naturel où chaque plante, chaque arbre, parfois installé sans v avoir été invite. est considéré avec bienveillance. La mauvaise herbe n’existe pas ici : tout végétal est précieux et contient la promesse de ses vertus thérapeutiques, condimentaires ou simplement ornementales.
En 1995, Josette Nicole reçoit en pension une orchidée répondant au nom de Phaleaenopsié mivae. De cette cohabitation est née sa passion pour ces fleurs surprenantes, riches d’un langage de formes et de couleurs tellement vaste !
Le jardin installé sur le flanc du morne Gamelle, est un jardin créole où se mêlent les cultures vivrières de légumes, de fruits et les plantes condimentaires et médicinales : cacao, goyave, banane, canne à sucre, café (arabica aux petits grains et robusta aux gros grains), bois d’Inde, bois pissenlit, calebasse de toutes grosseurs et formes.
En 1982, Jean-Philippe Thoze, artiste paysagiste passionné de botanique, entreprend d’offrir une nouvelle vie à la maison familiale délaissée et à son iardin installé sur le flanc oentu d’un mome. ll compose un jardin botanique paysager d’unè richesse rare. Les allées nous conduisent à la découverte d’inestimables collections constituant de multiples scènes contrastées, mêlant lignes, touffes, espaces dégagés et aquatiques où se mêlent les ports magnifiques, les couleurs et les senteurs des fleurs tropicales dont la précieuse rose de porcelaine.
Un parc paysager a été créé autour des ruines de l’habitation de I’Anse Laiouche fondée au milieu de 17ê- » siècle et détruite lors de l’éruption de la montagne Pelée en 1902.
Le jardin est installé au creux d’un vallon où coule la rivière Latouche. L’eau, n’est pas seulement une présence et un murmure, elle :st un des acteurs essentiels à la vie de cet espace voué à la conservation d’espèces végétales et animales en üoie de disparition.