— par Jérôme Latta —
Suscitant quelque scandale, le président de l’UEFA Michel Platini, candidat à la présidence de la FIFA avait donc, il y a quelques semaines, appelé les Brésiliens à « se calmer » et à « attendre un mois » avant de revendiquer, réinterprétant à sa façon la notion de trêve olympique. L’irritation du dirigeant trahissait certainement autant son inconcevable désinvolture que la crainte de ses pairs de voir leur événement « gâché ». Pourtant, que craignent-ils? La probabilité d’une situation si insurrectionnelle qu’elle compromettrait le déroulement du tournoi reste improbable à ce jour: s’ils ont peur, c’est évidemment pour eux-mêmes.
LA FIFA DANS UNE POSITION INTENABLE
Dans les jours qui précèdent une Coupe du monde, il est d’usage de s’interroger sur les forces en présence, sur les potentiels vainqueurs, sur les joueurs que le tournoi glorifiera. Cette fois l’incertitude porte aussi sur la tenue de l’événement lui-même, sur ce qui va se passer autour de lui – au-delà de l’enceinte de stades et des « fanzones ». Nous voici à la veille du Mondial le plus incertain de l’histoire, et pas pour des raisons sportives.


Pour avoir siégé pendant plusieurs années au conseil d’administration de l’UFR droit et sciences économiques de Fouillole, l’affaire UAG-CEREGMIA, mais surtout la communication autour de cette affaire, ne cesse de m’interpeller.


En France, l’acte de naissance réel de l’École Normale prend corps avec la loi Guizot en 1833. Même si la loi ne concerne que les départements métropolitains, la Martinique veut aussi posséder son «École Normale». Le cheminement de cette construction durera cent ans. D’état embryonnaire, longtemps dénommé «cours normaux», elle n’achèvera sa véritable existence qu’au milieu du XXe siècle, dans un espace autonome chargé de symboles. On retrouve dans cet écrit les pères et mères fondateurs de l’Instruction Publique en Martinique. De condition plus que modeste, petit-fils ou petite-fille d’esclaves, leur courage et leur vaillance vont les transporter au-delà de l’océan.
Parler de Maya Angelou c’est évoquer toute une époque de l’histoire politique et culturelle des États-Unis. Proche de Martin Luther King, militante des droits civiques, elle était aussi une artiste investissant tous les domaines, chant, danse, théâtre, cinéma, littérature. Maya Angelou « est morte paisiblement chez elle », à 86 ans, a expliqué sa famille.
Projet financé par le Fond Social Européen
Espace d’art contemporain 14°N 61°W poursuit en 2014, ses résidences audiovisuelles et invite
Suite de l’épisode 5
Le compositeur et improvisateur antillais se produira au Festival Gnaoua
et musiques du monde d’Essaouira
Un an après le centenaire de la naissance du plus illustre des Martiniquais, on commémore le centenaire du début de la Grande Guerre. Cela est l’occasion de nous rappeler qu’une autre personnalité originaire de Basse-Pointe, le Dr Hippolyte Morestin (1869-1919), s’illustra en soignant les soldats français grièvement blessés au visage, les « Gueules cassées ».
Nicolas Bedos a été le brillant présentateur d’une soirée des Molières joyeuse et enlevée.
Où se trouve la frontière entre la tristesse et la dépression, la timidité et une anxiété généralisée ? Les pathologies mentales sont-elles en augmentation ou est-ce notre conception de la « normalité »qui a changé ?

DECRYPTAGE – A l’approche des festivals d’été, les intermittents mettent la pression. Ils s’opposent à l’accord Unedic sur l’assurance chômage acté le 22 mars dernier et espèrent la réouverture des négociations.
Calomnie n° 1 : Guerre des facs, guerre des laboratoires

