TRIBUNE. Cinquante-cinq militantes féministes universalistes appellent les parlementaires à renforcer le projet de loi séparatisme en débat à l’Assemblée nationale.
Nous, féministes engagées pour les droits des femmes, le progrès social et l’égalité, nous luttons contre toutes formes de domination patriarcale et soutenons les femmes et les hommes qui, ici comme dans d’autres pays, mènent un combat, souvent au risque de leur vie, contre les fondamentalismes politico-religieux.
C’est pourquoi, quelle que soit notre appréciation de l’action du gouvernement sur d’autres sujets, nous prenons acte avec satisfaction de l’esprit du projet de loi « confortant le respect des principes de la République », qui veut répondre à un certain nombre de défis auxquels sont confrontés les principes universalistes inscrits dans l’ordre juridique français.
Nous nous réjouissons notamment des avancées en matière de dignité et de droits des femmes que ce projet propose :
- L’application de la loi française – et de nulle autre – sur les successions. Le prélèvement compensatoire sur les biens détenus en France prévient toute discrimination selon le sexe entre les héritiers et héritières et leur garantit un égal accès à la réserve héréditaire.

A l’heure où le pays Guadeloupe fait face à un regain épidémique et que l’économie tente de se redresser, le retour annoncé des tensions sociales, avec l’annonce de possibles grèves, fait craindre des lendemains très tendus, quand les plans sociaux se multiplieront et les mesures de chômage partiel s’arrêteront. Déjà la pandémie de Covid-19 a provoqué des « dommages massifs » sur l’emploi dans le monde, avec l’équivalent de 255 millions d’emplois perdus en 2020, selon l’Organisation internationale du travail (OIT) ce lundi. Les chefs des petites et moyennes entreprises sont de plus en plus nombreux à douter de leur capacité à rembourser leurs dettes ou à payer leurs charges, et près de la moitié craint de ne pas être en capacité de passer le cap de 2021, sans dégâts irréversibles de trésorerie.
Dapré “Le loup et le chien” de Jean de La Fontaine
Emmanuel Macron « pour l’ensemble de son œuvre » et Barbara Pompili pour la ré-autorisation des néonicotinoïdes: Greenpeace a décerné mardi ses premiers « boulets du climat » sur le tapis rouge d’une cérémonie parodique devant l’Assemblée nationale.
— Par Ali Babar Kenjah —
Élisabeth Moreno, ministre déléguée à l’égalité femmes-hommes, a annoncé l’interruption de l’appel d’offres visant à désigner l’opérateur gérant le 3919.
Moderna, qui a procédé à plusieurs essais, a affirmé que son vaccin protégeait contre les variants britannique et sud-africain du Covid-19.
Face à la tragédie qui se joue en Haïti, dont des habitants sont chaque jour assassinés par un gang ou tués par des policiers, et spoliés par un pouvoir corrompu, l’écrivain se tourne vers la poésie, comme un flot de lumière face à la noirceur de l’existence.
— Par Jérôme Béglé —
Avec le drame politique One Night in Miami (disponible sur Amazon Prime Vidéo), la réalisatrice afro-américaine Regina King évoque le souvenir de Mohammed Ali et Malcolm X.
Donald Trump avait interdit les personnes transgenres dans les forces armées. Le président Joe Biden est revenu sur cette décision controversée.
En septembre 2020, au palais de justice de Paris, un procès s’ouvre pour juger ceux qui ont participé à la tentative meurtrière de destruction d’un journal qui n’a pour seules armes que quelques dessins. Ce procès historique, c’est celui de ces journées de janvier 2015, quand la France assiste à la mort en direct d’un journal dont la rédaction est sauvagement assassinée, celle-là même qui avait fait renaître Charlie Hebdo en 1992. 2020 : dans un bunker, à Paris, une nouvelle rédaction épaulée par les victimes et les proches des victimes de l’attentat de 2015 fait toujours vivre la liberté d’expression… À partir du procès des attentats de janvier 2015 et en immersion dans la rédaction actuelle du journal, le documentaire reviendra en archives, en témoignages et en dessins sur l’histoire de Charlie Hebdo, ce journal qui refuse de mourir pour défendre notre fondamentale liberté d’expression. Un film historique et patrimonial pour un combat indispensable.
Le cacique Raoni Metuktire, défenseur emblématique de la forêt amazonienne, demande à la Cour pénale internationale d’enquêter pour « crimes contre l’humanité » contre le président brésilien Jair Bolsonaro, accusé de « persécuter » les peuples autochtones en détruisant leur habitat et bafouant leurs droits fondamentaux.
Avec Ray Winstone, Mick Ford, Julian Firth
« Les concitoyens font le Peuple. Si nous voulons « décoloniser » ce peuple il est clair que chaque être faisant alors « peuple » est en devoir immédiat tout d’abord de se libérer mentalement. Il y va que seul le chemin de l’individuel nous permettra in fine d’accéder au destin du collectif ». Frantz Fanon.
Malgré une situation épidémique stabilisée, les préfets de Martinique et de Guadeloupe ont durci les conditions d’accès aux îles, dès lundi 18 janvier. En cause, la crainte d’importer les formes variantes du virus.
L’histoire des sciences sociales débute avec le siècle des Lumières, autours de 1650, lorsqu’une révolution au sein de la philosophie naturelle a changé le cadre de référence avec lequel les individus jaugeaient de la scientificité. Les sciences sociales sont issues de l’éthique de cette époque et ont été influencées par le long XIXe siècle ( la révolution industrielle et la révolution française, notamment). Les sciences sociales se sont développées à partir des sciences (expérimentales et appliquées), de savoirs existants, de pratiques normatives, et ce, dans un élan et une vision de progrès social lié à des groupes sociaux donnés.
Dimanche 17 janvier 2021, Monsieur Lilian THURAM est intervenu sur T.F.1 ou il a traité du racisme.
L’Association qui regroupe les CCI d’outre-mer (ACCIOM) plaident pour maintenir le dispositif d’activité partielle et le report des charges notamment, alors que certaines aides devaient s’arrêter fin 2020 ou être revues à la baisse.
France Télévisions lance début février une chaîne éphémère baptisée Culturebox, « accessible sur tous les écrans ». Elle disparaîtra avec la réouverture des lieux culturels.
Les débats autour d’un match du PSG ou d’un roman d’Agatha Christie illustrent comment ce terme reste imprégné de la tragédie de l’esclavage et de la colonisation. La fierté de la négritude revendiquée dans les années 1930 ne suffit pas à effacer ce passé.
Paul Fructus est revenu en Martinique sept ans après l’adaptation dramaturgique des « Travailleurs de la mer » de Victor Hugo.
Le 21 novembre, un Guadeloupéen de 67 ans a été admis en « détresse respiratoire » et état de « tétraplégie » aux urgences de Pointe-à-Pitre. L’homme est aujourd’hui décédé. Une enquête judiciaire est ouverte « contre X » pour « homicide involontaire ».
Deux raisons, en ce mois de janvier, de sauver de l’oubli un manuscrit, sans titre, de