— Par Camille Loty Malebranche —
Le besoin de rivalité tient en général de la trivialité d’une sensibilité d’asthénie existentielle, de banalité de soi qui pousse aux conflits de personnalité comme pour se signifier à soi-même. La rivalité ne naît que lorsque deux individus mutuellement banals, réciproquement insignifiants se cherchent une différence non dans l’intrinsèque mais par la vanité de critères qualitatifs plats sans importance. Dans le cas contraire, il y aura agressivité, haine de la part du taré en mal de conflits mais pas de rivalité, même en cas d’agression infligée à celui qu’il prend pour cible, qui, néanmoins devra se défendre si nécessaire…
Deux imbéciles qui achètent des voitures chères pour se « mesurer » comme si une voiture était une unité de mesure du mérite humain, deux femmes qui exhibent leur arrière pour voir laquelle attirera plus de regards mâles sont l’illustration du nivellement vulgaire et de caniveau de l’objet extrinsèque de la rivalité qui est toujours insanité d’égos égaux dans leur banalité, vanité de la bassesse du sentiment, platitude du regard sans vision, misérabilisme de la conscience lamentable.

Ce texte est le deuxième volet d’un article en quatre parties. 
Le déni collectif de réalité économique et les non dits sur la question identitaire et raciale ne sont-ils pas les principaux freins au développement harmonieux de la Guadeloupe ?
— Par Sabrina Solar —
Claude Henry : artiste peintre
Communiqué de presse su Secours Catholque —
Le 23 juillet 2025, la Cour internationale de justice (CIJ) a rendu un avis consultatif qui pourrait bien marquer une rupture décisive dans l’histoire de la lutte contre le dérèglement climatique. À l’unanimité, les quinze juges siégeant au Palais de la Paix à La Haye ont reconnu que le droit à un environnement propre, sain et durable constitue un droit humain fondamental, intrinsèquement lié aux droits à la vie, à la santé, à l’alimentation et à l’eau.
L’ouverture de l’année de Frantz Fanon par diverses manifestations organisées par l’association Tous Créoles avaient déplu les fanonistes estampillés. Ces derniers craignaient de se voir déposséder de leur icône par les membres d’une association qui ne serait pas de la famille. Ce sentiment d’exclusivisme n’est pas nouveau. Même le PPM en avait en son temps fait les frais en s’y voyant exclu d’une invitation à célébrer l’auteur de Peau noire masques blancs. Son président, alors président de la région Martinique, avait riposté en offrant des livres de Fanon aux élèves des classes terminales du Lycée qui porte son nom. En bref, la mémoire de Fanon ne paraît pas prête à être livrée à la reconnaissance d’une société apaisée. La question se pose : à qui une société apaisée ferait-elle peur ? A qui Tous Créoles fait-elle peur ? Et voilà que l’Association récidive en créant le Grand Salon du Livre qui se tiendra les 2 et 3 août 2025 dans les jardins de l’habitation Clément. D’où une seconde question : la culture martiniquaise aurait-elle cessé d’être captive de la gauche identitaire qui détient à peu près tous les vecteurs de son développement ?
— Par Jean-Marie Nol —
Chapitre XVI
DOCUMENT DE RÉFÉRENCE
La Jazz Night clôture le festival culturel de Fort-de-France, entamé fin juin. Elle se tiendra samedi soir dans les jardins du parc culturel Aimé-Césaire.
— Par Michèle Bigot —
Quand les auteurs de Martinique vous invitent à passer au salon…L’association Tous Créoles, en collaboration avec la Fondation Clément et en partenariat avec la Fnac Martinique, organise son premier Salon Littéraire qui se tiendra les samedi 2 et dimanche 3 août prochains dans le cadre prestigieux de l’Habitation Clément.
La flambée  des violences en Guadeloupe est l’indice d’un affaissement de l’autorité et non plus d’une fracturation sociale .
La Mercury Beach se tiendra ce samedi sur la plage de Grande Anse, aux Anses-d’Arlet. L’événement rassemble chaque année des participants en mer et sur la plage.
J’ai eu le bonheur d’être introduite à la pensée de Fanon par Vincent Placoly avec lequel, collégienne, je discutais en classe de révolution ; février 74 n’était pas très loin, et mon professeur de français m’offrit son propre volume de Sociologie d’une révolution. 
Les Artistes et les spectateurs pris au piège du metteur en scène. Plus pauvre que la misère, c’est la pauvreté de la mise en scène
— Par Sabrina Solar —
— Communiqué 
“Yé Krik ?” — “Yé Krak !”
CENTRE HOSPITALIER MAURICE DESPINOY