Las activités et animations dans les communes participantes de Martinique
La Semaine Bleue 2023, avec ses 72 ans d’histoire dédiés à la valorisation de la place des aînés dans la vie sociale, s’apprête à se dérouler du 2 au 8 octobre prochain. Cette initiative s’engage avec une éthique forte, visant à promouvoir une image positive du vieillissement et des personnes âgées.
L’un des principaux messages de la Semaine Bleue est que vieillir ensemble est une chance à cultiver. Face aux défis de la transition démographique, il est essentiel de faire comprendre que le fait de vieillir en commun est une opportunité, à la fois pour les personnes âgées et les générations plus jeunes. Cette coexistence favorise une contribution mutuelle à la vie sociale et citoyenne, permettant de tirer parti des ressources de chacun pour la réalisation de projets communs et la création de liens durables. Cette vision positive du vieillissement doit être constamment entretenue pour contrer les perceptions négatives liées à l’âge.
La Semaine Bleue aspire à mettre en avant les contributions que toutes les personnes âgées, quel que soit leur âge, leur état de santé et leur niveau d’autonomie, peuvent apporter à la société.

L’enseignement du créole ne doit pas avoir uniquement pour but une meilleure maîtrise du français classique ; elle doit amener à une meilleure connaissance et une meilleure pratique du créole lui-même. Il s’agit de bien parler créole autant que de bien parler français. Georges-Henri Léotin Il appartiendra aux inspecteurs de l’Education, aux conseillers pedagogiques, aux directeurs et directrices de se mettre ensemble sous la houlette du rectorat de Martinique pour répondre à la demande du président du Conseil exécutif.
Dans le cadre de la lutte contre la pauvreté, le ministère des Solidarités a souhaité s’appuyer sur une information la plus complète possible sur les personnes en situation de précarité. Il s’est associé avec l’Insee pour publier un panorama des situations de pauvreté dans chaque région.
Louise Erdrich, lauréate du Prix Pulitzer en 2021 pour son roman « Celui qui veille », nous transporte dans un univers envoûtant avec son dernier ouvrage, « La Sentence ». Ce roman captivant se déroule à Minneapolis, dans le Minnesota, un État où la culture autochtone amérindienne est particulièrement présente. Au cœur de l’histoire se trouve Tookie, une femme d’origine amérindienne, dont la vie a été marquée par un crime lié au trafic de stupéfiants, l’envoyant derrière les barreaux pour soixante ans.
Le président de l’université de La Réunion, Frédéric Miranville, a été suspendu à titre conservatoire pour une durée d’un an, suite à une décision rare prise par la ministre de l’Enseignement supérieur, Sylvie Retailleau. Cette mesure fait suite à une enquête ouverte en raison de signalements de harcèlement moral qui ont été portés à l’attention du ministère.

Victoire Jasmin, née le 23 décembre 1955 à Morne-à-l’Eau (Guadeloupe) et décédée le 6 octobre 2023, a laissé une empreinte réelle dans le paysage politique français. Originaire de Guadeloupe, elle fut une femme politique engagée au sein du Parti socialiste et a occupé le poste de sénatrice de la Guadeloupe de septembre 2017 à septembre 2023.
La situation critique des Restos du Cœur, une organisation humanitaire majeure en France, suscite de sérieuses préoccupations. Jean-Yves Troy, le délégué général de l’association, a récemment sonné l’alarme lors d’une audition à l’Assemblée nationale. Il a déclaré que l’organisation était désormais dans l’incapacité de répondre efficacement aux besoins croissants de la population défavorisée. Cette crise découle d’une combinaison de facteurs complexes.
En octobre 2023, Mayotte, le département le plus pauvre de France, fait face à une sécheresse d’une ampleur sans précédent depuis 1997. Cette île, dont l’approvisionnement en eau dépend principalement des précipitations, connaît une grave pénurie de cette ressource vitale. Face à cette situation critique, l’État a annoncé une série de mesures pour soutenir la population mahoraise.
À compter du 7 octobre 2023, une nouvelle réglementation sur les frais de livraison des livres neufs entre en vigueur en France, suscitant un débat animé parmi les lecteurs, les libraires, et les géants de la vente en ligne tels qu’Amazon. Cette réglementation vise à imposer des frais de port minimum sur les commandes de livres neufs, et elle a été initiée grâce à la loi Darcos, portée par Laure Darcos et adoptée en fin d’année 2021.
Pour la deuxième année consécutive, le Jamais Lu, en partenariat avec Textes en Paroles et le Conseil des arts et des lettres du Québec, propose à un·e auteur·trice de théâtre de Guadeloupe / Guyane / Martinique une résidence d’écriture de deux mois à Montréal, entre mars et mai 2024.
La rentrée est passée, les nouvelles bonnes habitudes s’installent et le mini-marché mensuel de l’association Ypiranga est de retour ! 
Les Cahiers d’histoire. Revue d’histoire critique sont une revue trimestrielle, organisée pour chaque numéro autour d’un dossier thématique qui donne son titre au volume. Cette revue généraliste se donne comme objectif, à travers une grande diversité de thématiques, de développer une histoire polarisée autour du fonctionnement des dominations sociales dans toutes leurs dimensions politiques, économiques et culturelles. Cette approche s’accompagne d’une démarche réflexive sur les formes de production et les usages du savoir historique dans ces processus de domination.
Permettez-moi quelques brèves considérations concernant la cuisine qui est la nôtre — celle des Antilles et des Amériques. Dans l’un de mes romans, intitulé Solibo Magnifique, publié en 1988, j’avais indiqué la recette du « Toufé-rétyen ». Cette chair de requin cuite à l’étouffée constituait un des plats emblématiques de l’époque. C’était aussi l’une des gourmandises préférées de ma mère. Je n’ai jamais raffolé du poisson et je ne suis pas un grand amateur de ce « Toufé-rétyen ». Seulement, je reste convaincu que cette recette méritait toute sa place dans mon exploration de l’imaginaire populaire de notre pays, mais aussi de notre créativité collective alors sous-estimée. Ce qui est intéressant, c’est que cette simple évocation avait déclenché une petite polémique. J’avais été accusé « d’auto-exotisme », pour ne pas dire de « doudouisme » par un philosophe martiniquais bien en vue à l’époque. Excusez-moi cette anecdote, mais elle est symptomatique de ceci : même si dans ces années-là, nous avions largement avancé dans la réappropriation de nos patrimoines oubliés — patrimoine de l’habitat, patrimoine de la mémoire orale, patrimoine de la danse, du tambour, de la musique des mornes —, la cuisine était encore considérée comme un symptôme du « localisme ».
Sait-on vraiment ce que veut dire l’adage « on est ce que l’on mange » ? Il faudrait des heures pour expliquer scientifiquement comment notre alimentation a autant d’effets sur nous. Mais une étude simple va te permettre de réaliser que les aliments sont tout sauf une addition de nutriments et de calories. Pourquoi et comment mettre en pratique l’adage « on est ce que l’on mange » ?
Le pape François, dans un geste d’une importance cruciale, a émis un cri d’alarme retentissant face à la crise climatique qui menace notre planète. Dans son texte intitulé « Laudate Deum » (« Louez Dieu »), publié récemment, il a insisté sur la nécessité d’une transition énergétique immédiate et contraignante pour lutter contre les effets dévastateurs du réchauffement climatique.
Le 6 octobre 1973, jour de Yom Kippour, moment considéré comme le plus solennel de l’année juive, une coalition arabe, menée par l’Egypte et la Syrie, attaquait par surprise l’état d’Israel en réponse à la cuisante défaite subie lors de la Guerre des Six Jours en 1967
Paradis perdu
Par Léa Domenach, Clémence Dargent
Démarrage de la campagne de rappel contre la Covid-19, déconjugalisation de l’allocation destinée aux adultes handicapés, nouveaux montants pour la réduction de loyer de solidarité, revalorisation des APL, taxe foncière, évolutions du bonus écologique, calendrier 2024 des examens, date des vacances de la Toussaint… Voici tous les changements prévus au mois d’octobre.
Le 25 mai 2023, lors des commémorations du 175e anniversaire de l’abolition de l’esclavage en Martinique, l’Assemblée de Martinique a adopté une délibération historique. Cette délibération déclarait le créole comme langue officielle de la Martinique, sur un pied d’égalité avec le français. Cette décision a été approuvée à l’unanimité des conseillers territoriaux, à l’exception d’une abstention.