Entrée en vigueur de la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes le 3 septembre 1981.
La Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes (en anglais Convention on the Elimination of All Forms of Discrimination Against Women, CEDAW) a été adoptée le 18 décembre 1979 par l’Assemblée générale des Nations unies. Elle est entrée en vigueur le 3 septembre 1981 après avoir été ratifiée par 20 pays.
Les États-Unis l’ont signée en 1980 mais ne l’ont toujours pas ratifiée. Les États qui n’avaient pas signé le traité lors de son entrée en vigueur y adhèrent aujourd’hui, sans le signer. Le dernier État en date à l’avoir fait est le Qatar, le 29 avril 2009. De nombreux pays l’ont signé en émettant toutefois des réserves, de nature à fortement en affaiblir la portée. Aujourd’hui, les seuls membres de l’ONU à n’avoir pas adhéré à la convention sont le Vatican, l’Iran, la Somalie, le Soudan et les îles Tonga.
La présidente du CEDAW est actuellement Dalia Leinartė.
Cette convention est adoptée dans la lignée de l’année internationale des femmes de 1975.

— Par Sarha Fauré —
— Par Sarha Fauré —
Le Haut-Commissaire de l’ONU aux droits de l’homme, Volker Türk, a indiqué que « l’héritage brutal du colonialisme persiste. Le racisme reste un fléau ».
Dans le monde, plus de 230 millions de filles et de femmes vivent aujourd’hui avec les séquelles de mutilations génitales, selon un rapport de l’UNICEF publié en 2024. Une statistique glaçante, en hausse de 15 % depuis 2016, qui illustre l’ampleur d’une pratique profondément enracinée dans certaines cultures et toujours trop peu combattue à l’échelle mondiale.
Dans le cadre d’un ambitieux projet solidaire d’utilité publique, un nouveau programme voit le jour en Martinique : le projet Phenix, un dispositif d’accompagnement gratuit, dédié aux femmes ayant été victimes de violences, qu’elles soient physiques, psychologiques, sexuelles ou économiques.
À propos
— Par Sabrina Solar —

La précarité menstruelle est une injustice sociale et une question de santé publique qui touche de nombreuses jeunes filles et femmes menstruées en Martinique.
Cette année, sera à l’honneur une palette riche et variée de femmes chanteuses, plasticiennes, auteures, réalisatrices, slameuses, poétesses, conteuses et comédiennes. Toutes sont prêtes à partager avec vous leur passion et leur art.
Les promesses d’Emmanuel Macron en matière d’égalité entre les femmes et les hommes semblent loin d’être tenues, selon Oxfam France. L’organisation pointe notamment l’absence de progrès significatifs sur plusieurs dossiers majeurs, malgré les discours officiels. Dans un communiqué publié ce lundi, à quelques jours de la Journée internationale des droits des femmes du 8 mars, l’ONG s’alarme du retard pris par le gouvernement et de l’inefficacité des mesures mises en place.
Les violences faites aux femmes demeurent un fléau majeur en France, et la lutte contre ce phénomène est au cœur des priorités des autorités publiques. Le ministère de la Justice, en amont de la Journée internationale des droits des femmes le 8 mars, a dressé un bilan de l’utilisation des dispositifs de protection, tels que les « téléphones grave danger » et les bracelets anti-rapprochement. Si ces outils montrent des signes d’efficacité croissante, des défis subsistent pour assurer une réelle protection et prévention des violences.
En 2023, l’écart salarial entre les femmes et les hommes dans le secteur privé demeure important, bien qu’il ait considérablement diminué au cours des dernières décennies. Selon
— Par Culture Égalité —–
Mon propos est d’examiner dans quelle mesure la psychanalyse peut être un instrument théorique intéressant, propre à éclairer de façon positive les problèmes de la « condition féminine » . Ces réflexions sont à mettre en relation avec celles de Maurice Godelier qui apportait une autre forme d’approche, celle de l’ethnologie. Dans son article, Maurice Godelier montre que la domination de l’homme sur la femme est issue de la première division sociale du travail. fondée sur la différenciation sexuelle.
—Communiqué de presse du Réseau Féministe « Ruptures » —
Lorsque l’on se promène autour du groupe scolaire Saint-Joseph de Cluny, à hauteur de l’abribus, on peut apercevoir un panneau qui se dresse à environ une dizaine de mètres de l’entrée, au niveau du ralentisseur – ce qui permet de bien lire son message. Et ce texte a de quoi surprendre. Il semble provenir d’une affaire purement privée : apparemment un garçon s’adresse à une jeune fille, lui reproche de le tromper et affirme en avoir des preuves.