— Par Sabrina Solar —
Le rapport de la commission d’enquête sur les violences dans les milieux artistiques, publié le 9 avril 2025, met en lumière une réalité accablante : des abus systématiques et persistants au sein des secteurs du cinéma, de l’audiovisuel, du spectacle vivant, de la mode et de la publicité. Cette enquête, présidée par Sandrine Rousseau, a permis de recueillir de nombreux témoignages et d’analyser les mécanismes profonds qui permettent à ces violences de perdurer. Le rapport final, rédigé par Erwan Balanant, dresse un état des lieux alarmant et propose 86 recommandations destinées à changer en profondeur ce milieu longtemps marqué par l’omerta et l’impunité.
Une culture de la violence systématique et une omerta persistante
L’enquête a mis en évidence un phénomène généralisé de violences sexistes et sexuelles, ainsi que de harcèlements, qui s’enracinent dans une culture patriarcale et sexiste propre au monde de la création artistique.



La précarité menstruelle est une injustice sociale et une question de santé publique qui touche de nombreuses jeunes filles et femmes menstruées en Martinique.
Cette année, sera à l’honneur une palette riche et variée de femmes chanteuses, plasticiennes, auteures, réalisatrices, slameuses, poétesses, conteuses et comédiennes. Toutes sont prêtes à partager avec vous leur passion et leur art.
Les promesses d’Emmanuel Macron en matière d’égalité entre les femmes et les hommes semblent loin d’être tenues, selon Oxfam France. L’organisation pointe notamment l’absence de progrès significatifs sur plusieurs dossiers majeurs, malgré les discours officiels. Dans un communiqué publié ce lundi, à quelques jours de la Journée internationale des droits des femmes du 8 mars, l’ONG s’alarme du retard pris par le gouvernement et de l’inefficacité des mesures mises en place.
Les violences faites aux femmes demeurent un fléau majeur en France, et la lutte contre ce phénomène est au cœur des priorités des autorités publiques. Le ministère de la Justice, en amont de la Journée internationale des droits des femmes le 8 mars, a dressé un bilan de l’utilisation des dispositifs de protection, tels que les « téléphones grave danger » et les bracelets anti-rapprochement. Si ces outils montrent des signes d’efficacité croissante, des défis subsistent pour assurer une réelle protection et prévention des violences.
— Communiqué de presse —
En 2023, l’écart salarial entre les femmes et les hommes dans le secteur privé demeure important, bien qu’il ait considérablement diminué au cours des dernières décennies. Selon
— Par Culture Égalité —–
Mon propos est d’examiner dans quelle mesure la psychanalyse peut être un instrument théorique intéressant, propre à éclairer de façon positive les problèmes de la « condition féminine » . Ces réflexions sont à mettre en relation avec celles de Maurice Godelier qui apportait une autre forme d’approche, celle de l’ethnologie. Dans son article, Maurice Godelier montre que la domination de l’homme sur la femme est issue de la première division sociale du travail. fondée sur la différenciation sexuelle.
—Communiqué de presse du Réseau Féministe « Ruptures » —
Lorsque l’on se promène autour du groupe scolaire Saint-Joseph de Cluny, à hauteur de l’abribus, on peut apercevoir un panneau qui se dresse à environ une dizaine de mètres de l’entrée, au niveau du ralentisseur – ce qui permet de bien lire son message. Et ce texte a de quoi surprendre. Il semble provenir d’une affaire purement privée : apparemment un garçon s’adresse à une jeune fille, lui reproche de le tromper et affirme en avoir des preuves.
Bientôt, les féministes célèbreront l’anniversaire d’un événement très important pour les femmes. En effet, il y a 50 ans était promulguée en France la loi relative à l’interruption volontaire de grossesse. Défendue par Simone Weil, alors ministre de la Santé, au cours de son discours historique à l’Assemblée Nationale, cette loi du 17 janvier 1975 dépénalise l’avortement dans le pays.
France Télévisions commémore les 50 ans de la promulgation de la loi Veil

Dans le cadre de la campagne internationale de sensibilisation aux violences faites aux femmes, qui a débuté le 25 novembre, les clubs Soroptimist de l’île se sont associés au cinéma Madiana pour offrir une projection spéciale du film Julie se tait de Leonardo Van Dijl, le mardi 26 novembre à 18h, salle 5 de Madiana. Cette projection s’inscrit dans un effort collectif pour lutter contre les violences sexistes et sexuelles, en particulier dans des milieux parfois insoupçonnés, comme celui du sport.
Pour sa 25ᵉ édition, la Campagne pour l’Élimination des Violences faites aux Femmes en Martinique (CEViFeM) se déroule du 23 au 30 novembre 2024. Sous le thème « Kouté pou tann » (« Écoutez pour entendre »), cet événement rassemble associations, institutions et citoyens autour d’un programme riche alliant sensibilisation, prévention et actions collectives.
Le 25 novembre, à l’occasion de la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, le monde est appelé à faire face à une réalité qui demeure trop souvent ignorée ou minimisée : la violence envers les femmes et les filles est l’une des violations des droits humains les plus répandues, et elle se manifeste sous des formes multiples et variées. En dépit des avancées en matière de droits humains, cette violence continue de faire des ravages, causant des souffrances physiques, psychologiques et émotionnelles à des millions de femmes chaque année. La violence de genre prend de nombreuses formes : violences physiques, sexuelles, psychologiques, harcèlement, exploitation, mais aussi féminicides, ces meurtres atroces d’une femme tuée par son partenaire ou un membre de sa famille.
Un événement ouvert à toutes et tous afin de faire connaître la population martiniquaise notre engagement nos valeurs sous un format artistique