Vents violents, pluie, neige, grand froid, vagues… : quelle vigilance en cas de danger météorologique ? Pour tout savoir sur le sujet, retrouvez notre vidéo avec toutes les réponses pratiques aux questions que vous vous posez sur les niveaux de vigilance météorologique.
4 couleurs correspondant à des niveaux de risque sont utilisées :
- Vert : pas de vigilance particulière.
- Jaune : soyez attentif. Si vous pratiquez des activités sensibles au risque météorologique ou exposées aux crues, des phénomènes habituels dans la région mais occasionnellement et localement dangereux (ex. mistral, orage d’été, montée des eaux ) sont en effet prévus. Tenez-vous au courant de l’évolution de la situation.
- Orange : soyez très vigilant. Des phénomènes dangereux sont prévus. Tenez-vous au courant de l’évolution de la situation et suivez les conseils de sécurité émis par les pouvoirs publics.
- Rouge : une vigilance absolue s’impose. Des phénomènes dangereux d’intensité exceptionnelle sont prévus. Tenez-vous régulièrement au courant de l’évolution de la situation et respectez impérativement les consignes de sécurité émises par les pouvoirs publics.
À savoir : En vigilance orange et rouge, un pictogramme précise sur la carte le type de phénomène prévu : vent violent, neige/verglas, pluie/inondation, inondation, orages, vagues-submersion, grand froid, avalanche. La

Les principes fondamentaux de la République et le peuple français ont à nouveau été attaqués le 16 octobre 2020 par un attentat islamiste d’une barbarie insupportable. Un enseignant d’histoire-géographie a été décapité dans les rues de Conflans-Sainte-Honorine pour avoir illustré un cours sur la liberté d’expression en présentant aux élèves des caricatures publiées dans le journal Charlie Hebdo. Le Grand Orient de France tient tout d’abord à exprimer sa solidarité et son soutien sans faille à la famille de la victime et aux enseignants. Mais si la consternation et l’émotion sont immenses, il est aussi du devoir des francs-maçons du Grand Orient de France de contribuer avec force et vigueur à l’unité nationale qui doit faire face à l’islamo-fascisme qui, depuis 2012, tue, tue et tue encore dans les rues, les rédactions, les magasins, les salles de spectacles, un stade, une église et les administrations de France.
Les treize régions de France ont annoncé la diffusion d’un livre de caricatures politiques et religieuses dans les lycées, à la suite de l’assassinat de l’enseignant Samuel Paty.
Une nouvelle fois, le corps enseignant est frappé par un drame qui s’est traduit par la mort d’un des siens. Vendredi 16 octobre 2020, à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines), un jeune homme a en effet assassiné à l’arme blanche un professeur, Samuel Paty, qui avait utilisé des caricatures de Mahomet dans le cadre d’un cours portant sur la liberté d’expression.
Une note publiée le 9 octobre 2020 par la Fondation pour la mémoire de l’esclavage dresse un bilan mitigé de l’enseignement de l’histoire de l’esclavage en France, à partir de l’étude des programmes et des manuels scolaires. Vingt ans après l’adoption de la loi Taubira, qui fait de l’esclavage et de la traite des crimes contre l’humanité, des disparités et des inégalités demeurent entre les filières et les territoires. La Fondation formule sept recommandations.
Christophe Prochasson, président de l’École des Hautes Études en Sciences Sociales (EHESS), était conseiller éducation à l’Élysée au moment des attentats de novembre 2015. Il estime aujourd’hui que les professeurs sont souvent « abandonnés » par l’institution.
Historien, membre du conseil des sages de la laïcité et directeur de l’observatoire de l’éducation à la fondation Jean-Jaurès, Iannis Roder enseigne depuis plus de 20 ans en collège en Seine-Saint-Denis. Alors qu’un enseignant a été décapité ce vendredi près d’un collège à Conflans-Sainte-Honorine, il fut l’un des premiers professeurs à tirer la sonnette d’alarme sur la contestation des valeurs républicaines et la percée du fondamentalisme musulman dans les établissements scolaires, au début des années 2000.
Le SNUEP-FSU Martinique dénonce l’amateurisme du préfet Stanislas CAZELLES, qui pense niaisement que sa fonction se résume à singer les décisions prises à Paris.
La place du père et de la mère dans la famille a considérablement évolué depuis une cinquantaine d’années et ne paraît toujours pas évidente aujourd’hui : plus que jamais, en ce début de XXIème siècle, elle pose question !

Dans les écoles, collèges et lycées, des élections sont organisées chaque année pour élire des représentants de parents d’élèves. Pour l’année scolaire 2020-2021, elles se déroulent le vendredi 9 octobre 2020 ou le samedi 10 octobre 2020, ainsi que l’indique le Bulletin officiel de l’Éducation nationale du 10 juillet 2020.
Liste des signataires disponible à la fin du texte.
Lycéennes et collégiennes ont appelé sur les réseaux sociaux – Instagram, Twitter et Tiktok – à porter lundi 14 septembre des tenues « indécentes » ( jupes, crop top, pantalons à trous…) pour dénoncer le sexisme dans les établissements scolaires. Audrey Jougla estime qu’il s’agit d’une fausse révolte.
Être illettré représente « un facteur aggravant » en pleine crise du Covid-19, notamment pour retrouver un emploi, souligne Christian Janin, président de l’Agence nationale de lutte contre l’illettrisme (ANLCI) à l’occasion des 7e Journées nationales d’action contre ce fléau.
Alors que la vétusté du réseau complique l’approvisionnement en eau potable, les agents du syndicat intercommunal qui gère l’eau sont entrés en grève.
Une nouvelle saison s’annonce
La non-scolarisation des enfants est un fléau qui touchait quelque 258 millions d’élèves de 6 à 17 ans dans le monde en 2018, selon l’Unesco. Et en cette rentrée 2020, un milliard d’écoliers n’a pas retrouvé le chemin de l’école. Une situation qui pourrait durer.
Ouverture des inscriptions aux ateliers du SERMAC saison 2020/2021
Une étude de la Drees, publiée vendredi 4 septembre, montre que la détresse psychique est plus forte chez les filles que chez les garçons
Depuis le 1er septembre, les étudiants boursiers bénéficient d’un repas à 1 € dans les restaurants universitaires et les cafétérias universitaires (Crous). Le repas à tarif social de 3,30 € est proposé à ce tarif réduit. Comment en bénéficier ?
Depuis 2018, les étudiants doivent payer la contribution vie étudiante et de campus (CVEC) destinée à améliorer les conditions de vie sur les campus. C’est le moment de s’en acquitter pour l’année universitaire 2020-2021 sur une plateforme numérique dédiée. Son montant est de 92 €.
Le SNUEP-FSU Martinique s’étonne du silence des Elus de notre île, suite à l’annonce de la non prise en charge de tous les masques-élèves par Grenelle.
La rentrée scolaire, on l’a bien compris, c’est l’enjeu du moment. Emmanuel Macron décide de décaler l’annonce du plan de relance parce que l’économie, le chômage de masse, les dépôts de bilan, la désindustrialisation, ça peut attendre : les parents d’élèves ont peur. La rentrée scolaire est au cœur des préoccupations, mais on a de plus en plus l’impression que l’école, en revanche, est le cadet de leurs soucis. Pouvoirs publics, politiques de tous bords, syndicats enseignants et fédérations de parents… l’école, ça ne leur dit rien. Ah ! Si, ce lieu où les enfants se font des copains pendant que leurs parents travaillent…