— Par Fara C. —
Avec le CD UrbAfrika, la lutine et sensuelle chanteuse franco-béninoise lance des passerelles d’amour entre les générations et entre les cœurs.
Mina Agossi a marqué l’actualité en 2017, avec l’étonnant disque afro-futuriste UrbAfrika, et par sa collaboration avec Ahmad Jamal. Le légendaire et sémillant pianiste de 87 ans l’a invitée, ainsi que le slammeur Abd Al Malik, aux concerts de présentation de son opus (Marseille) à Jazz in Marciac, au festival Jazz des 5 continents de Marseille, à Jazz à Vienne puis au Palais des congrès de Paris. « Chaque fois, ce fut comme un rêve éveillé, nous confie-t-elle. Le titre éponyme de l’album d’Ahmad Jamal est complexe à interpréter, malgré une apparente simplicité. C’était d’autant plus impressionnant qu’Ahmad était, comme toujours, imprévisible quant à la tournure qu’il décidait, sur-le-champ, de donner au morceau. » Née d’une mère française et d’un père béninois, la vocaliste, auteure et compositrice a été remarquée vers 2005 par le saxophoniste Archie Shepp, qui l’a invitée sur scène à diverses reprises, et qu’elle a convié pour son CD Red Eyes (2012).

Hac ex causa conlaticia stipe Valerius humatur ille Publicola et subsidiis amicorum mariti inops cum liberis uxor alitur Reguli et dotatur ex aerario filia Scipionis, cum nobilitas florem adultae virginis diuturnum absentia pauperis erubesceret patris.
Le mouvement continu du temps n’apporte toujours pas d’unité citoyenne. C’est pourquoi, plus que jamais, l’acte politique doit procéder de la volonté collective des Martiniquais. Quand la gestion politique s’écarte de la raison sociale, de la volonté du peuple, de l’inclination au travail et au progrès, ne s’écarte-t-elle pas de l’attente voulue par le suffrage populaire ? D’où il suit une déviation de la politique, une dérive entre donner et recevoir, ce qui entraîne, dans le peuple martiniquais, une faim ardente dans l’assouvissement de ses désirs et de ses projets d’avenir.
Le moins que l’on puisse dire est que la situation politique actuelle dans notre pays est totalement délétère.
Wopso ! Nou fè kannal !
Une association française porte plainte contre Apple pour « obsolescence programmée »
Lors des rencontres du Premio Europa per il Teatro à Rome, la communication de l’AICT (Association Internationale des Critiques de Théâtre) sous l’égide de la présidente Margareta Sörenson et de Jean-Pierre Han le vice-président, nous a informés de l’action accomplie afin que se développe, de par le monde, la critique théâtrale.
La pollution microbiologique des eaux de baignade est essentiellement d’origine fécale. Les eaux usées, provenant des habitations, les déjections des animaux et les effluents d’élevages rejetés dans le milieu et qui pollueraient des sites de baignades peuvent être la cause d’une mauvaise qualité de l’eau.
Lauréats du Prix Europe pour le Théâtre, Isabelle Huppert et Jeremy Irons, lors de tables rondes matinales tenues au Palazzo Venezia à Rome, nous ont bien volontiers dévoilé une partie de leur intimité, après que les participants nous eurent dressé leur portrait et rappelé leur parcours professionnel. La providence en soit louée, une traduction simultanée de l’anglais au français étant assurée j’ai eu le bonheur de suivre comédien et comédienne dans leur langue maternelle respective.
Lettre aux élu(e)s
An Désanm Senkant-nef
Wou bon yich Sentespri
La programmation du Prix Europe pour le Théâtre, qui s’est voulue éclectique, nous a menés aux deux extrémités du spectre, du plus classique au plus novateur, ce que l’on a pu constater après avoir vu le Richard II proposé par Peter Stein, et la performance Filth, du théâtre NO-99.
Qui n’a connu nos légendaires taxis, nos taxis-pays qui au fil du temps et de la modernité ont dû céder place aux taxis plus communément appelés de nos jours « Tonbé_lévé » ou « désherbants » comme en Guadeloupe. Partir sur ces « machines-engins- », relevait presque de l’expédition. D’ailleurs c’était partir en voyage, ce qui signifiait que la journée serait longue. Ne disait-on pas : « man ka voyajé jòdi, man ka désann Foyal ? »
Noël est la période, où la mémoire humaine s’unit le plus à Dieu. Selon l’Epître à Diogène, c’est le temps, où toute humanité prend conscience que la vraie patrie est au ciel. Cette conscience vive de la communauté de destin est liée à l’idée que l’éternité possède le temps tout entier. Car, selon Saint-Thomas, « il n’y a rien de futur pour Dieu. » Noël est donc le temps favorable où, comme le dit Saint-Paul, « toutes choses sont faites nouvelles », ou encore « Dieu réconcilia le monde avec lui-même dans le Christ ! »
Un jeune berger, surnommé Bénezet, descendit en 1177 des montagnes de l’Ardèche, pour rejoindre Avignon. Aidé en cela par les puissances divines, le jeune âgé de douze ans va charger une pierre énorme sur ses épaules et la jeter dans le fleuve. L’édification d’un pont sur le Rhône dont on connait assez le tempérament fougueux sera un défi.
Mais c’est bien sûr, je t’aime, tu m’aimes mais je t’insupporte et toi tu ne me supportes pas. Tu es bête et je suis lourdingue, tu t’agites sans arrêt comme une folle et je traîne comme un vieux pachyderme, je te voudrais belle comme Venus mais je ne suis pas un Apollon, tu es toujours trop pressée et j’ai perdu mes lunettes, ou les tickets pour le théâtre, etc., etc. Tout cela – et bien d’autres griefs tous aussi légitimes aux yeux de celui qui les prononce – est présent dans le montage de textes concocté et mis en scène par Ludovic Pacot-Grivel.
Les spectacles proposés à Rome dans le cadre du Prix Europe pour le Théâtre sont dans l’ensemble surprenants car novateurs et très personnels. Ils prouvent que l’art n’est pas mort, que la crise du théâtre ne peut être que prétendue, et que de nouvelles troupes inventent encore des façons particulières de dire le monde, et notre humanité.