En podcast sur le site de Martinique la 1ère
 La série « Code noir : les révoltés du Gaoulet » est disponible en podcast sur le site de Martinique la 1ère. À travers six épisodes de 26 minutes chacun et trois bonus, plongez dans la vie des colonies à l’époque de l’esclavage.
La série « Code noir : les révoltés du Gaoulet » est disponible en podcast sur le site de Martinique la 1ère. À travers six épisodes de 26 minutes chacun et trois bonus, plongez dans la vie des colonies à l’époque de l’esclavage.
Inspirée par les travaux de recherche de l’historienne Myriam Cottias sur l’affaire du Gaoulet en 1710, cette fiction audio évoque une révolte d’esclaves en Martinique au XVIIIe siècle. Les auditeurs sont avertis dès le début que la fiction s’inspire de faits réels. L’histoire suit les destins de quatre personnages : Titus, un esclave vieillissant ayant gagné la confiance de son maître après des années de labeur, Amadi, un homme fraîchement débarqué d’un navire négrier découvrant l’horreur du système esclavagiste, Jeanne, une jeune femme esclave victime des violences de son maître, et sœur Camille, une religieuse blanche convaincue de la nécessité d’évangéliser et de sauver les âmes des esclaves.
Cette plongée dans l’histoire des Antilles françaises dévoile, à travers parfois des scènes violentes, le combat pour la liberté dans une société opprimant corps et esprits.

 Myriam Cottias  :
Myriam Cottias  : Deux textes mis en ligne ces deux derniers jours sur Mediapart, et qui sont en train de provoquer le débat, en matière de mémoire de l’esclavage. Ils font suite à la mise en ligne sur le site du CNMHE, d’un t
Deux textes mis en ligne ces deux derniers jours sur Mediapart, et qui sont en train de provoquer le débat, en matière de mémoire de l’esclavage. Ils font suite à la mise en ligne sur le site du CNMHE, d’un t En adoptant en catimini le 5 octobre un amendement à la Loi Taubira, l’Assemblée nationale a créé une deuxième journée de commémoration autour de l’esclavage, consacrée aux « victimes de l’esclavage colonial » et entériné ainsi une vision racialiste de la nation française
En adoptant en catimini le 5 octobre un amendement à la Loi Taubira, l’Assemblée nationale a créé une deuxième journée de commémoration autour de l’esclavage, consacrée aux « victimes de l’esclavage colonial » et entériné ainsi une vision racialiste de la nation française L’année 2016 ouvre une nouvelle décennie pour le Comité National pour la Mémoire et l’Histoire de l’Esclavage (CNMHE). Créé en 2006, à la suite de la loi du 10 mai 2001 déclarant l’esclavage atlantique et dans l’Océan indien crime contre l’humanité, les trois comités qui se sont succédés, présidés par Maryse Condé puis Françoise Vergès et moi-même, ont ouvert des voies de réflexion mais aussi permis des réalisations très concrètes.
L’année 2016 ouvre une nouvelle décennie pour le Comité National pour la Mémoire et l’Histoire de l’Esclavage (CNMHE). Créé en 2006, à la suite de la loi du 10 mai 2001 déclarant l’esclavage atlantique et dans l’Océan indien crime contre l’humanité, les trois comités qui se sont succédés, présidés par Maryse Condé puis Françoise Vergès et moi-même, ont ouvert des voies de réflexion mais aussi permis des réalisations très concrètes.