Étiquette : Alfred MARIE-JEANNE

Alfred Marie-Jeanne obtient la prolongation de « l’agence des 50 pas »

Zone des cinquante pas géométriques

Question du Député Alfred MARIE-JEANNE et Réponse du Gouvernement, le 4 décembre 2012 :

 

 

 
 

M. Alfred Marie-Jeanne : Ma question s’adresse à Mme Delphine Batho, ministre de l’écologie, du développement durable et de l’énergie

En Martinique, la zone des cinquante pas géométriques représente plus de 1 000 hectares hors forêt domaniale, mais 3 500 avec cette forêt. Sur cette zone, plus de 15 000 constructions hébergent plus de 10 % de la population.

La loi du 31 décembre 1996 a créé pour dix ans des agences devant réguler et régulariser cette occupation, afin d’éviter tout accaparement illicite et toute anarchie incontrôlable. Mais les dossiers de demande de cession étaient déposés en préfecture, en sous-préfectures ou dans les mairies dotées d’un service de régularisation.

Devant l’ampleur de la tâche à accomplir, un délai de cinq ans renouvelable deux fois a été accordé par la LODEOM en 2009. Puis la loi Grenelle II du 12 juillet 2010 a fait de l’agence des cinquante pas géométriques un guichet unique, avec des résultats probants : 432 dossiers traités en 2010, 650 en 2011 et plus de 750 en 2012.

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Le bilan désasteux d’AMJ : réponse à Jean Crusol

— Par Michel Branchi, Economiste et ancien Commissaire de la Concurrence et des Prix

Ce texte nous est transmis par Michel Branchi, économiste et membre du Bureau politique du PCM. Politiques Publiques n’avait pas en son temps reçu ni publié le texte de Jean Crusol, auquel Michel Branchi fait référence. Vous le retrouverez, pour une lecture complète, dans la seconde partie de cet article.

Une contre-vérité scientifique : La Région Martinique n’a pas « cassé la croissance économique ».

chiffres Afin de rendre le président de la Région sortant responsable de la crise que vit le pays, son concurrent direct a utilisé les services de Jean Crusol, agrégé d’économie, ancien premier secrétaire départementaliste de la Fédération socialiste ayant voté contre la collectivité unique en décembre 2007. Ce dernier a produit un libelle virulent intitulé « le bilan désastreux du président sortant de la Région Martinique diffusé sur internet et dans « Le Progressiste » (n° 2010 du 3 mars 2010).

Le professeur Jean Crusol accuse Alfred Marie-Jeanne d’avoir « cassé la croissance économique de la Martinique », notamment en ayant réduit l’investissement régional de 10 % au début de sa première mandature en 1998 et 1999 et en ayant choisi de rembourser la dette régionale en deux ans, soit 137 millions d’euros.

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Le Bilan Désastreux d’Alfred Marie-Jeanne,

 — par Jean Crusol —

bilan « Le président sortant de la région Martinique, avec ce qui lui reste de zélateurs, sillonne la Martinique en répétant : « j’ai un bon bilan, je n’ai pas endetté la région, j’ai même des excédents, je mérite que l’on me confie une troisième fois la région » sous-entendu « en dépit de toutes mes turpitudes à la Dominique, à la Grenade et ailleurs ».

Il est grand temps de tordre le cou aux fausses vérités et aux âneries que le sortant prétend présenter comme des preuves de bonne gestion.

Comment il a cassé la croissance économique de la Martinique ;

Sous prétexte de résorber un hypothétique déficit – alors que les finances régionales étaient parfaitement saines- le sortant a passé les deux premiers budgets de 1998 et 1999, à désendetter massivement la région. 137 millions d’euros furent ainsi remboursés en deux ans. Ce qui prouve, au-delà du conservatisme et de l’incompétence du personnage, en matière financière et budgétaire, qu’il n’y avait pas de déficit régional ! En effet, comment une collectivité pourrait-elle rembourser en si peu de temps une somme aussi importante si elle n’avait pas une excellente situation financière ?

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Un coup de gueule qui coûte cher!

 

Par Roland Sabra

Edito du 17/12/2009

La situation n’était pas brillante mais d’un étiage de 19% d’intention de votes en septembre 2009 on arrivait fin novembre à 32% d’intention de votes en faveur du oui. Dans le même temps le Non s’étiolait doucement en passant de 53% à 49%. La progression du oui était lente mais continue. C’est cet élan qui semble aujourd’hui brisé. Le dernier sondage LH2 dom enregistre un score de 28 % pour le Oui soit une  baisse  en valeur absolue de 4 points de % ou de 12.5% en valeur relative.  Cette baisse ne profite pas au camp du non qui stagne à 49%, incapable qu’il est lui aussi de faire campagne sur un projet, mais profite intégralement, si l’on peut dire aux indécis.. comme le suggère Rudy Rabathaly dans France-Antilles du 15-12-09 c’est très certainement le coup de gueule de M. Alfred Marie-Jeanne contre un professeur qui lui posait sereinement la question : « Pourquoi ne pouvez-vous pas rencontrer M; Letchimy pour trouver une solution à la reconstruction du lycée Schoelcher » qui a brisé ( momentanément?)

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Reconstruction du lycée Schoelcher : la tragi-comédie « Serge & Alfred »

 

— Par Roland Sabra —

 

 


Serge Letchimy a invité le 25 novembre 2009 les personnels de la communauté scolaire du lycée Schoelcher a une séance d’explication à propos de son refus de délivrer le permis de construire du nouveau lycée. Après avoir distribué une épaisse brochure au public il a fait une lecture commentée de l’article 11-UA du Plan d’urbanisme Local ( PLU) de la ville, sur lequel il s’appuie pour motiver son refus. Il s’est attardé sur l’alinéa intitulé « Restauration, rénovation, extension de constructions existantes » qui précise : « Les interventions doivent notamment respecter la typologie architecturale,, les matériaux d’origine, la composition des façades ( reprise des proportions, du rythme et des éléments de modénature) les pentes et la volumétrie des toitures. » Il va de soi que le projet retenu par la Région ne répond pas à ces exigences. La question est de savoir si cet alinéa invoqué est propre à soutenir le refus de permis. « Restauration, rénovation ou l’ extension de constructions existantes sont une chose, la reconstruction en est une autre.

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Marie-Jeanne et le photovoltaïque

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Alfred Marie-Jeanne, Député de la Martinique est intervenu à l’Assemblée Nationale, à l’occasion des questions au gouvernement pour interroger  le ministre de l’environnement à propos  des projets d’installations photovoltaïques sur les terres agricoles en Martinique.

« Ma question s’adresse à M. Jean-Louis Borloo. Malgré la prolifération des plans et schémas tels 1e plan d’occupation des sols, le plan local d’urbanisme, le schéma d’aménagement régional ou le schéma de cohérence territoriale, la surface agricole utile de la Martinique régresse de façon inexorable. Ces dernières années, la déperdition est de l’ordre de mille hectares par an. Il nous reste, en tout et pour tout, seulement 25 000 hectares, superficie inférieure à la masse critique pour un développement endogène et durable.

L’installation non encadrée par la loi du photovoltaïque sur les terres agricoles, amplifie le phénomène. Il y a dix-neuf mois, l’Assemblée a adopté à mon initiative deux amendements dont l’un donnait l’avantage au développement du photovoltaïque sur les équipements publics, pour éviter son déploiement anarchique au sol.

Compte tenu de la raréfaction du foncier et de l’avalanche des dossiers, j’ai déposé un amendement demandant l’interdiction du photovoltaïque sur les terrains agricoles en Martinique.

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Pour une politique de soutien aux métiers du cinéma et de la production cinématographique

 

— Par Olivier Baudot Montézume

Association Martiniquaise pour le développement

du cinéma en court métrage

(As Loi 1901 No 9721004112 – SIRET No: 435 055 157 000 18)

Fort de France le 21 juin 2008

M Alfred Marie Jeanne

Pdt du Conseil Régional de

Martinique

Rue Gaston Deferre

Objet : Pour une politique de soutien aux métiers du cinéma et de la production cinématographique

Monsieur le Président,

Créole en court vient de participer en tant que co-producteur à la réalisation du court métrage « Au nom du père » que vous avez bien voulu soutenir. Ce film produit par la société Marakudja’films, société Martiniquaise de cinéma en court métrage, a été pour nous l’occasion de vérifier « in situ » les conditions particulières de tournage au format 35mm, mais aussi et surtout la situation pour le moins singulière des intermittents Martiniquais du cinéma et de l’audiovisuel.

Il m’apparaît plus qu’important d’attirer votre attention sur la nécessité de soutenir l’activité cinématographique de façon réelle. Il y a une urgence politique à considérer ce secteur comme un secteur culturel à part entière : source d’emploi, de savoir faire, espace de création.

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